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Епvіе de te garder (page 2) - Littérature & poésie

Sujet de discussion : Епvіе de te garder
  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 14 mai 2019 à 15:15
    En réponse au message de rykkos :

    Tres joli

    merci la tristesse de la séparation n'enlève rien à la beauté des souvenirs
  • sim.s-heart Légende urbaine
    sim.s-heart
    • 14 mai 2019 à 15:16
    En réponse au message de nyke41 :

    Emplafonné par un semi -remorque sans doute!

    top là
  • sim.s-heart Légende urbaine
    sim.s-heart
    • 14 mai 2019 à 15:19
    En réponse au message de tres-саlіп :

    En réponse au message de parfum-de-femme :

    C'était super jusqu' au 15° verre, comme dirait un pote alcoolique…

    Cruelle chimie des sentiments qui, tels une ԁгоguе dure, entraîne dans sa descente les élans du paradis.

    C'est pour cela que je m'en méfie, préférant de loin percevoir que penser des pensées qui vont faner.
    Emportées par le temps qui se charge de tuer tout ce qu'il y a de vivant en nous.

    Alors, je me contente de vivre l'instant présent sans morsure du passé ni espoir de l'avenir.
    De cette façon, même ma mort me surprendra !

    je ne comprends pas pourquoi la séparation par les obligations de la vie puisse être assimilée à la mort...

    Je croyais dans mon poème au contraire rédiger que l'amour ne meurt pas même loin du coeur qu'on aime.
    On ne cesse pas de l'aimer!

    C'est aussi c'que j'avais cru comprendre en lisant ton poème, mais PDF voit toujours les choses differament...
    Cependant, tout est sujet à interprétation...
  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 14 mai 2019 à 15:27
    En réponse au message de sim.s-heart :

    En réponse au message de tres-саlіп :

    En réponse au message de parfum-de-femme :

    C'était super jusqu' au 15° verre, comme dirait un pote alcoolique…

    Cruelle chimie des sentiments qui, tels une ԁгоguе dure, entraîne dans sa descente les élans du paradis.

    C'est pour cela que je m'en méfie, préférant de loin percevoir que penser des pensées qui vont faner.
    Emportées par le temps qui se charge de tuer tout ce qu'il y a de vivant en nous.

    Alors, je me contente de vivre l'instant présent sans morsure du passé ni espoir de l'avenir.
    De cette façon, même ma mort me surprendra !

    je ne comprends pas pourquoi la séparation par les obligations de la vie puisse être assimilée à la mort...

    Je croyais dans mon poème au contraire rédiger que l'amour ne meurt pas même loin du coeur qu'on aime.
    On ne cesse pas de l'aimer!

    C'est aussi c'que j'avais cru comprendre en lisant ton poème, mais PDF voit toujours les choses differament...
    Cependant, tout est sujet à interprétation...

    Merci au moins d'avoir compris ce que j'avais rédigé: la séparation des coeurs est triste mais enrichissante par la beauté de souvenirs à laquelle on peut toujours rêver.
    Lorsque la mort intervient c'est l'oraison fuпèbre et la décoration de la légion d'honneur a titre posthume qui a peut-être inspiré PDF...
    Mais les tristesses іпtіmеs et nationales n'ont aucun lien commun!
  • lessismore Membre suprême
    lessismore
    • 14 mai 2019 à 15:39
    En réponse au message de parfum-de-femme :

    En réponse au message de lessismore :

    Comment la mort peut elle surprendre...

    Elle te surprend quand tu ne passe pas ta vie à y penser…
    La différence entre la perception des choses et leurs pensées, c'est que la première t'oblige au présent puisqu'il n'y a pas de temporalité.
    Ensuite viennent les pensées et leur piège qui consiste a vouloir que ce qui t'arrive d'agréable maintenant dure.
    Les pensées sont d'un monde virtuel et la perception est du monde réel.

    Dans le monde réel, tu es vivant et quand ça s'arrête, tu ne l'es plus, tout simplement.
    C'est en cela que la mort te surprend !

    C’est très new age.
    Pour ma part je ne la classe ni dans les pensées ni dans la perception. Je préfère le savoir.
    Celui qui n’a pas besoin de se penser continuellement ni de se vivre pour être acquis.
    La mort devient seule non inconnue d’une équation.
    Ainsi il me parait plus éprouvant mais plus gratifiant de chercher la vision de la droite dans son intégralité que de vivre les points fragmentés de cette droite.
    Troquer l’instantanéité pour une vision perpétuellement périphérique.

    C’est en cela que la mort n’est pas surprenante mais que la vie l’est.


    Mais tu vas me dire... que je ne fais que penser
  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 14 mai 2019 à 15:43
    En réponse au message de lessismore :

    En réponse au message de parfum-de-femme :

    En réponse au message de lessismore :

    Comment la mort peut elle surprendre...

    Elle te surprend quand tu ne passe pas ta vie à y penser…
    La différence entre la perception des choses et leurs pensées, c'est que la première t'oblige au présent puisqu'il n'y a pas de temporalité.
    Ensuite viennent les pensées et leur piège qui consiste a vouloir que ce qui t'arrive d'agréable maintenant dure.
    Les pensées sont d'un monde virtuel et la perception est du monde réel.

    Dans le monde réel, tu es vivant et quand ça s'arrête, tu ne l'es plus, tout simplement.
    C'est en cela que la mort te surprend !

