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Fiché S (page 6) - Religions & croyances diverses

Sujet de discussion : Fiché S
  • spikeman Membre suprême
    spikeman
    • 24 mars 2018 à 23:47
    En réponse au message de climax007 :


    Tout ton propos tourne autour de "renvoyer les gens chez soi" : appelons cela de la xénophobie.

    Qui je veux renvoyer chez lui?
  • spikeman Membre suprême
    spikeman
    • 24 mars 2018 à 23:57
    En réponse au message de parfum-de-femme :


    Mauvaise comréhension de ma part ou réctification du message initial.

    Mauvaise compréhension de ta part. Tu as déjà quoté ce passage, il était tel quel.
    Si j'édite mes messages c'est pour corriger mes photes.

    J'accepte tes excuses.

    Et pour le reste, je suis assez d'accord avec toi.
    Et le fait d'être expulsé ne lui permettra pas de circuler librement s'il revient. Il ne pourra pas agir aussi facilement. C'est un bon début.
  • paroles56 Membre élite
    paroles56
    • 25 mars 2018 à 00:59
    Discours très orienté .
    Comme à chaque fois , on assiste à un glissement .
    Du fiché S , on passe à la stigmatisation de toute une population . Bref .
    no more comment .
  • fred600 Membre émérite
    fred600
    • 25 mars 2018 à 04:30
    En réponse au message de parfum-de-femme :

    En réponse au message de fred600 :


    Mais quelle est donc la solution alors ?

    On vit dans un contexte de dénationalisation et de mondialisation; le terme intermédiaire étant l'Europe.
    Les états perdent leur influence et leurs pouvoirs régaliens.
    Hors, comment controler un pays si on ne controle pas les entrées et sorties dans le pays ?

    Une autre chose fondamentale est la notion d'unité nationale.
    Il faut que chaque citoyen en France se sente solidaire de l'ensemble et agisse dans le même sens.
    Ce qui exclue de facto tout crédo religieux qui impose une autorité divine ayant priorité sur les lois qui nous sont communes.
    Toute prérogative religieuse devrait être сігсопсіsе à la sphère privée et à la conscience personnelle.
    C'est aux individus à s'adapter aux lois de leur pays et non l'inverse.
    Donc, exit les menus particuliers dans les cantines, les horaires séparés homme-femme dans les piscines et l'espace public doit le rester et non servir à des prières confessionnelles.
    Ce n'est pas de l'islamophobie que d'énoncer ces choses et ces régles doivent s'imposer sans passe-droit à toutes les religions.
    Ce n'est pas non plus un discours anti-religieux car chacun doit être libre de pratiquer la sienne CHEZ LUI et DANS SON LIEU DE CULTE.
    Une fois ces choses clairement posées, on peut commencer à envisager des solutions.
    - La France n'a pas vocation à soutenir des entreprises de destabillisation des autres pays.
    - Les états sont souverains et il faut les laisser gérer leurs affaires.
    - Les frontières ne doivent plus être des passoires.
    - Les peines de prison doivent être drastiquement réduites mais les conditions de vie en prison doivent être difficiles.
    La prison ne doit pas être une péripéthie mais un séjour qu'on ne doit pas avoir епvіе de répéter.
    Je serai favorable à des dispositions comme les travaux forcés que seraient tenu de faire les prisonniers comme aux States.
    Je ne dis pas cela par sadisme mais par pragmatisme.
    Il y a trop de gens en dehors des murs des prisons qui sont nuisible et le système carcéral actuel fabrique de la délinquance plus qu'il la soigne.

    D'un autre coté, il faut ouvir les yeux et constater qu'un beur des quartiers est loin d'avoir tous les atouts dans ses mains pour réussir sa vie.
    Hors, la république ne peut fonctionner qu'à égalité de chances et au mérite.
    Elle a gravement faillit dans ce domaine.
    Résultat: les 3/4 de la population carcérale vient des quartiers.
    Facile ensuite de considérer qu'ils sont tous de la racaille et qu'il faut s'en débarasser d'une façon ou d'une autre ou, à défaut, les garder cantonnés dans des zones bien précises, fermer les yeux sur leurs petites affaires et faire comme s'ils n'existaient pas.
    Mais on ne s'en tire pas à si bon compte.

