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Епvіе de te garder (page 4) - Littérature & poésie

Sujet de discussion : Епvіе de te garder
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 15 mai 2019 à 12:26
    Mais je suis et revendique d'être sensible.

    Sensible au toucher, aux Ьаіsегs, aux caresses, aux рéпétгаtіопs données et reçues.

    What else


    Plus sérieusement maintenant:

    Il n'est pas question pour moi de me montrer sous un jour qui ne correspond pas à ma réalité.
    Je suis quelqu'un d'émotif et sensible.

    Mais vous n'y êtes pas du tout en opposant quelqu'un qui serait romantique et quelqu'un qui ne l'est pas en conférant la manifestation de sentiments aux seuls romantiques.

    Le romantisme fait appel aux sentiments mais n'en a pas l'exclusivité.

    La différence n'est pas là mais dans le fait de les manifester en réaction au moment présent ou dans le cadre d'une "romance" qui fait appel à la fапtаsmagorie, la projection dans le temps,…

    Je suis très sensible au réel et à maintenant.
    Ce n'est pas un désintérêt du passé ou de l'avenir.
    Je cantonne juste ces choses dans leur aspect utilitaire.
    L'exercice des sentiments se fait au présent chez moi.

    Par exemple, je suis assez peu sensible à l'absence de l'être aimé.
    Je ne rentre donc pas dans le trip du renard du petit prince:

    - Que faut-il faire? dit le petit prince.
    - Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près... Le lendemain revint le petit prince.

    - Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après-midi, dès trois heures je commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureux. A quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai; je découvrirai le prix du bonheur ! Mais si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le cœur... Il faut des rites.


    On peut jоuіг de l'être aimé quand il est là sans souffrir particulièrement quand il fait autre chose: C'est cela, le grand confort de vie de celui qui voit la vie tel que je la vois.

    Ne l'ayant pas toujours vu ainsi, je vois bien une différence substantielle entre les deux approches.
    Et cela ne l'empêche nullement d'aimer; bien au contraire.

    Exit, l'appréhension de la séparation, l'inquiétude d'être remplacé, la jalousie et autres turpitudes romanesques.
    Il ne reste que de l'amour, instantané, non réfléchi, évalué, pesé et qui n'a pas besoin d'être mis en justificatif pour limiter la liberté de l'autre et faire valoir d'une sécurité de couple.
  • lessismore Membre suprême
    lessismore
    • 15 mai 2019 à 13:01
    Je rebondis juste sur le dernier paragraphe.
    C’est un peu comme agir sans réfléchir. Heureusement que tu es seulement animé par l’amour xD
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 15 mai 2019 à 13:35
    Tu as raison quelque part.

    L'Amour ne réfléchit pas, n'est en aucun cas un calcul.

    J'ai mis avec un grand A parce que c'est comme quand on met un grand H à homme pour montrer que cela inclut plus que l'on peut penser un première lecture.

    L'Amour, c'est mon émerveillement devant des chants de très jeunes oiseaux, ce matin.
    C'est ce beau visage que l'on croise au coin de la rue qui respire la gentillesse de par quelques rides d'expression que nombre de filles et même de mecs vont effacer dans un acte insensé.
    C'est mon сhіеп qui pourrait être ailleurs et qui vient s'allonger à coté, sa tête sur mon pied.

    Je vais te faire une illustration facile à comprendre de cet amour sans réfléchir et sans рlапs sur la comète.
    Un amour instantané qui t'inonde SI tu es vraiment disponible pour lui au moment où il t'arrive:

    Deux situations:
    1° Tu manges une pomme.
    2° Tu manges une pomme.

    La première, tu la manges et tu es déjà à tout à l'heure, peut-être à ton travail, en train de penser à ton après-midi.
    Bref, tu manges une pomme mais es tu vraiment là, en train de la manger, ta pomme

    La seconde (c'est en fait la même en étant consciente de ce que tu fais), tu la prends, tu l'observes, tu remarque sa forme, ses belles couleurs, le grain de sa peau, ses irrégularités, sa texture.

    Tu croques dedans.
    Son odeur était quasi inexistante et elle explose maintenant.
    S'y joint déjà la saveur du jus que la pression de tes dents a fait arriver sur tes papilles.
    Tu croques et le bruit de ton action sur ce fruit te renseigne aussi de sa qualité.

    Tu voyages dans cette dégustation, elle t'emmène peut-être sur un autre pommier où tu as grimpé, à moins que ce soit le sourire de la vепԁеusе du marché qui te revienne en mémoire.

    Mais cette pomme en train de disparaître en toi t'aime et tu l'aime, intensément.

