Ouand je mmanque de toi ... - Littérature & poésie

Je me réveille en sursaut au milieu, de la nuit ,
Tel un détenu , sur le qui vive , de sa liberté , retrouvé ;
en plein jour aussi maintenant que Tu n'es plus là ; comme un ennui ;
Tu es mort et ne penses plus à moi , ; le temps, n" a pas, encore , lavé ,

la douleur de Ta disparition , pour un monde que l'on dit ,meilleur ,
n'atténue , pas le manque de Toi ,à chaque instant... , Mon veilleur ,
comme un garde Fou , Tu étais ,de ma totale , inconscience ,
de mon lâcher , prise , de mes désinhibitions , de ma fureur , ma violence ,

Tu me retenais , la peur au ventre , d'être , enfermé ,
et Toi, de subir les inconséquences , de mes comportements ,
de ce que j 'appelle , fièrement , mes exutoires , mes , errements,
mes défoulements , Toi Mon innocence ,, Mon tendre , mon tant Aimé

pas un jour oû je ne pleure , en pensant à Toi ,
pas une nuit, ou je ne Te dis pas je t'aime ,
des mots ,auxquels ,ne répondent , ,que Ton souvenir , Ton Absence ,
que le vide immense, assourdissant , de Ton Silence ,comme d'éternelles, vacances ....

Pourtant ,j'ai connu , d'autres Amours , d autres , façons d'exister ,
vraiment , de nouvelles passions et amitiés ; une autre spiritualité ,
projets , rêves , objectifs , atteint ,consciemment, Tu m'as , en réalité , tant accompagné et , pourtant , je sais que Tu es à mes côtés ,

Ton départ , si cruel, m'a permis de me , dévoiler ,
prendre des aies , un nouveau souffle , m'envoler ,,
sous ton regard , bienveillant , lentement , pas à pas ,j'avance ,
vers le bonheur , en ton honneur , même si je manque tant de Toi ...reconnaissance...

je retourne , sur nos terrains de jeux , revoir cet Amandier , abimé ,
oû , on a joué , à cache cache, ce camping,, en pleine nuit , mon tendre aimé ,
oû j'ai prié , supplié ,)terre, à ne plus y croire , au plus ргоfопԁ du désespoir,
à retenir ,me battre, pour Toi , contre le temps , au coeur de la nuit ,noire ...

oû , le matin , l'air con ,en laisse, je Te promenais , et Toi; mauvaise foi , , Tu , te sauvais ,
et moi, Te suppliant de revenir , Tu me narguais, Tu t'esquivais, Te cachais ,
quand , je sautais par dessus la barrière , pour Te rattraper ..
et courir après Toi , ,affolé , le train , que l'on allait ,rater, , Toi, avec la Nature , en aparté...

, comme la folle Blanchette, de mr Seguin, Tu profitais ,
et je ne disais , rien , quand Tu revenais , désinvolte Tu étais ..
heureux , encore , quelques moments,, ravi de Te revoir, j'étais ...
et maintenant , encore , plus je manque de Toi , parce , les meilleurs moments, ils étaient ...*

je retourne , sur nos lieux de villégiature , marchant , sur Tes traces,
mes pas dans les tiens , mais le sourire aux lèvres, parce que la peine ,s 'efface,
vivre de nouvelles aventures , Te rendre hommage , à Toi ,
parce que je t'aime , et que je manque de Toi ..

Je me réveille en sursaut au milieu, de la nuit ,
Tel un détenu , sur le qui vive , de sa liberté , retrouvé ;
en plein jour aussi maintenant que Tu n'es plus là ; comme un ennui ;
Tu es mort et ne penses plus à moi , ; le temps, n" a pas, encore , lavé ,


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Ben, bonjour, je sais que tu penses que les fautes d'orthographe (lettres omises, ...) obtiennent l'attention du lecteur, et je sais que la ponctuation de style logique n'est pas la seule possible en français, bien qu'elle soit ԁоmіпапtе, passons là-dessus.

"retrouvé", sans "e" ? Vraiment ? Bien, alors, je pense à partir de ce masculin, volontaire ?

Et puis, il y a une règle typographique : avant la virgule pas d'espace, un espace après ; avant et après le point-virgule, un espace ; avant le point, pas d'espace, un espace après.