    Il faut donc arreter les conneries et regarder les choses en face.
    Il faut de la clareté, de la fermeté et une doctrine d'état qui s'imposera parce qu'imposée de la même façon à toutes les composantes de la nation.
    Il faut arrêter de faire les bisounours et affronter les choses avec des mesures qui ne sont pas de courte vue.

    À ce moment là seulement, tout membre de notre pays et quelque soit son origine ou sa religion se sentira guidé et soutenu.
    Chacun sera à même de pouvoir dire non à sa communauté quand elle exagère parce qu'il appartiendra à une communauté supérieure qui est la communauté nationale.
    Autant dire qu'il y a du boulot pour en arriver là.
    Mais si on n'entreprend pas ce chantier, on y arrivera jamais.

    Je suis Française d'une vieille famille de France et suis attachée à mon pays.
    Je suis disposée à acceuillir dans mon pays toute personne qu'il serait en mesure d'acceuillir dignement et veut bien l'honorer de ma nationalité.
    Mais cela ne doit pas être sans conditiions claires et sans perspective d'intégration.
    Bien menée, l'imigration est source de développement de l'humanité des gens et de l'humanité tout court.
    Mais acceuillir les gens de façon indigne comme on l'a fait ces cinquantes dernières années, c'était se tirer une balle dans le pied.
    Faut pas s'étonner qu'on ait du mal à marcher aujourd'hui.

    Je suis complètement d'accord avec toi, faut traiter le problème en amont, mais pour ceux qui sont déjà en train de projeter de passer à l'acte, on fait quoi ? On le sait, la déradicalisation a ses limites... D'ailleurs, en France ce n'est pas pour rien qu'on a fermé l'unique centre de déracalisation
    http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2017/07/28/fermeture-de-l-unique-centre-de-deradicalisation-de-france_5165938_1653578.html

    C'est pour ça que je persiste à dire qu'il n'y a pas 36 solutions pour protéger de futures victimes. Je me fous du politiquement correct, si pour sauver des vies on doit en passer par des expulsions de territoire, quitte à retirer pour ça la nationalité française à des binationaux, alors il n'y a pas à hésiter. On ne peut pas condamner des gens innocents à subir des attaques de fanatiques.

    A ceux qui en douteraient, non je ne suis pas xénophobe. J'ai moi-même des origines étrangères.

    D'ailleurs, quand je lis que la France accueille les étrangers dans des conditions indignes depuis 50 ans, je précise que quand les miens sont arrivés sur le territoire français, ils n'ont pas eu d'autres choix que de prendre le premier boulot venu pour pouvoir manger.

    A l'époque, l'état ne vегsаit pas d'aide. C'était soit tu gagnais de l'argent, soit tu crevais de faim et tu couchais dehors. Étonnant, mais à l'époque ça ne choquait pas grand monde. Tu savais pourquoi tu quittais ton pays et tu savais que pour construire ta vie dans le pays d'accueil tu n'avais d'autre choix que de te battre pour ça... et tu faisais en sorte de t'insérer dans la société et que tes enfants s'y fondent également.

    Les gamins devaient respecter des règles et tu avais plutôt intérêt à les suivre si tu ne voulais pas subir l'autorité parentale. Résultat : personne dans ma famille n'a tourné délinquant. Je sais, la recette peut paraître étonnante à certains, mais l'autorité parentale, quoi qu'on en dise, ça a du bon...

    Ce qui me laisse à penser que ces délinquants qui tournent en fanatiques religieux (encore que je dirais plutôt en assassins) n'ont peut-être pas eu un encadrement parental suffisant, une autorité parentale qui a su apporter des réponses adaptées aux actes de leurs gosses.

