Sa plus grande déception - Homosexualité

J'en avais déja parler sur le forum.
ça me fait du bien d'écrire.
à 20 ans je lui ai dit.
il m'a jeté de la maison et de sa mémoire par la même occasion.
plusieurs tentatives infructueuses durant les 20 années suivantes

depuis un mois il est a l hopital
ma mère me dit qu il est condamné
il ne veut pas me voir car pour lui je n ai jamais été.
je souffre, je veux lui tenir la main, lui dire que je l aime
la famille, le personnel hospitalier essaye de le convaincre mais en vain
il hurle malgrès qu il soit faible que je suis rien, je ne suis pas de son sang
j enrage, je veux le prendre dans mes bras, me repousse malgrès la maladie

il est mort lundi
j ai l impression que moi aussi
suis un anonyme c 'est facile de vous en parler
ça fait du bien de l'écrire
c'est pas grave mon papa moi je t ai aimé pour deux
je t aimerai jusqu au dernier souffle de ma vie

Plein de courage à toi Freaks,
Ton papa devait t'aimer quelque chose de "choquant" pour lui l'empêchait d'aller vers toi, c'est une autre génération pour qui certaines choses sont difficile à admettre et comprendre.
L'amour au fond de son cœur était intact j'en suis sûr c'était juste trop difficile pour lui de l'admettre.

En réponse au message de freaks :

J'en avais déja parler sur le forum.
ça me fait du bien d'écrire.
à 20 ans je lui ai dit.
il m'a jeté de la maison et de sa mémoire par la même occasion.
plusieurs tentatives infructueuses durant les 20 années suivantes

depuis un mois il est a l hopital
ma mère me dit qu il est condamné
il ne veut pas me voir car pour lui je n ai jamais été.
je souffre, je veux lui tenir la main, lui dire que je l aime
la famille, le personnel hospitalier essaye de le convaincre mais en vain
il hurle malgrès qu il soit faible que je suis rien, je ne suis pas de son sang
j enrage, je veux le prendre dans mes bras, me repousse malgrès la maladie

il est mort lundi
j ai l impression que moi aussi
suis un anonyme c 'est facile de vous en parler
ça fait du bien de l'écrire
c'est pas grave mon papa moi je t ai aimé pour deux
je t aimerai jusqu au dernier souffle de ma vie

Freaks , je suis désolé pour ton Papa j ai de la peine pour toi , parce que il n a pas su trouvé le chemin de la réconciliation , pourquoi tant d incomprehention d un père ..! Car ceux qui restent son bien seul de tant d amour non dis non donné a l autre a son PERE
Comme toi freaks ..! ( pourquoi pour certaines personnes etre GAY est etre Pestiféré etre une tare etre rien )
Nous ne faisons pas de mal pourtant que D AIMER …!

Freaks oubli ses moments sombre de ta vie cela ne vaut pas la peine avance mon grand ne reste jamais sur une telle incomprehention , Fautif de quoi …! d aimé les HOMMES ce n est que de l amour si beau et si fragile garcon


SINCEREMENT freaks

Je suis d'accord avec ce qu'écrit "Sехy49". Laisse faire le temps du deuil et tu retrouveras une certaine paix intérieure.
Toutes mes condoléances et courage; de ceci tu n'en manques pas!

Fred, je ne te ferai pas de condoléances pour ce père qui n'en était pas un

par contre je suis très triste pour toi et je pense que le moment est venu pour que tu te rapproche de ta famille qui j'en suis sur ne manqueront pas d'affection pour toi

la suite de ta vie devrait être plus simple maintenant, tu pourra revoir ta mere, tes frères et sœurs

mes mots vont certainement choques mais je resonne en père qui n'aurai pas l'idée d'abandonner son enfant et qui pour mon cas se bats régulièrement pour le garder

va de l'avant et reprend le moral rapidement parce que je comprends le vide qui se retrouve en toi

pifou

Bonsoir Freaks,

Quand les mots manquent, je ne sais quoi te dire...

Se confier, écrire, est une thérapie, l'écoute une médecine.

Courage, sincères condoléances.

Sébastien

Je n'ai pas les mots, je connais la souffrance de perdre un être chère mais pas de se faire rejeté par celui-ci, je peut même pas imaginer ton ressenti, tellement que ça doit être dur à supporter.

Je suis de tout cœur avec toi, franchement courage et mes sincères condoléances dans cette épreuve.

Alexandre.

