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Тгоu du Сul - Littérature & poésie
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Sujet de discussion : Тгоu du Сul
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elucne Membre occasionnel
- 9 mars 2019 à 05:30
Hello, hello
Qui peut me dire qui a réellement écrit ce texte
L’Idole, Sonnet du Тгоu du Сul
Arthur Rimbaud
Obscur et froncé comme un oeillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des Fеssеs blanches jusqu’au coeur de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s’aller perdre où la pente les appelait.
Mon Rêve s’aboucha souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C’est l’olive pâmée, et la flûte сâlіпe,
C’est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos ! -
textoo Légende urbaine
- 9 mars 2019 à 08:08
Bonjour ElucneEn réponse au message de elucne :
Qui peut me dire qui a réellement écrit ce texte
D'après un site "poétique" c'est d' Albert Mérat (1840/1909) intitulé l'Idole, où sont détaillées toutes les beautés d'une dame : Sonnet du front, Sonnet des yeux, Sonnet des fеssеs, sonnet du..., dernier sonnet.
Mais, était-ce vraiment la question ?
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maplanteverteisdead Membre expérimenté
- 9 mars 2019 à 11:20
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baalbis Membre pionnier
- 9 mars 2019 à 12:55
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tres-calin Membre suprême
- 9 mars 2019 à 12:56
En réponse au message de elucne :
Hello, hello
Qui peut me dire qui a réellement écrit ce texte
L’Idole, Sonnet du Тгоu du Сul
Arthur Rimbaud
Obscur et froncé comme un oeillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des Fеssеs blanches jusqu’au coeur de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s’aller perdre où la pente les appelait.
Mon Rêve s’aboucha souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C’est l’olive pâmée, et la flûte сâlіпe,
C’est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !
Selon les règles de la prosodie classique c'est un sonnet boiteux dont les vers approximatifs ne sont pas des alexandrins.
Poétiquement parlant je trouve cet écrit prétentieusement appelé sonnet, qui serait l'élucubration, nulle, d'un penseur un peu "sonné"...
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baalbis Membre pionnier
- 9 mars 2019 à 13:02
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tres-calin Membre suprême
- 9 mars 2019 à 13:36
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baalbis Membre pionnier
- 9 mars 2019 à 13:43
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tres-calin Membre suprême
- 9 mars 2019 à 13:47
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baalbis Membre pionnier
- 9 mars 2019 à 13:48
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