    Quand elle sera mangée, tu ne la regrettera pas.
    Au contraire, tu repartira travailler avec ce sentiment d'avoir passé un Ьоп mоmепt.

    L'amour sans calcul ouvre la porte sur l'огgаsmе des sens quand celui qui échafaude rend aveugle à tant de choses de la vie qui en font pourtant le sel.
  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 15 mai 2019 à 18:11
    En réponse au message de parfum-de-femme :

    Tu as raison quelque part.

    L'Amour ne réfléchit pas, n'est en aucun cas un calcul.

    J'ai mis avec un grand A parce que c'est comme quand on met un grand H à homme pour montrer que cela inclut plus que l'on peut penser un première lecture.

    L'Amour, c'est mon émerveillement devant des chants de très jeunes oiseaux, ce matin.
    C'est ce beau visage que l'on croise au coin de la rue qui respire la gentillesse de par quelques rides d'expression que nombre de filles et même de mecs vont effacer dans un acte insensé.
    C'est mon сhіеп qui pourrait être ailleurs et qui vient s'allonger à coté, sa tête sur mon pied.

    Je vais te faire une illustration facile à comprendre de cet amour sans réfléchir et sans рlапs sur la comète.
    Un amour instantané qui t'inonde SI tu es vraiment disponible pour lui au moment où il t'arrive:

    Deux situations:
    1° Tu manges une pomme.
    2° Tu manges une pomme.

    La première, tu la manges et tu es déjà à tout à l'heure, peut-être à ton travail, en train de penser à ton après-midi.
    Bref, tu manges une pomme mais es tu vraiment là, en train de la manger, ta pomme

    La seconde (c'est en fait la même en étant consciente de ce que tu fais), tu la prends, tu l'observes, tu remarque sa forme, ses belles couleurs, le grain de sa peau, ses irrégularités, sa texture.

    Tu croques dedans.
    Son odeur était quasi inexistante et elle explose maintenant.
    S'y joint déjà la saveur du jus que la pression de tes dents a fait arriver sur tes papilles.
    Tu croques et le bruit de ton action sur ce fruit te renseigne aussi de sa qualité.

    Tu voyages dans cette dégustation, elle t'emmène peut-être sur un autre pommier où tu as grimpé, à moins que ce soit le sourire de la vепԁеusе du marché qui te revienne en mémoire.

    Mais cette pomme en train de disparaître en toi t'aime et tu l'aime, intensément.

    Quand elle sera mangée, tu ne la regrettera pas.
    Au contraire, tu repartira travailler avec ce sentiment d'avoir passé un Ьоп mоmепt.

    L'amour sans calcul ouvre la porte sur l'огgаsmе des sens quand celui qui échafaude rend aveugle à tant de choses de la vie qui en font pourtant le sel.

    L'Amour avec un grand A c'est mon poème qui l'imaginais comparant les choses ressenties comme ta pomme du second exemple or toi tu t'es arrêté au 15ème vers
    Sans pense que mon Coeur s'écrirait avec un grand C car ce n'est pas seulement une роmре à propulser le sang, mais le lieu du corps en lequel l'Amour avec un grand A peut rêver même matériellement et pas seulement romantiquement comme tu sembles le dénigrer!!!

    Je n'imaginais pas que le ressenti de mon poème puisse procurer de telles dissertations...
    Merci
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 15 mai 2019 à 18:28
    Dénigrer, comme tu y vas…

    Dénigrer, c'est s'efforcer de faire mépriser quelque chose; ce n'est pas mon propos.

    J'observe simplement le coté doux-amer de l'élan romanesque amoureux et donne des clefs de compréhension de ma façon de voir les choses dans l'idée de partager quelque chose de bien.
    Sachant également que le doux et l'amer sont chronologiquement mal répartis et que l'amer est plus près de la bière que le doux.

    Je ne t'accuse de rien; lis tes poèmes avec intérêt et y réagis, non pas pour t'indisposer mais parce que c'est l'essence même de la poésie de susciter des émotions et une réflexion.

    Maintenant, si cela te trouble d'une quelconque façon, c'est simple: Tu me le dis et je cesse de commenter tes poèmes.

    Je suis simplement quelqu'un qui est revenu d'un vision de la vie qui le faisait souffrir et qui partage un moyen de l'éviter tout en jouissant de sa réalité, dans sa dureté comme dans ce qu'elle a de plus agréable.
  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 15 mai 2019 à 18:44
    En réponse au message de parfum-de-femme :

    Dénigrer, comme tu y vas…

    Dénigrer, c'est s'efforcer de faire mépriser quelque chose; ce n'est pas mon propos.

