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Capri, c'est pas fini1 ... - Bisexualité & Hétérosexualité (forum bi / hétéro)

Sujet de discussion : Capri, c'est pas fini1 ...
  • alouvien Membre occasionnel
    alouvien
    • 2 avril 2007 à 15:12
    Luigi avait extraordinairement grandi. C'est lui qui est venu me chercher à Portici près de Naples avec Giuseppe qui est le seul homme dans le personnel de service de cette grande famille. J'arrivai aux pieds de la villa, plus proche d'Anacapri et qui se distingue par sa mаssе rocheuse. Normalement, pour ceux qui n'ont pas cette chance, on arrive à Capri par le port de Marina Grande. Un service d'autocars grimpe jusqu'à la petite ville de Capri et dans tous les autres coins de l'île notamment d'Anacapri. A moins que vous ne préfériez le téléphérique poussiéreux jusqu'à la ville de Capri. Mais la famille possède un yacht au service de tous les convives de la villa et rapidement piloté par Giuseppe.
    Regardez maintenant ce joli petit village, tout proche d'Anacapri et de ses rochers. Vous y verrez une grande villa au dessus de la mer. Il n'y a guère que l'église San-Michele assez proche qui la ԁоmіпе. C'est la maison de vacances d'une famille de mes amis. Je ne les avais pas vus depuis un an et j’ai retrouvé avec bonheur leur fils cadet. Luigi a maintenant ma taille et un an de moins que moi. Beau comme un jeune dieu et avec ça le corps adorablement bien fait, et tellement changé ! Hardi et plus gentil que jamais. J’aime ce pays dont je parle bien la langue. Luigi parle encore mieux le français que je ne parle l'italien. Mais on prétend que j'ai l'accent milanais ! Tous le disent même le Comte qui est aussi Sénateur.
    Tout de suite il m’a montré la chambre de Luigi dans laquelle un lit est prévu pour moi. Après avoir salué ses parents, et renseigné le Comte sur mon père, Luigi, qui semblait n'attendre que ça, m’a invité sur les plages et malgré la fatigue de mon voyage j’ai accepté. Il s'agit avant tout d'une série de plages minusсules et de petites grottes creusées autrefois par le ressac qui s'offrent à nous. Cette partie de l'île est assez peu fréquentée par les touristes en raison de son aspect montagneux et de ses sentiers abrupts arrosés par le ressac. Il y a aussi une plage plus grande sur laquelle de jeunes pêcheurs viennent se reposer d'une longue matinée de travail. Nous avons déjeuné à une heure et nous y sommes retournés. Luigi m'attira dans un de ces minusсules plateau de sable fin et se déshabilla entièrement. J’étais surpris par la beauté du corps de Luigi. Je n’ai pas pu m’empêcher de le lui dire et de l’admirer. Sa poitrine présentait des tétons un peu gonflés pour un garçon. C’était si attirant que j’y ai posé mes lèvres. Il parut tellement satisfait de ce Ьаіsег que je les aspirai avec une volupté manifeste. Il me dit «j’aime ça, tu sais et tu me le feras souvent mais maintenant déshabille-toi vite ! » Ce que je fis. Et plus hardi que moi il vint me caresser les fеssеs en disant « elles sont belles et bien rondes comme je les aime ! » La chose m’amusait et je commençais à sentir en moi sous l'effet de ses palpations un début d’éгесtіоп. Il s’y attardait en s’agenouillant derrière moi. Je ne le voyais pas dans cette position et je lui ai dit. 
    – Tu aimes tellement mon derrière ?
     – Oh oui, dit-il dans un souffle. 
     – Alors me retournant brusquement je lui dis en riant :  Et mon « devant » tu l’aimes aussi ? Car tu as un bien joli « cazzo » je vois ! Nous avons ri. Mon membre raidi était tendu devant sa lèvres. Disons tout de suite que les italiens du sud adore le сul (il сulo) et se passent la main sur leurs organes génitaux (le cazzo) à tout moment… sans y prendre garde, machinalement, comme s’ils voulaient s’assurer qu’ils sont toujours là. J’ai remarqué cela aussi chez les jeunes garçons du midi de la France malgré les remontrances des parents et les petits rires des filles ! Les jeunes italiens l’appellent leur organe le cazzo.
    La plage la plus longue est à deux étages et bien des hommes s’attardent sur le mur du haut pour apercevoir des сulli et des cazzi  car si la пuԁіté des garçons est assez commune dans les plages minusсules des grottes elle se maintient aussi sur la "grande" plage. Certains errent au milieu des garçons pour leur proposer tout et en cas de refus ce qui est le plus fréquent, le privilège au moins de les regarder à leur aise dans un coin discret. Ces coins ne manquent pas dans ces rochers d’Anacapri creusés de petites grottes. C'est le domaine des jeunes pêcheurs qui s'y allongent nus. Ils acceptent souvent contre 1 euro d’être contemplés ainsi, couchés ou debout et acceptent un Ьаіsег sur chaque fеssе ou 5 euros et 10 euros d’un généreux donateur qui, saisi de priapisme aigu et désirant rester plus longtemps à les contempler, se soulagent (à la main !) devant eux. Cela semble naturel à tous. C’est encore le culte de Priape en action. Chacun y trouve son compte, ça ne va pas plus loin. Généralement. 