    C'est peut-être aussi par-là qu'on pourrait creuser pour éviter une escalade dans la violence par la suite...
  • paroles56 Membre élite
    paroles56
    • 25 mars 2018 à 06:01
    @Fred
    Pour rebondir sur ton intervention .
    Le film documentaire « Revenantes »
    Diffusé le Mardi 16 janvier 2018 à 23h20 sur France 2 dans la case "Infrarouge". Paroles de femmes qui ont échappé à l’embrigadement jihadiste, Elles racontent comment elles se sont déradicalisées. Elles s’appellent Laura, Emma, Marie, Haya. Elles ont entre 20 et 30 ans. Certaines se sont converties à l’Islam, d’autres ont grandi dans des familles musulmanes. Un jour, elles ont épousé l’idéologie djihadiste. Dans le film documentaire "Les revenantes", réalisé par Marion Stalens, ces femmes expliquent comment elles ont réussi à en sortir... Des femmes, parties rejoindre la Syrie, et d'autres qui ont failli suivre cette voie, évoquent leurs parcours sans faux-semblants. Certaines sont nées de familles musulmanes, d'autres non. Elles retracent les étapes de leur plongée dans la radicalisation. Elles témoignent du quotidien des femmes sous Daech et de leur difficile retour. Comment se reconstruire ? Autour d'elles, en contrepoint, des familles déchirées tentent de comprendre. Toutes ces femmes ont adhéré un jour au système de pensée djihadiste et toutes en sont sorties. Peut-on faire, avec elles, le pari de la résilience ?...





    - Pour comprendre le pourquoi du comment -
    Infrarouge - Syrie, le cri étouffé
    C’est une plainte. Une plainte étouffée, mais assourdissante.

    Un cri silencieux dont les soubresauts déchirent les murs des prisons, des sous-sols, des antichambres de la mort. C’est le cri des femmes syriennes violées depuis six ans, des geôles de Bachar El-Assad.

    Un crime contre l’humain ignoré de tous. Un crime organisé, réfléchi car il est fondé sur l’un des tabous les mieux ancrés dans la société traditionnelle syrienne et il joue sur le silence des victimes, convaincues de risquer le rejet par leur propre famille, voire une condamnation à mort. Terrible double peine de milliers de femmes syriennes enfermées dans la solitude de leur douleur muette, se sentant « coupables d’être victimes ».

    Le viol comme arme de guerre en Syrie est aussi le crime le plus tu. C’est un moyen pour détruire non seulement la femme et son identité, mais aussi pour briser sa famille, son clan, et toute forme de résistance.

    Comment en Syrie le corps de la femme est devenu territoire de guerre. C’est la question que soulève ce film en donnant la parole à des femmes jusque là emmurées dans la honte et le silence. Des témoignages rares, exceptionnels, bouleversants.


    Des documentaires qui mériteraient d'être diffusés dans tous les établissements scolaires , à tous les adultes aussi .

    Bon dimanche .
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 25 mars 2018 à 09:34
    En réponse au message de paroles56 :

    Discours très orienté .
    Comme à chaque fois , on assiste à un glissement .
    Du fiché S , on passe à la stigmatisation de toute une population . Bref .
    no more comment .

    Il faut laisser les gens s'exprimer.
    Quelqu'un qui dit: "je suis raciste" ou "je ne suis pas Charlie" doit pouvoir le dire si c'est ce qu'il pense.
    Ensuite, on doit pouvoir discuter avec lui POUR COMPRENDRE sa position, y souscrire ou s'y opposer.
    Chaque fois qu'on ne respecte pas ce droit à la parole, on aggrave le problème que l'on croit empêcher.

    J'ai été membre асtіf de deux associations en quartiers sensibles où le FN a fait 30%.
    Il y a, dans ces quartiers, bien moins de 30% de gens non issus de l'immigration.
    Il faut donc ouvrir les yeux et constater que même ces gens souffrent des conditions de vie qui sont les leurs et que l'on est loin de l'ancien combattant d'Algérie qui essaie de régler ses comptes avec son bulletin de vote.

    Ce n'est pas être raciste que d'observer et de constater.
    Les jeunes des quartiers sont élevés comme moi dans ma jeunesse.
    Peu de surveillance de la part de la maman, les garçons sont livrés à eux-mêmes.
    Ce n'est pas de l'irresponsabillité, c'est culturel.
    Au bled, tu as comme dans ma rue à mon époque des adultes qui sont capable de mettre une tarte à un jeune qui fait une connerie même si c'est pas le sien.
    Et quand c'est répété aux parents, le jeune s'en prend une deuxième.
    Mais transpose cela dans nos quartiers sensibles et tu te retrouves avec des jeunes totalement livrés à eux même.
    L'environnement n'est plus le même et tu retrouves dans une fabrique de sauvages.
    Cela peut paraitre dur, ce que je dis mais c'est une réalité vécue.
    Tu ajoutes à cela la mentalité de l'enfant mâle petit prince et les filles boniches, les mêres que leur maris, quand ils sont là ce qui est de moins en moins le cas, qui interdisent aux mère de discipliner les garçons…
    Faut pas s'étonner ensuite que tu te retrouves avec des ados puis des adultes ingérables.
    Tu peux taxer cela de racisme; pour moi, je ne fais que témoigner honêtement de ce que j'ai constater dans plusieurs quartiers sensibles de différentes villes et sans langue de bois.

