C'est hélas arrivé... - Littérature & poésie

C'est hélas arrivé...

En hommage à celui que j''ai perdu à l'âge de 26 ans victime d'un cancer...

Qu'adviendra-t-il ? Jamais... en ta triste prison

Qui te retient meurtri quand ton soleil décline,

Plus de trésor d'un coeur où l'âme est perle fine !...

Aux projets d'avenir après la guérison,

J'évitais d'évoquer le retard, la raison

Des études en panne auxquelles on te destine.

Tu répondais : ça va!... pourtant sous la morphine,

Sur l'océan des pleurs n'ayant plus d'horizon !...

Tu voulais me cacher ton état, ta tristesse

Et pour moi rester fort refuser la détresse :

Tu souffrais sans un mot, en silence et sans cris.

Hélas, encor lucide, ultime force vive,

Dans ton dernier message où tu m'avais écrit:

Je t'aime et t'aimerai toujours "quoiqu'il arrive " !...

Très сâlіп a écrit « Hélas, encor lucide, ultime force vive,

Dans ton dernier message où tu m'avais écrit:

Je t'aime et t'aimerai toujours "quoiqu'il arrive " !... »

A la croisée des chemins puis dans l’au delà, l’amour toujours plus fort que la mort.

En réponse au message de studio.54 :

Très сâlіп a écrit « Hélas, encor lucide, ultime force vive,

Dans ton dernier message où tu m'avais écrit:

Je t'aime et t'aimerai toujours "quoiqu'il arrive " !... »

A la croisée des chemins puis dans l’au delà, l’amour toujours plus fort que la mort.

Oui mais la tristesse et le vide sont désespérants,

Mais le "quoiqu'il arrive" montrait qu'il était conscient de la gravité de son état, et qu'il m'aimerait du ciel où il était parti.

Alors dans mes prières journalières matin et soir j'évoque son départ et nos sentiments d'amour!

En réponse au message de tres-calin :

C'est hélas arrivé...

En hommage à celui que j''ai perdu à l'âge de 26 ans victime d'un cancer...

Qu'adviendra-t-il ? Jamais... en ta triste prison

Qui te retient meurtri quand ton soleil décline,

Plus de trésor d'un coeur où l'âme est perle fine !...

Aux projets d'avenir après la guérison,

J'évitais d'évoquer le retard, la raison

Des études en panne auxquelles on te destine.

Tu répondais : ça va!... pourtant sous la morphine,

Sur l'océan des pleurs n'ayant plus d'horizon !...

Tu voulais me cacher ton état, ta tristesse

Et pour moi rester fort refuser la détresse :

Tu souffrais sans un mot, en silence et sans cris.

Hélas, encor lucide, ultime force vive,

Dans ton dernier message où tu m'avais écrit:

Je t'aime et t'aimerai toujours "quoiqu'il arrive " !...

Bonjour très сâlіп,

Ta poésie m'epate et me transporte

Je ne te savais pas poète

et la poésie du coeur est toujours la plus belle

Bel hommage à ce garçon parti trop vite...

En réponse au message de kleo :

Bonjour très сâlіп,

Ta poésie m'epate et me transporte

Je ne te savais pas poète

et la poésie du coeur est toujours la plus belle

Bel hommage à ce garçon parti trop vite...

Merci, oui je suis poète depuis l'âge de 50 ans...

ӏпіtіé à ce type d'écriture par celui qui fut mon parrain pour que je sois admis comme sociétaire de l'Académie de la Poésie Française