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Alcool libérateur ? (page 3) - Sports, santé & bien être

Sujet de discussion : Alcool libérateur ?
  • textoo Légende urbaine
    textoo
    • 2 avril 2016 à 20:23
    En réponse au message de yoomy :

    Et toi alors Textoo?! Tu passes ton temps à nous sonder mais tu ne réponds jamais à tes propres questions...!

    Tu a raison Yoomy, pour moi rien d'extraordinaire, 1, 2, 6,10, comme la majorité je pense ...



  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 2 avril 2016 à 21:18
    Je ne bois plus une seule et unique goutte d'alcool ; c'est à peine si je prends de la choucroute cuite au vin blanc.
    J'ai arrêté, vu les doses massives ingérées, et les états désastreux dans lesquels je me mettais.

    On peut célébrer ce que l'on veut avec force vins et spiritueux, je n'en boirai pas : cette règle est adoptée et intégrée ; il n'y a pas d'exception possible.

    J'admire ceux qui disent boire un peu, modérément, sans dépasser la mesure, sans viser à se détruire, en bonne compagnie ; je buvais en solitaire, perdais tout repère, avec la limite imposée par le sommeil.

    L'alcool n'est pas seulement la ԁгоguе dure la plus légale, la plus accessible, la moins chère (prenez le gros rouge et non le whisky pour référence), la plus rapide, avec les effets les plus massifs mais du fait de son acceptation sociale, depuis des millénaires, c'est la plus insidieuse et la plus dangereuse.

    L'alcool induit des états modifiés de conscience très agressifs envers soi-même : bref, se saouler est un acte suicidaire, que l'on déplorera, mais qui ne donnera pas lieu à une réprobation sociale majoritaire.

    Donc tout arrêt sera un acte solitaire, admiré de loin ; tout ce que vous pourrez dire est que vous avez cessé de vous suicider de cette manière, et l'on vous idéalisera ("c'est dur, hein") ou l'on vous stigmatisera ("qui a bu boira"), sans tellement peser les mots véridiques et simples : boire, c'est se tuer !
  • 50_nuances_de_bi Membre suprême
    50_nuances_de_bi
    • 2 avril 2016 à 21:35
    Le plus pénible souvent pour les alcooliques c'est ce que subit l'entourage quelques fois
    Dans mon entourage j'ai eu une personne qui buvait quelques fois (maintenant décédée)
    Je mangeais 2 à 3 fois avec elle lors de repas de famille il arrivait qu 'elle devienne pénible plus qu 'il en faut quand elle avait trop bu
    C'est pénible à supporter croyez moi !
    Pourtant en dehors de cela à jeun c'était la crème des hommes, d 'une gentille incroyable !
  • kikinou4 Membre élite
    kikinou4
    • 2 avril 2016 à 21:37
    Le 7 et 12 quand je buvais.
    Plus une goutte d'alcool depuis 20 ans.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 2 avril 2016 à 22:08
    Il est certain que boire inflige des souffrances à celui qui vous aime, et que cet attachement à vous peut constituer une raison et un vecteur pour cesser de boire.

    Ce fut mon cas.

    --- Pour répondre au titre de Textoo :

    L'alcool ne libère pas, il crée une dépendance ; par ailleurs, il désinhibe, et ceci est loin d'être une libération !

    Grâce à un produit toxique pouvoir transgresser ses propres limites n'est pas synonyme de libération, du tout.
  • textoo Légende urbaine
    textoo
    • 2 avril 2016 à 22:27
    En réponse au message de kikinou4 :

    Le 7 et 12 quand je buvais.
    Plus une goutte d'alcool depuis 20 ans.

    Bonsoir Kikinou,

    Pas le meilleur coté du breuvage en effet, tu as bien fait d'arrêter



  • textoo Légende urbaine
    textoo
    • 2 avril 2016 à 22:30
    En réponse au message de leonardo_bicaprio :

    Le plus pénible souvent pour les alcooliques c'est ce que subit l'entourage quelques fois

    Là, nous rentrons dans l'addiction, les effets sont tout autres ...



  • textoo Légende urbaine
    textoo
    • 2 avril 2016 à 22:37
    En réponse au message de serge-herv007 :

    Il est certain que boire inflige des souffrances à celui qui vous aime, et que cet attachement à vous peut constituer une raison et un vecteur pour cesser de boire.

    Ce fut mon cas.

    --- Pour répondre au titre de Textoo :

    L'alcool ne libère pas, il crée une dépendance ; par ailleurs, il désinhibe, et ceci est loin d'être une libération !

    Grâce à un produit toxique pouvoir transgresser ses propres limites n'est pas synonyme de libération, du tout.

    Bonsoir Serge,

    Il y a boire et boire, tout est dans le dosage et la fréquence. Chercher l'ivresse dans la boisson relève un ргоfопԁ mal être et un besoin de fuir la réalité. Ce n'est pas la majorité et heureusement.



  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 2 avril 2016 à 23:21
    Nous pourrions épiloguer, indéfiniment, sur le symptôme qu'est l'alcoolisme.

    La fonction de l'alcool peut, effectivement, être le tгаvеstіssement de la réalité, tant environnante que psychique, et noyer cela dans un non-lieu cotonneux, sans temps qui passe, sans pensée qui s'agite, sans sensation qui s'impose.

    J'espère que l'alcool peut ne pas exercer cette fonction pour la majorité des buveurs, Textoo.
  • yggdrasil Membre élite
    yggdrasil
    • 3 avril 2016 à 06:30
    En réponse au message de spikeman :

    Je ne bois pas.

    Pas d'eau, tu veux dire ?

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