    Évidement, et sans que cela soit un jugement de valeur vis à vis d'une religion qui a aussi beaucoup de vertus, l'islam pose problème dans une société de culture, à défaut de pratique, chrétienne.
    Ça aussi, ce n'est pas être raciste de le dire, c'est simplement ouvrir les yeux.
    Deux cultures et deux religions qui se sont affrontées au cours des temps ne sont pas automatiquement fréquentables; n'en déplaise aux tenant du monde des bisounours.

    Ce n'est que sur la base des réalités que l'on peut faire avancer les choses.
    Qu'elles nous arrangent ou pas n'est pas la question et que la réalité touche à notre amour propre non plus.

    D'un autre coté, on peut être dans la stratégie: "touche pas à mon pote".
    Tu as vu la gueule du résultat: Quelques types qui ont fait carrière dans la politique et tout une communauté dans la merde…
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 25 mars 2018 à 10:12
    En réponse au message de fred600 :


    Je suis complètement d'accord avec toi, faut traiter le problème en amont, mais pour ceux qui sont déjà en train de projeter de passer à l'acte, on fait quoi ? On le sait, la déradicalisation a ses limites... D'ailleurs, en France ce n'est pas pour rien qu'on a fermé l'unique centre de déracalisation
    http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2017/07/28/fermeture-de-l-unique-centre-de-deradicalisation-de-france_5165938_1653578.html

    C'est pour ça que je persiste à dire qu'il n'y a pas 36 solutions pour protéger de futures victimes. Je me fous du politiquement correct, si pour sauver des vies on doit en passer par des expulsions de territoire, quitte à retirer pour ça la nationalité française à des binationaux, alors il n'y a pas à hésiter. On ne peut pas condamner des gens innocents à subir des attaques de fanatiques.

    Ce sont des solutions qui ne marchent pas, comme je l'ai déjà dit.
    Frontières passoires, faux papiers, hebergements virtuels à droite à gauche, …
    La loi n'a plus aucun sens dans la tête de ces gens qui passe du coté obscur de la force.
    Il n'y a que la force qui peut marcher; mais encore faut-il savoir sur qui taper pour ne pas se mettre à faire pire que ce que l'on veut éviter.
    Ça, c'est pour les individus mais il ne faut pas oublier la raison du ciblage de la France par les islamistes.
    S'allier à un pays (usa) qui a dépenser 11 milliards de dollard pour déstabilliser la Syrie, avec des conséquences pour la population syrienne bien pire que n'a jamais fait le salaud qui est à la tête du pays, n'a pas vocation à calmer le jeu.
    Ce n'est qu'un exemple mais assez symptomathique de notre ingérence vis à vis d'autres peuples et pays qui sont coupables et ont des conséquences politiques chez nous.
    En réponse au message de fred600 :


    A ceux qui en douteraient, non je ne suis pas xénophobe. J'ai moi-même des origines étrangères.

    D'ailleurs, quand je lis que la France accueille les étrangers dans des conditions indignes depuis 50 ans, je précise que quand les miens sont arrivés sur le territoire français, ils n'ont pas eu d'autres choix que de prendre le premier boulot venu pour pouvoir manger.

    A l'époque, l'état ne vегsаit pas d'aide. C'était soit tu gagnais de l'argent, soit tu crevais de faim et tu couchais dehors. Étonnant, mais à l'époque ça ne choquait pas grand monde. Tu savais pourquoi tu quittais ton pays et tu savais que pour construire ta vie dans le pays d'accueil tu n'avais d'autre choix que de te battre pour ça... et tu faisais en sorte de t'insérer dans la société et que tes enfants s'y fondent également.