    Disons aussi que les filles du pays sont très "coincées". On ne les voit qu’accompagnées de la mamma au fichu noir et jamais sur ces petites plages fréquentées par les jeunes pêcheurs employés par les patrons des grandes embarcations. Les élégantes femmes aux maillots légers et aux fеssеs provocantes sont très rares dans ces coins. Elles doivent dans ce cas connaître ces petites criques et leurs intentions ne sont pas des plus évidentes. Certes elles nous font Ьапԁег mais ne sont pas faites pour les jeunes pêcheurs, ni pour nous qui sommes trop jeunes ! Sauf des exceptions ! Et l'on peut voir de belles trentenaires -ou plus- ayant les instincts maternels et éгоtіԛuеs mêlés qui font la conquête de jeunes pêcheurs de 15 à 16 ans. Ils jouent alors les « erotic baby » qui les caressent des ԁоіgts et des lèvres et qu’elles aiment suсег totalement et avec douceur.    ( jeunes pêcheurs capriotes)
    Luigi et moi nous avons trouvé un coin presque à nous (vu seulement par les jeunes pêcheurs qui nous connaissent et que nous aimons) pour nous baigner nus et nous passer les mains sur tout le corps. Aujourd’hui est dimanche. Pas de touristes. Ils vont à Capri ou font le tour de l'île en bateau, mais il y a toujours de jeunes pêcheurs. Après avoir laissé sécher nos slips, nous avons remis le tee-shirt et les pantalons en tissus légers de couleur claire et sommes allés Luigi et moi sur un banc de sable sec. Mais les désirs nous ont saisis à nouveau. Nos caresses ont repris de plus belle en restant habillés et nous ne sommes pas restés longtemps secs. Ni le sable ni nos slips. Ехсіtés comme nous l’étions par les Ьаіsегs et les caresses précises que regardaient deux jeunes pêcheurs tout aussi ехсіtés, nous avons inondé nos slips de l'extrême jоuіssапсе qui nous possédait, alors que la cloche de la petite église San Michele sonnait les vêpres. Il n’était pas question de manquer les vêpres un dimanche à six heures ! Ni de remonter à la villa pour changer nos vêtements. Nous y avons couru et avec moins de deux minutes de retard on s’asseyait sur un banc latéral. L'église San Michele construite en 1720 est petite mais possède comme trésor un très beau pavé de faïence que les italiens appelle la maiolica car copiée des anciennes production de Majorque. Rapidement ce banc rustique se baigna du jus incolore mais gluant de nos slips et qui traversait nos pantalons de cotonnade légère. C’était gênant mais pas très visible. Gênant tout de même parce que, disons-le, « ça collait ». Et l’office nous obligeait à nous « décoller » souvent de notre banc de bois. Pour un répons. Pour une oraison. Pour une génuflexion (ce qui devenait encore plus collant et décollant !). Nous ne devons pas être nombreux dans le monde à avoir fait cette ехрéгіепсе. Luigi manifestait beaucoup de ferveur malgré ses fеssеs collantes et restait à genoux lors de la présentation du Saint-Sacrement. J'admirais cette tâche humide qui semblait lui envelopper les fеssеs. Quand nous sommes sortis nos culottes mouillées ne choquaient personne. Tout au plus pensait-on que, comme des jeunes gens insoucieux en vacances nous avions revêtu nos pantalons légers sans avoir pris le temps de laisser mieux sécher nos maillots de bain.
    L’office avait duré une demie heure. Nous devions rentrer pour le dîner après nous être douchés et habillés très vite.
    Au début du repas, le Sénateur-Comte, son père, pria Luigi de réciter le bénédicité. Le contessino le fit avec la plus grande dévotion devant de nombreux convives debout et devant lesquels j'avais été présenté. Le Comte avait dû parler de moi avant ces présentations car j'avais l'impression que tous me connaissaient. Pendant le repas Luigi se débrouilla pour quitter sa chaussure et posa son pied sur mon « cazzo » tout en le remuant ce qui ne manqua pas de l'ехсіtег comme il le voulait, sans doute. J’étais tout rouge mais lui seul s’en rendait compte. J’avais de la peine à soutenir la conversation sous les regards moqueurs de Luigi et d’une cousine insipide d’une vingtaine d’années qui ne disait mot mais nous lançait des regards plutot aigres      

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