    C’est très new age.
    Pour ma part je ne la classe ni dans les pensées ni dans la perception. Je préfère le savoir.
    Celui qui n’a pas besoin de se penser continuellement ni de se vivre pour être acquis.
    La mort devient seule non inconnue d’une équation.
    Ainsi il me parait plus éprouvant mais plus gratifiant de chercher la vision de la droite dans son intégralité que de vivre les points fragmentés de cette droite.
    Troquer l’instantanéité pour une vision perpétuellement périphérique.

    C’est en cela que la vie n’est pas surprenante.


    Mais tu vas me dire... que je ne fais que penser

    JE PENSE? DONC JE SUIS!
    C'est une pensée de Pascal qui ne date pas d'hier!
  • lessismore Membre suprême
    lessismore
    • 14 mai 2019 à 15:56
    CORrrect
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 14 mai 2019 à 16:31
    En réponse au message de tres-саlіп :



    je ne comprends pas pourquoi la séparation par les obligations de la vie puisse être assimilée à la mort...

    On se sait pas quand, dans quelles circonstances, pour quelles raisons, dans quel état d'esprit tu rédiges ta poésie…

    Quand je lis:

    En réponse au message de tres-саlіп :


    La solitude hélas me plonge en la tristesse
    Qui me fait éprouver si lointain ce bonheur...
    Devrais-je encore une fois sentir pleurer mon coeur?

    Je pense à une solitude qui pourrait être le veuvage, un si lointain bonheur dans le sens passé et non futur, un cœur qui ne cesse de s'éplorer et non à une courte absence que viendra éclairer des retrouvailles…

    Il y a souvent de la mélancolie, pour le dire de façon mesurée, dans ce que tu écris.
    C'est en tout cas comme cela que je le ressens, au risque de me tromper.
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 14 mai 2019 à 16:45
    En réponse au message de lessismore :



    Mais tu vas me dire... que je ne fais que penser

    Penser, on passe sa vie à cela, qui qu'on soit.
    Ce que j'en pense , c'est que notre intelligence doit rester dans son rôle utilitaire.
    Appréhender la vie, le monde qui nous entoure, ok.

    Mais là où les pensées deviennent toxiques, c'est quand par exemple, on aime quelqu'un et que, dans le cadre de la pensée de l'amour éternel, on se met à souffrir de l'absence de l'élu de son cœur.
    Là, ce n'est plus de l'amour dans sa pureté mais de l'addiction.
    Une ԁгоguе de nos circuits cérébraux de la récompense qui veulent à perpétuité le shoot initiatique de cette relation.

    Hors, c'est juste un fапtаsmе, une construction mentale derrière laquelle on court et qui va plus vite que nous.

    Même chose avec le fапtаsmе des enfants qui sont "nos petits" à vie, notre jeunesse que l'on voudrait à perpétuité,…

    La vie n'est pas une droite d'infinité de points.
    C'est le point du présent qui se déplace en même temps que soi, écrasant tout sur sont passage.
    Ce qui est avant n'existe plus que dans notre mémoire et ce qui est ensuite n'est pas encore et plein d'imprévus.
  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 14 mai 2019 à 17:32
    En réponse au message de parfum-de-femme :

    En réponse au message de lessismore :



    Mais tu vas me dire... que je ne fais que penser

    Penser, on passe sa vie à cela, qui qu'on soit.
    Ce que j'en pense , c'est que notre intelligence doit rester dans son rôle utilitaire.
    Appréhender la vie, le monde qui nous entoure, ok.

    Mais là où les pensées deviennent toxiques, c'est quand par exemple, on aime quelqu'un et que, dans le cadre de la pensée de l'amour éternel, on se met à souffrir de l'absence de l'élu de son cœur.
    Là, ce n'est plus de l'amour dans sa pureté mais de l'addiction.
    Une ԁгоguе de nos circuits cérébraux de la récompense qui veulent à perpétuité le shoot initiatique de cette relation.

    Hors, c'est juste un fапtаsmе, une construction mentale derrière laquelle on court et qui va plus vite que nous.

    Même chose avec le fапtаsmе des enfants qui sont "nos petits" à vie, notre jeunesse que l'on voudrait à perpétuité,…

    La vie n'est pas une droite d'infinité de points.
    C'est le point du présent qui se déplace en même temps que soi, écrasant tout sur sont passage.
    Ce qui est avant n'existe plus que dans notre mémoire et ce qui est ensuite n'est pas encore et plein d'imprévus.

    Mais ce qui est en mémoire ce sont les souvenirs ou le rêve
    et lorsque les souvenirs sont des instants de rêve dont on est privé on a des regrets mais
    il reste dans l'esprit la mémoire et l'espoir .
    L'espoir c'est l'avenir qui n'est pas réel mais encore imaginaire.
    Si l'on n'a plus d'espoir, plus de rêve et que les souvenirs risquent de ne plus se retrouver que devient la VIE?...
    Quel intérêt? de vivre?
    alors pour toi c'est la mort.
    Mais même après la mort on peut avoir l'espoir si l'on a une croyance divine..;
    Mais la croyance divine n'est pas concrète, pas plus que l'espoir en l'avenir...
    Alors les gens se suicident!...
    Le suicide est une carence de l'esprit!
    Ou l'intolérance à une insupportable souffrance!...
    C'est pourquoi certains esprits intolérants trucident aussi au nom d'un dévoiement de l'esprit!

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