Panthéon "de subito" pour une équipe nationale (page 2) - Littérature & poésie

En réponse au message de boumvoyageur :

Je n'ai pas pensé à mettre la voix éternelle de ce présentateur dans ma narration pour mieux suspendre le temps qui passe et stopper les aléas des circonstances historiques.

Mais c'est une suggestion que je retiens !

En réponse au message de boumvoyageur :

Et il possédait l'art de raconter des horreurs avec un flegme tout britannique, et une exactitude toute didactique dont l'image animée nous donne un bon exemple : oui, la télévision, P. Bellemare commente en boucle pour l'éternité, l'équipe est naturalisée et git, les dieux sont installés au Panthéon !

En réponse au message de boumvoyageur :

Ah non, moi je ne donne pas de leçon de méditation !
Je suis incapable de donner des leçons : un avis oui, une opinion affirmée, un raisonnement que d'autres estimeront spécieux, une indignation, mais alors des leçons, va falloir s'adresser ailleurs !

Un conte n'est pas un pamphlet, il est plus durable, et ne tire d'une situation passagère que sa matière et son impulsion initiale, et "va la nave" !

Merci Boum, de m'avoir permis d'expliciter cela, qui importe, après tout ! Je ne suis pas un rabat-joie ! Là n'est pas le centre de ce conte express : la joie des foules. Le centre est la politique d’État pour dompter la mаssе populaire !