Bon, si ces règles ne répondent pas à tes nécessités internes, alors laisse tomber la ponctuation, laisse-la à l'initiative du lecteur ; ou alors use de vers avec des longueurs inégales, ou alors de vers se complétant en escaliers : bien des solutions inventées depuis les début du vingtième siècle, par Verlaine, Maïakovsky, les surréalistes, ...

L'adoption d'un code stable; bien que toi et moi ne l'ayons pas déterminé dans ses règles, permet de mieux communiquer, voilà tout.

Sinon, tu maintiens tes lecteurs au stade du déchiffrement, ce qui est dommage : tu les empêtres dans TA confusion ; crains qu'ils s'interrompent avant la fin du texte, qui est dans son ensemble sensible.

Pour le reste, qui est l'essentiel, quand tu auras adopté - éventuellement - un des codes communs compréhensibles d'écriture, eh bien nous pourrons en discuter, en égrenant les mots.

Je souligne d'ores et déjà, et la richesse du vocabulaire et celle des structures syntaxiques, et que la matière abonde et n'est pas épuisée par tes quatrains.

Mais il y a un pathos SOUVENT exprimé avec une ampleur sirupeuse, dont le sucre - tant de fois fixé dans des expressions rebattues - met ta peine dans les termes accessibles aux amateurs des chansons larmoyantes, mais la banalise, l'endommage, l'ajoute aux déplorations coutumières et, ainsi, l'annihile. Ceci est une TENDANCE et non la caractéristique résumant la nature de ton texte.

Allez, .

En réponse au message de climax007 :

Je me réveille en sursaut au milieu, de la nuit ,
Tel un détenu , sur le qui vive , de sa liberté , retrouvé ;
en plein jour aussi maintenant que Tu n'es plus là ; comme un ennui ;
Tu es mort et ne penses plus à moi , ; le temps, n" a pas, encore , lavé ,


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Ben, bonjour, je sais que tu penses que les fautes d'orthographe (lettres omises, ...) obtiennent l'attention du lecteur, et je sais que la ponctuation de style logique n'est pas la seule possible en français, bien qu'elle soit ԁоmіпапtе, passons là-dessus.

"retrouvé", sans "e" ? Vraiment ? Bien, alors, je pense à partir de ce masculin, volontaire ?

Et puis, il y a une règle typographique : avant la virgule pas d'espace, un espace après ; avant et après le point-virgule, un espace ; avant le point, pas d'espace, un espace après.

Bon, si ces règles ne répondent pas à tes nécessités internes, alors laisse tomber la ponctuation, laisse-la à l'initiative du lecteur ; ou alors use de vers avec des longueurs inégales, ou alors de vers se complétant en escaliers : bien des solutions inventées depuis les début du vingtième siècle, par Verlaine, Maïakovsky, les surréalistes, ...

L'adoption d'un code stable; bien que toi et moi ne l'ayons pas déterminé dans ses règles, permet de mieux communiquer, voilà tout.

Sinon, tu maintiens tes lecteurs au stade du déchiffrement, ce qui est dommage : tu les empêtres dans TA confusion ; crains qu'ils s'interrompent avant la fin du texte, qui est dans son ensemble sensible.

Pour le reste, qui est l'essentiel, quand tu auras adopté - éventuellement - un des codes communs compréhensibles d'écriture, eh bien nous pourrons en discuter, en égrenant les mots.

Je souligne d'ores et déjà, et la richesse du vocabulaire et celle des structures syntaxiques, et que la matière abonde et n'est pas épuisée par tes quatrains.

Mais il y a un pathos SOUVENT exprimé avec une ampleur sirupeuse, dont le sucre - tant de fois fixé dans des expressions rebattues - met ta peine dans les termes accessibles aux amateurs des chansons larmoyantes, mais la banalise, l'endommage, l'ajoute aux déplorations coutumières et, ainsi, l'annihile. Ceci est une TENDANCE et non la caractéristique résumant la nature de ton texte.

Allez, .

eh mais t 'es sympathiquement relou , les cours , j'ai fini , prof, maintenant , merci des leçons , je les préfère , en direct , sur Lyon , à quand , des bises ...

