A ceux qui nous manquent - Littérature & poésie

Certains hommes craignent qu'en prononçant le nom des morts, ceux-ci, entendant leur appel, ne reviennent les hanter. Croyance imbécile, car hélas lorsque tu m'a été enlevé, j'ai maintes fois gémit ton nom adoré mais tu ne m'a pas été rendu

Ce n'est pas des morts dont il faut avoir peur, mais des vivants.

Ce n est ni aux morts, ni aux vivants dont il faut craindre mais aux morts-vivants.....pardon.....OK je sors

Ce n est ni aux morts, ni aux vivants dont il faut craindre mais aux morts-vivants.....pardon.....OK je sors

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Certains hommes craignent qu'en prononçant le nom des morts, ceux-ci, entendant leur appel, ne reviennent les hanter. Croyance imbécile, car hélas lorsque tu m'a été enlevé, j'ai maintes fois gémit ton nom adoré mais tu ne m'a pas été rendu

''Croyance imbécile'' .... chacun ses croyances et ses convictions. C'est quelque chose que l'on ne peut pas juger.

Tu peux avoir tes propres croyances qui vont te paraître les meilleures ... et pour un autre bien au contraire, elles vont être à ses yeux stupides.

Merci Epulon, ton texte me parle.

Madeinfrance : dans ce texte, il n'est pas question d'accepter ou de rejeter des "croyances", des coutumes ou les convictions de chacun. Toutes sont respectables (enfin presque) et en sens ne doivent pas être moquées ou jugées.
Dans ce texte, celui qui parle a perdu un être cher et quelque part a cru que peut-être en prononçant son nom, comme la croyance le laissait penser, celui-ci reviendrai le hanter. C'est seulement un effet de style.

L'enfant né pour mourir ,cela fait partie de la vie cruel destin pour certain ,délivrance pour d'autre mais l'important ce sont ce que l'on a aimé ,qui ne sont plus là ,juste un parfum ,un souvenir