De nombreuses photos de Edward S. Curtis, fin du dix-neuvième siècle et le tout début du vingtième, justement, sont des antidotes à la peur de la vieillesse !
Je me souviens très bien d'avoir été, adolescent, fasciné par une vieille femme amérindienne qui portait des rides et des plis qui auraient horrifié nos vieilles rapiécées à la toxine botuliпіԛuе, dans cet album de Edward S. Curtis. Fasciné. Et non révulsé. Un être humain en face de moi !
Enfin oserai-je dire ! Tellement présente !