    J'observe simplement le coté doux-amer de l'élan romanesque amoureux et donne des clefs de compréhension de ma façon de voir les choses dans l'idée de partager quelque chose de bien.
    Sachant également que le doux et l'amer sont chronologiquement mal répartis et que l'amer est plus près de la bière que le doux.

    Je ne t'accuse de rien; lis tes poèmes avec intérêt et y réagis, non pas pour t'indisposer mais parce que c'est l'essence même de la poésie de susciter des émotions et une réflexion.

    Maintenant, si cela te trouble d'une quelconque façon, c'est simple: Tu me le dis et je cesse de commenter tes poèmes.

    Je suis simplement quelqu'un qui est revenu d'un vision de la vie qui le faisait souffrir et qui partage un moyen de l'éviter tout en jouissant de sa réalité, dans sa dureté comme dans ce qu'elle a de plus agréable.

    non je ne déteste pas la controverse mais si tu relis toi-même tes propos tu verras que tu dénigres la premiere version de manger une pomme, alors que tu te complais à trouver des arguments pour justifier la seconde attitude... qui ne sont que subjectifs, tu dois le reconnaître!!!

    Je pourrais me satisfaire d'écrire mes "vers solitaires" mais il existe une forme parasitaire de cette locution qui pose des problèmes digestifs... Alors digérer mes vers je peux comprendre qu'il faille les mâcher pour les digérer!!! lolllllll

    J'aime les réparties humoristiques qui permettent d'enlever trop de sérieux aux propos...et agrémentent la conversation.

    Certains diront que c'est de l'ironie!... envers moi-même ce serait alors du mаsосhіsmе!!!
    voir le bon côté des choses sous formes d'images qui soutiennent l'imaginaire c'est le but de l'écriture poétique je pense.
    Les vers n'étant que le rythme de cette musique des mots

    Mais tu dois admettre que la critique est aisée et l'art bien difficile...

  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 15 mai 2019 à 19:19
    En réponse au message de tres-саlіп :



    non je ne déteste pas la controverse mais si tu relis toi-même tes propos tu verras que tu dénigres la premiere version de manger une pomme, alors que tu te complais à trouver des arguments pour justifier la seconde attitude... qui ne sont que subjectifs, tu dois le reconnaître!!!

    Si dénigrer, c'est souligner qu'on gâche la marchandise en mangeant une pomme en pensant à autre chose, je dénigre.

    Qu'étais-je en train de faire avec cette illustration

    Non pas dénigrer ton poème et ton travail mais mettre en évidence la chose suivante:

    On ne peut pas être au four et au moulin et, quand on est pris par plus tard ou plus tôt, on est pas maintenant.

    C'est un grand problème de notre société qui nous fait courir après un bonheur qui est pourtant face à nous et que l'on ne voit pas.
    C'est en cela que se nourrir du passé et l'avenir est contre-productif.
    C'est parce qu'il nuit à notre vie au présent.

    Je te donne un exemple:

    J'aime les animaux en général et plus particulièrement les сhіепs.
    Si je me mets à divaguer a leur sujet, je leurs prête les sentiments et motivations des humains.
    Le faire est particulièrement dommageable pour eux et je vois régulièrement des сhіепs élevé comme des enfants et qui ne savent même plus qui ils sont…

    Il y a aussi leur courte durée de vie, ce qui fait que j'en suis à mon 7° сhіеп.
    Évidement, je peux me faire le film tous les jours de la vieillesse, l'agonie, la mort qui attend mon berger allemand avec la célérité de l'espèce.
    Facile; j'ai assez de précédents pour le faire.

    Et bien non, j'ai déjà donné et on ne m'y reprendra plus.
    Je profite de mon сhіеп au présent et il sera grand temps de pleurer quand il crèvera.

    Prends maintenant ta propre vie.
    Tu sais que ta seconde mi-temps est bien avancée, non

    Tu as probablement des tonnes de photos à regarder, et elles vont te rappeler des moments heureux… avant qu'une vague de chagrin t'assaille…
    C'est cela aussi, le cœur qui te tient à cœur…

    À coté de cela, tu as aujourd'hui et ce que tu peux en faire.
    En se sortant du trip passé-avenir, on profite de ce que le présent peut apporter et, me concernant, c'est cette réflexion que je t'apporte.


    En réponse au message de tres-саlіп :


    Mais tu dois admettre que la critique est aisée et l'art bien difficile...


    Ce qui me semble difficile à discerner de ta part, c'est que je ne suis absolument pas dans la critique.

    Je ne fais qu'une chose: Réagir à ta prose.

    Elle m'a bercé sur les 15 premiers vers et j'ai trouvé cela fort agréable.
    Elle m'a peiné sur sa fin où j'ai senti une morsure que j'ai bien connu et dont je me suis défait depuis.