Je te présente mes sincères condoléances Freaks

Wouah !
Mes sincères condoléances l'ami.
G perdu ma mère il y à 21 ans, j'y pense encore.
On c mieux parlées à l'hôpital, en 5 mois, qu'en 30 ans,
Un soir, elle m'a fé un сâlіп, le seul que g reçu, je ss repartie ne chialant...
Il me tient show les jours de - bien.
Elle n'a jamais su que j'aimais les femmes, on ne se parlaient pas, j'étais pas prête à lui annoncer...
Bien ou mal, i dont know...
On ne pt aller contre la volonté d personnes, certainement qu'il vs aimait, mais, ne vs l'aurait jamais dit devant vs.
N'ayez aucun regret, vs l'avez respecté, c ce qu'il faut garder.
Nul nez farpait, ni les parents, ni les enfants, personne...
Soyé zeureux, vivez pr vs, là est le plus important.
Bonne route

Quels que soient les liens qui unissent les êtres, chacun fait SA vie.
Dans sa vie, il n'y avait pas de place pour un fils homo, tout simplement.
Quand tu l'es devenu pour lui, tu es sortit de sa vie.

Pour lui, tu étais l'agresseur, celui qui chosit une option qu'il ne peut accepter.
Pour toi, il était celui qui fout en l'air toute ta vie d'avant, quand tu étais son fils, comme d'un revers de la main.
Comme si tu étais quantité négligeable, voire un échec ou une tache dans son parcours à lui.
Cruelle réalité telle qu'il l'a sans doute vécu.

Bon, en réalité, qu'est-ce qui s'est passé ?
Tu as fait TA vie et c'est tout.
Pas de quoi fouetter un chat dans l'absolu.
Pas de motif de regrets, de remord d'avoir mal agit.
Tu as fait ta vie sans vouloir couper les ponts de ton coté.
La réciproque n'a pas été vraie mais il avait toute latitude d'agir dans ce sens ou pas.
Tu as fait ta vie et il a fait LA SIENNE.
Tout comme tu avait le droit d'être homo, il avait le droit de ne pas l'accepter; c'est cela que tu dois, toi, accepter.

Si tu ne le fais pas, c'est peut-être une attitude de la même veine que celle de ton paternel; réfléchis à cela à tête reposée et sans jugement.
Tout à chacun, on est confronté à nos limites qui vont vaincrent nos meilleurs sentiments.
Des limites qui cassent celles de l'amour et de la haine, nous plaçant dans des trips où ce sont nos trippes qui commandent et relèguent nos sentiments très loin de nos faсultés d'appréciation.

Si ton père s'est conduit comme il l'a fait, c'est parce qu'il t'aimait: Voila la réalité.
Le rejet n'est pas la marque de l'indifférence mais de l'amour contrarié.
Il t'aimait dans une trajectoire parallèle qui s'est transformée en ballistique de collision.
Il avait probablement autant de lattitude d'accepter ton hоmоsехualité que toi de faсulté de ne pas être homo.

Là où tu vois du rejet et de la haine, il y avait peut-être qu'une cruelle impossibillité d'un chemin impossible à parcourir.
La où il a peut-être vu du vice ou de la provocation, il y avait une banale condition d'un garçon qui aime les garçons.

Il est mort maintenant mais cela fait des années qu'il se voulait mort pour toi.
Il a été fidèle à cette idée jusqu'au bout.
Mais, même s'il avait changé son fusil d'épaule, que vaut une réconcilliation sur un lit de mort ?
Lot de consolation ? Mon сul !
Ce qui est fait est fait et on ne peut rien effacer au prétexte de faire le ménage en partant.

Ton paternel te manque comme il t'a manqué.
La mort qui te touche le plus, c'est celle de ton dernier espoir que cela s'arrange entre vous deux.
C'était foutu quand tu avais vingt ans et ça l'est resté, ce qui fait que ton espoir aussi est mort.

Il n'y a même pas de leçon ou de morale à cette histoire.
Il n'y a que souffrance, peut-être même pas évitable.
TOI, tu es vivant, de cette condition au lourd privilège de souffrance.
Que ta douleur au sujet de celui qui n'est plus ne fasse pas impasse sur ce qui est aussi une conclusion dans ce qui t'a opposé à ton père.
Les choses sont arrivées à un terme et continuer à les faire vivre est un mauvais service à te rendre.
Le passé a causé ses ravages; concentre toi sur maintenant.
Contrairement à ton père, tu es.
Vois chaque jour comme un jour nouveau et une occasion de voir les choses avec un œil neuf et non comme un prolongement de la veille.
C'est cela qui permet de rendre possible aujourd'hui ce qui bloquait la veille.
C'est aussi une entreprise difficile et nombreux sont ceux qui, comme ton père, s'y cassent les dents, souffrant et faisant souffrir autrui.
Alors, c'est peut-être à toi, le vivant qui souffre, de travailler ce dossier.
Tu y trouvera de la paix, pour toi et pour ceux qui auront le privilège de te connaître.
Il n'y a qu'un Freaks dans tout l'univers; ne l'oublie pas.
Ton père, te concernant, à gâché la marchandise.
Ne poursuis pas son œuvre et sois quelqu'un qui compte à tes yeux, quoiqu'en ait pensé un jour celui qui s'est éteint, emportant avec lui souffrances et jugements.
Vis ta vie tel que tu es et vois les choses telles qu'elles sont et la réalité te paraitra plus douce que tes tourments..