Tension palpable entre 2 poètes
J espère un combat de rimes et d esprit.
Je souhaite un combat à mort
Un seul se lèvera
Messieurs à vos plumes

En réponse au message de palledon :

Tension palpable entre 2 poètes
J espère un combat de rimes et d esprit.
Je souhaite un combat à mort
Un seul se lèvera
Messieurs à vos plumes

Je ne lis pas le texte de Ben avec un esprit de revanche,
quelles que soient mes aigreurs, que Ben puisse occasionner ;
faudra repasser, Palledon, pour le combat des gladiateurs,
et faire armer d'autres combattants qui acceptent
de satisfaire ton appétit rageur de dispute et discorde ;
faudra lancer d'autres cuirasses les unes contres les autres ;
tu es un соuіllon pour croire que les textes sont destinés
à se piétiner les uns les autres, et que les peines sont
vouées à distraire les cadres petits-bourgeois
amateurs de compétition sociale ;
les darwinistes sociaux oublient toujours que Charles Darwin,
dans "L'origine des espèces" a souligné, pour l'adaptation
des espèces, le facteur de la coopération, plutôt que la
mécanique compétition.


Bendeprincy a droit a toute ma coopération ;
la guerre n'aura pas lieu : nous ne sommes
pas tes amuseurs (oui, là, je pense pouvoir
m'exprimer, aussi, au nom de Bendeprincy).


Et, laisse béton, ne viens pas me sortir

que je ne comprends rien à ton hhhhhhhumour !

Ton humour est bas et mesquin, lourd pour tout dire !



--- Ceci posé, je ne donne pas de leçon,

je rappelle quelques règles ; libre à Bendeprincy

de les accepter comme un rappel,

ou de confondre ce rappel avec une leçon,

qu'il faudrait s'empresser d'oublier.


ET, si, Bendeprincy, tu te donnes la peine
d'examiner, une par une, mes remarques,
il n'est pas impossible, qu'en ne survolant
pas négligemment le tout, il y ait du profitable.

Toute critique, d'ailleurs, qui s'efforce,
est bonne à comprendre.

Serge, comme on dit chez nous en Corse , "basta " et à Mada , mourra , mourra , tranquille , je choisi, mes mаîtгеs es lettres, si cela peux Te rassurer , monsieur du centre de doc, Tu en fais partie , maintenant , je choisis oû et quand , cependant ,je te prie Mon Ami , de ne point parer en mon nom, merci ...
du musee de l'immigration retient ,que même , si j'ai eu la chance d'avoir un Père commuiste , socialiste , mon cœur et mon Esprit vont du côté de l Empereur , ne t'en déplaise , ...
des ailes à son cheval , et proche de ses grognards , j'ia du respect pour cet homme, , plus mon modèle , que tes "camarades" ....quand au mot соuіllon , plus les mots de cadre petit bourgeois , cela te regarde ,respect à monsieur Pailledon , ....il s'est avec qui jouer , et je ne suis pas à l'école , peut être celle buissonnière , je tinvite à lire , libres enants de Summerhill , graine de crapule , de fernand deligny, et jouer le jeu de Baden Powell, enfn Маіtге Ushéba, , disait laikido , s'apprend en 3 jours , et toute la vi e pour le pratiquer ...enfin tu n'es pas bloquer nulle part dans es messageries , simplement , concreapness, clair concis conccret, et pas dde jugement , pensees possitives permanentes ...réponds aavec les fautes si tu veux , je t'embrase , vraiment

Une dernière chose , Mon Ami , ne me fais pas l'injure de ne pas comprendre , de qui je parle , Il se moquait de mes fautes , il ne me regardait qu'avec les yeux d'un Amour pur sincère, entier ,sans retenue ...
jusqu'au dernier moment j'ai piogé mes yeux dans les siens ,je l'ai porté , à bout de bras exsangue , me sentant , criminel , de mettre , fin, à ses jours , le , suppliant , de me pardonner mes erreurs , mon humanité ...
mes larmes ,encore ont gout de sang , d_injustice ,d e remords ,
il est parti sur un sourire , je ne sais, spas s'il aura entendu mes derniers mots , endormi ,et deux secondes après arrêt de son cœur , une part de moi est morte avec Lui , ce n'était que mon Fils , adoptif , ...
chaque jour , je lui dis que je l'aime , comme quand, au dernier instant , couché , sur la table d opération , je l'ai déposé , pour qu Il se repose...
je l'aimais je l'aime , je l'aimerais