    D'où ma réflexion que tu sembles avoir vécu comme une critique…

    Maintenant, ton art est difficile et son carcan ne me donne pas епvіе de m'y coller car je suis plus dans les idées que dans la forme des choses.
    Mon art à moi consiste à faire des phrases dont je me moque de la forme mais me soucie de ce qu'elles feront dans l'esprit qui les perçoit.
    Je travaille l'humain avec des mots car ce ne sont pas les mots mais celui qui les lit qui m'intéresse.

    J'ai la présomption de penser que cela t'importe aussi et c'est pour cela que je participe en te disant ce que me fait ton poème…
  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 15 mai 2019 à 22:02
    En réponse au message de parfum-de-femme :

    En réponse au message de tres-саlіп :



    non je ne déteste pas la controverse mais si tu relis toi-même tes propos tu verras que tu dénigres la premiere version de manger une pomme, alors que tu te complais à trouver des arguments pour justifier la seconde attitude... qui ne sont que subjectifs, tu dois le reconnaître!!!

    Si dénigrer, c'est souligner qu'on gâche la marchandise en mangeant une pomme en pensant à autre chose, je dénigre.

    Qu'étais-je en train de faire avec cette illustration

    Non pas dénigrer ton poème et ton travail mais mettre en évidence la chose suivante:

    On ne peut pas être au four et au moulin et, quand on est pris par plus tard ou plus tôt, on est pas maintenant.

    C'est un grand problème de notre société qui nous fait courir après un bonheur qui est pourtant face à nous et que l'on ne voit pas.
    C'est en cela que se nourrir du passé et l'avenir est contre-productif.
    C'est parce qu'il nuit à notre vie au présent.

    Je te donne un exemple:

    J'aime les animaux en général et plus particulièrement les сhіепs.
    Si je me mets à divaguer a leur sujet, je leurs prête les sentiments et motivations des humains.
    Le faire est particulièrement dommageable pour eux et je vois régulièrement des сhіепs élevé comme des enfants et qui ne savent même plus qui ils sont…

    Il y a aussi leur courte durée de vie, ce qui fait que j'en suis à mon 7° сhіеп.
    Évidement, je peux me faire le film tous les jours de la vieillesse, l'agonie, la mort qui attend mon berger allemand avec la célérité de l'espèce.
    Facile; j'ai assez de précédents pour le faire.

    Et bien non, j'ai déjà donné et on ne m'y reprendra plus.
    Je profite de mon сhіеп au présent et il sera grand temps de pleurer quand il crèvera.

    Prends maintenant ta propre vie.
    Tu sais que ta seconde mi-temps est bien avancée, non

    Tu as probablement des tonnes de photos à regarder, et elles vont te rappeler des moments heureux… avant qu'une vague de chagrin t'assaille…
    C'est cela aussi, le cœur qui te tient à cœur…

    À coté de cela, tu as aujourd'hui et ce que tu peux en faire.
    En se sortant du trip passé-avenir, on profite de ce que le présent peut apporter et, me concernant, c'est cette réflexion que je t'apporte.


    En réponse au message de tres-саlіп :


    Mais tu dois admettre que la critique est aisée et l'art bien difficile...


    Ce qui me semble difficile à discerner de ta part, c'est que je ne suis absolument pas dans la critique.

    Je ne fais qu'une chose: Réagir à ta prose.

    Elle m'a bercé sur les 15 premiers vers et j'ai trouvé cela fort agréable.
    Elle m'a peiné sur sa fin où j'ai senti une morsure que j'ai bien connu et dont je me suis défait depuis.

    D'où ma réflexion que tu sembles avoir vécu comme une critique…

    Maintenant, ton art est difficile et son carcan ne me donne pas епvіе de m'y coller car je suis plus dans les idées que dans la forme des choses.
    Mon art à moi consiste à faire des phrases dont je me moque de la forme mais me soucie de ce qu'elles feront dans l'esprit qui les perçoit.
    Je travaille l'humain avec des mots car ce ne sont pas les mots mais celui qui les lit qui m'intéresse.

    J'ai la présomption de penser que cela t'importe aussi et c'est pour cela que je participe en te disant ce que me fait ton poème…

    la plus important est l'appréciation de notre réciproque sympathie qui compte. Le reste est littérature.
    Moi ma vie a toujours été attachée à l'Art sous toutes ses formes c'est une façon de concevoir la beauté des choses de la vie.
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 15 mai 2019 à 22:12
    Et moi, je suis un сосhоп; c'est le lard qui m'a révélé que tout est bon dans la vie…

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