    Ce n'est pas l'aspect matériel qui me vient à l'esprit en premier en parlant de conditions indignes mais le fait de cataloguer les gens de l'immigration en tant que sous-race humaine.
    Maintenant, les conditions matérielles qu'on leur a accordé à l'époque me font honte quand je vois des images d'archives des bidonvilles où ils s'entassaient.
    Il faut traiter les gens humainement ou les laisser chez eux.
    C'est pour moi un impératif que de faire moins et mieux en matière d'immigration.
    Le cas des réfugiés politiques est un cas à part qui doit être traité spécifiquement.
    Mais, dans les grandes lignes, c'est comme à la maison.
    Si un couple débarque à l'improviste, je trouverai toujours moyen de mettre quelque choses dans leur assiette et un lit pour les coucher.
    Si je suis dépassée par le nombre, je ne pourrai rien faire de bien pour eux.
    Charité bien ordonnée commence… par être bien ordonnée.
    La pollitique sociale française crée un appel d'air coté immigration et surtout crée de l'irresponsabillité.
    Elle n'est même pas légitime d'un point de vue démographique et il conviendrait d'y regarder de plus près.


    En réponse au message de fred600 :


    Les gamins devaient respecter des règles et tu avais plutôt intérêt à les suivre si tu ne voulais pas subir l'autorité parentale. Résultat : personne dans ma famille n'a tourné délinquant. Je sais, la recette peut paraître étonnante à certains, mais l'autorité parentale, quoi qu'on en dise, ça a du bon...

    Ce qui me laisse à penser que ces délinquants qui tournent en fanatiques religieux (encore que je dirais plutôt en assassins) n'ont peut-être pas eu un encadrement parental suffisant, une autorité parentale qui a su apporter des réponses adaptées aux actes de leurs gosses.

    C'est peut-être aussi par-là qu'on pourrait creuser pour éviter une escalade dans la violence par la suite...

    Pour creuser, faut le courage de faire la relation entre religion et éducation.
    C'est donc imcompatible avec une politique actuelle qui laisse le champ de la religion aux religieux.
    Tout comme, chez les Témoins de Jéhovah, la religion déborde sur les questions médicales, l'islam déborde sur la question de l'éducation des enfants.
    Il ne faut surtout pas voir les choses par "eux c'est mal" et "nous c'est bien" mais constater ce qui va et ne va pas et en tirer des lignes de conduite.
  • blue-arts Légende urbaine
    blue-arts
    • 25 mars 2018 à 12:03
    En réponse au message de fred600 :

    En réponse au message de parfum-de-femme :

    En réponse au message de fred600 :


    Mais quelle est donc la solution alors ?

    On vit dans un contexte de dénationalisation et de mondialisation; le terme intermédiaire étant l'Europe.
    Les états perdent leur influence et leurs pouvoirs régaliens.
    Hors, comment controler un pays si on ne controle pas les entrées et sorties dans le pays ?

    Une autre chose fondamentale est la notion d'unité nationale.
    Il faut que chaque citoyen en France se sente solidaire de l'ensemble et agisse dans le même sens.
    Ce qui exclue de facto tout crédo religieux qui impose une autorité divine ayant priorité sur les lois qui nous sont communes.
    Toute prérogative religieuse devrait être сігсопсіsе à la sphère privée et à la conscience personnelle.
    C'est aux individus à s'adapter aux lois de leur pays et non l'inverse.
    Donc, exit les menus particuliers dans les cantines, les horaires séparés homme-femme dans les piscines et l'espace public doit le rester et non servir à des prières confessionnelles.
    Ce n'est pas de l'islamophobie que d'énoncer ces choses et ces régles doivent s'imposer sans passe-droit à toutes les religions.
    Ce n'est pas non plus un discours anti-religieux car chacun doit être libre de pratiquer la sienne CHEZ LUI et DANS SON LIEU DE CULTE.
    Une fois ces choses clairement posées, on peut commencer à envisager des solutions.
    - La France n'a pas vocation à soutenir des entreprises de destabillisation des autres pays.
    - Les états sont souverains et il faut les laisser gérer leurs affaires.
    - Les frontières ne doivent plus être des passoires.
    - Les peines de prison doivent être drastiquement réduites mais les conditions de vie en prison doivent être difficiles.
    La prison ne doit pas être une péripéthie mais un séjour qu'on ne doit pas avoir епvіе de répéter.
    Je serai favorable à des dispositions comme les travaux forcés que seraient tenu de faire les prisonniers comme aux States.
    Je ne dis pas cela par sadisme mais par pragmatisme.
    Il y a trop de gens en dehors des murs des prisons qui sont nuisible et le système carcéral actuel fabrique de la délinquance plus qu'il la soigne.

