Епvіе de te garder - Littérature & poésie

ЕNVӏЕ DE TE GARDER

Епvіе de te garder près de moi chaque instant.
Dormir et m'éveiller en tes bras tout le temps.
Frémir en entendant ta voix dans un sourire
Disant des mots si doux que j'aime aussi te dire,
Si proches de mon cou. Quand mes mains sur ton corps
En effleurant ta peau font demander: Encor!!!
Respirant ton parfum tandis qu'avec ta lèvre
Tu poses sur ma Ьоuсhе un Ьаіsег plein de fièvre.
J'apprécie tout le temps, l'ardeur de nos désirs
Et ne me lasse pas d'en goûter les рlаіsігs.
En tes yeux de turquoise un voyage de rêve
Me transporte aux lagons, quand viennent sur la grève
Les friselis de vague aux clapotis joyeux
S'affaler sur le sable où nous serions heureux.
Alors j'éprouve en moi cet élan de tendresse...
La solitude hélas me plonge en la tristesse
Qui me fait éprouver si lointain ce bonheur...
Devrais-je encore une fois sentir pleurer mon coeur?

C'était super jusqu' au 15° verre, comme dirait un pote alcoolique…

Cruelle chimie des sentiments qui, tels une ԁгоguе dure, entraîne dans sa descente les élans du paradis.

C'est pour cela que je m'en méfie, préférant de loin percevoir que penser des pensées qui vont faner.
Emportées par le temps qui se charge de tuer tout ce qu'il y a de vivant en nous.

Alors, je me contente de vivre l'instant présent sans morsure du passé ni espoir de l'avenir.
De cette façon, même ma mort me surprendra !

Tres joli

Comment la mort peut elle surprendre...

Emplafonné par un semi -remorque sans doute!

C’est tjrs pas surprenant.

En réponse au message de lessismore :

Comment la mort peut elle surprendre...

Elle te surprend quand tu ne passe pas ta vie à y penser…
La différence entre la perception des choses et leurs pensées, c'est que la première t'oblige au présent puisqu'il n'y a pas de temporalité.
Ensuite viennent les pensées et leur piège qui consiste a vouloir que ce qui t'arrive d'agréable maintenant dure.
Les pensées sont d'un monde virtuel et la perception est du monde réel.

Dans le monde réel, tu es vivant et quand ça s'arrête, tu ne l'es plus, tout simplement.
C'est en cela que la mort te surprend !

En réponse au message de parfum-de-femme :

C'était super jusqu' au 15° verre, comme dirait un pote alcoolique…

Cruelle chimie des sentiments qui, tels une ԁгоguе dure, entraîne dans sa descente les élans du paradis.

C'est pour cela que je m'en méfie, préférant de loin percevoir que penser des pensées qui vont faner.
Emportées par le temps qui se charge de tuer tout ce qu'il y a de vivant en nous.

Alors, je me contente de vivre l'instant présent sans morsure du passé ni espoir de l'avenir.
De cette façon, même ma mort me surprendra !

je ne comprends pas pourquoi la séparation par les obligations de la vie puisse être assimilée à la mort...

Je croyais dans mon poème au contraire rédiger que l'amour ne meurt pas même loin du coeur qu'on aime.
On ne cesse pas de l'aimer!

En réponse au message de lessismore :

Comment la mort peut elle surprendre...

elle me surprend à moi aussi qu'on puisse la lire dans mon poème!

En réponse au message de nyke41 :

Emplafonné par un semi -remorque sans doute!

parmi les rêves romantiques celui que tu cites remporte la palme...lol