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L alcoolisme - Homosexualité

Sujet de discussion : L alcoolisme
  • moquette-lol Membre suprême
    moquette-lol
    • 12 mai 2009 à 10:42
    Pour vous quand commence l alcoolisme?
    quelles sot les effets sur l entourage la famille?
    est que boire a l occasion(comme beaucoup pour delirer ou encore oublier les soucis du moment)sont deja une forme d alccolisme??

    je_mappelle_alcoolisme-426x356.jpg
  • fabulette Membre élite
    fabulette
    • 12 mai 2009 à 11:17
    Pour moi çà commence à partir du moment où on a besoin de boire, que ce soit un besoin physique ou bien psychologique un besoin de boire pour se sentir plus extraverti en soirée par exemple, si c'est systématique il y a danger!
  • ariane Membre expérimenté
    ariane
    • 12 mai 2009 à 11:27
    Pour vous quand commence l alcoolisme?
    quelles sot les effets sur l entourage la famille?
    est que boire a l occasion(comme beaucoup pour delirer ou encore oublier les soucis du moment)sont deja une forme d alccolisme??

    je_mappelle_alcoolisme-426x356.jpg

    L'alcoolisme pour moi, commence dès lors que tu fais une consommation régulière d'alcool. Le phénomène me parait d'autant plus préoccupant, quand il s'agit de boire pour oublier ses soucis ou pour rechercher une forme de réconfort dans un verre.

    Par rapport à la famille, les effets sont aussi divers que variés suivant le taux d'alcoolisme, la proximité familiale des personnes par rapport à "l'alcoolique", leur degré d'implication suivant le problème, leur âge et leur ехрéгіепсеs personnels face à l'alcool notamment.

    Boire pour faire la fête est moins "préoccupant" que boire pour oublier ses soucis à partir du moment où l'alcool est rattaché à une occasion joyeuse.


    Voilà je pense que j'ai tout dit, Moquette.

  • framboise06 Membre pionnier
    framboise06
    • 12 mai 2009 à 11:30
    Ca me fait penser que c'est l'heure de l'apéro !!
  • alexis13 Membre expérimenté
    alexis13
    • 12 mai 2009 à 12:15
    excellente idée, l'Apéro

    BALLADE A BOIRE


    de Jean RICHEPIN ( Mes paradis 1894 )

    Ces gourmandises de bouteilles
    Débaucheraient le plus têtu
    Oh ! les belles gouges vermeilles
    Qui vous font de l'oeil impromptu !
    Tant pis pour qui ne l'a point eu,
    Le bonheur ргоfопԁ et céleste
    Qu'offre leur ventre court vêtu !
    Bois d'autant. Siffle sur le reste.

    Je bois. Si tu m'en déconseilles,
    Je te dirai turlututu,
    Et, me bouchant les deux oreilles,
    J'attendrai que tu te sois tu.
    Prends plutôt ce verre pattu
    Et le vide d'une main preste.
    Afin de noyer ta vertu,
    Bois d'autant. Siffle sur le reste.

    Bois. Les bouteilles sont pareilles
    A des tétons au bout pointu.
    En les suçant tu t'ensoleilles,
    Ton nez fût-il sale et tordu,
    Rongé de pleurs, triste, battu
    Par les flots d'un destin fuпeste,
    Il devient clair et beau si tu
    Bois d'autant. Siffle sur le reste.

    Il faut respecter la liberté de faire ou de pas faire de chaque individu
  • nova1971 Membre habitué
    nova1971
    • 12 mai 2009 à 12:54
    Je pense que l'alcoolisme à lieu quand on ne pas s'en passer!
  • c-leen Membre pionnier
    c-leen
    • 12 mai 2009 à 13:45
    ... c'est complexe à dire ... mais je pense que la limite est assez floue... on ne peut pas dire que quand commence nos addictions... un verre par jour, c'est pas énorme... surtout si on peut s'en passer... mais l'habitude amène quand même à devenir 'alcoolique'... cela marche pour l'alcool mais tout autres substances addicitives
  • matibou Membre élite
    matibou
    • 12 mai 2009 à 17:04
    Oui tt dépends de son état d esprit oh moment boire pour faire la fête avec ses amis c est pas grave je penses .
    mais si tu bois pour fuir un mal être la ça crains .
    je penses qu il faut ce méfié des artifice quels qu ils soient car on est pas a l abri d un coup de faiblesse a un moment ou l on est plus vulnérable .
    donc je penses qu il faut tjs faire attention a ne pas franchir les limites de l occasionnel
  • alexis13 Membre expérimenté
    alexis13
    • 12 mai 2009 à 17:41


    Attention à l'alcoolisme mondain c'est lorsque les gens sortent beaucoup et picolent tous les soirs... Il n'y a pas de différence avec l'alcoolisme tout court, les dégâts sont les même, mais parce que c'est festif, on s'imagine que c'est pas pareil.

    A partir du moment ou on s'emmerde en soirée parce qu'on a pas picolé, faut se poser des questions...

    Si on décide de voir un médecin, il y a légion de généralistes qui ne connaissent pas bien la maladie "alcool". Il vont vous "baladé" pendant des mois, en vous prescrivant des anti-dépresseurs, et en vous demandant de limiter votre conso.

    Hors, quand on est alcoolique, limiter sa conso au raisonnable est absolument impossible.

    C'est pourquoi, il faut s'a orienté vers un alcoologue dans un hôpital.

  • peterchat1 Membre élite
    peterchat1
    • 13 mai 2009 à 10:21


    Attention à l'alcoolisme mondain c'est lorsque les gens sortent beaucoup et picolent tous les soirs... Il n'y a pas de différence avec l'alcoolisme tout court, les dégâts sont les même, mais parce que c'est festif, on s'imagine que c'est pas pareil.

    A partir du moment ou on s'emmerde en soirée parce qu'on a pas picolé, faut se poser des questions...

    Si on décide de voir un médecin, il y a légion de généralistes qui ne connaissent pas bien la maladie "alcool". Il vont vous "baladé" pendant des mois, en vous prescrivant des anti-dépresseurs, et en vous demandant de limiter votre conso.

    Hors, quand on est alcoolique, limiter sa conso au raisonnable est absolument impossible.

    C'est pourquoi, il faut s'a orienté vers un alcoologue dans un hôpital.


    D'accord ave Artemis.
    Déjà, quand il nous faut "un verre" pour se sentir bien, il y a un problème. Quand ce verre devient une nécessité quotidienne, il y a un grand risque de dépendance. Pour être considéré comme alcoolique, on est pas obligé de se rouler par terre après avoir consommer
    " Etre alcoolique, c'est bien sûr trop boire. Mais être alcoolique, c'est aussi "mal boire", dévier l'alcool d'un usage convivial intégré et heureux. Etre alcoolique, c'est "souffrir de boire",(et souvent faire souffrir son entourage) psychiquement et physiquement, et "ne plus pouvoir ne pas boire".(AlcoWeb)
    Pour se faire aider, comme le souligne Artemis, il est préférable de consulter un spécialiste en la matière ou rejoindre un groupe tel les AA qui est aussi efficace comme support psychologique.

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