    D'un autre coté, il faut ouvir les yeux et constater qu'un beur des quartiers est loin d'avoir tous les atouts dans ses mains pour réussir sa vie.
    Hors, la république ne peut fonctionner qu'à égalité de chances et au mérite.
    Elle a gravement faillit dans ce domaine.
    Résultat: les 3/4 de la population carcérale vient des quartiers.
    Facile ensuite de considérer qu'ils sont tous de la racaille et qu'il faut s'en débarasser d'une façon ou d'une autre ou, à défaut, les garder cantonnés dans des zones bien précises, fermer les yeux sur leurs petites affaires et faire comme s'ils n'existaient pas.
    Mais on ne s'en tire pas à si bon compte.

    Il faut donc arreter les conneries et regarder les choses en face.
    Il faut de la clareté, de la fermeté et une doctrine d'état qui s'imposera parce qu'imposée de la même façon à toutes les composantes de la nation.
    Il faut arrêter de faire les bisounours et affronter les choses avec des mesures qui ne sont pas de courte vue.

    À ce moment là seulement, tout membre de notre pays et quelque soit son origine ou sa religion se sentira guidé et soutenu.
    Chacun sera à même de pouvoir dire non à sa communauté quand elle exagère parce qu'il appartiendra à une communauté supérieure qui est la communauté nationale.
    Autant dire qu'il y a du boulot pour en arriver là.
    Mais si on n'entreprend pas ce chantier, on y arrivera jamais.

    Je suis Française d'une vieille famille de France et suis attachée à mon pays.
    Je suis disposée à acceuillir dans mon pays toute personne qu'il serait en mesure d'acceuillir dignement et veut bien l'honorer de ma nationalité.
    Mais cela ne doit pas être sans conditiions claires et sans perspective d'intégration.
    Bien menée, l'imigration est source de développement de l'humanité des gens et de l'humanité tout court.
    Mais acceuillir les gens de façon indigne comme on l'a fait ces cinquantes dernières années, c'était se tirer une balle dans le pied.
    Faut pas s'étonner qu'on ait du mal à marcher aujourd'hui.

    Je suis complètement d'accord avec toi, faut traiter le problème en amont, mais pour ceux qui sont déjà en train de projeter de passer à l'acte, on fait quoi ? On le sait, la déradicalisation a ses limites... D'ailleurs, en France ce n'est pas pour rien qu'on a fermé l'unique centre de déracalisation
    http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2017/07/28/fermeture-de-l-unique-centre-de-deradicalisation-de-france_5165938_1653578.html

    C'est pour ça que je persiste à dire qu'il n'y a pas 36 solutions pour protéger de futures victimes. Je me fous du politiquement correct, si pour sauver des vies on doit en passer par des expulsions de territoire, quitte à retirer pour ça la nationalité française à des binationaux, alors il n'y a pas à hésiter. On ne peut pas condamner des gens innocents à subir des attaques de fanatiques.

    A ceux qui en douteraient, non je ne suis pas xénophobe. J'ai moi-même des origines étrangères.

    D'ailleurs, quand je lis que la France accueille les étrangers dans des conditions indignes depuis 50 ans, je précise que quand les miens sont arrivés sur le territoire français, ils n'ont pas eu d'autres choix que de prendre le premier boulot venu pour pouvoir manger.

    A l'époque, l'état ne vегsаit pas d'aide. C'était soit tu gagnais de l'argent, soit tu crevais de faim et tu couchais dehors. Étonnant, mais à l'époque ça ne choquait pas grand monde. Tu savais pourquoi tu quittais ton pays et tu savais que pour construire ta vie dans le pays d'accueil tu n'avais d'autre choix que de te battre pour ça... et tu faisais en sorte de t'insérer dans la société et que tes enfants s'y fondent également.

    Les gamins devaient respecter des règles et tu avais plutôt intérêt à les suivre si tu ne voulais pas subir l'autorité parentale. Résultat : personne dans ma famille n'a tourné délinquant. Je sais, la recette peut paraître étonnante à certains, mais l'autorité parentale, quoi qu'on en dise, ça a du bon...

    Ce qui me laisse à penser que ces délinquants qui tournent en fanatiques religieux (encore que je dirais plutôt en assassins) n'ont peut-être pas eu un encadrement parental suffisant, une autorité parentale qui a su apporter des réponses adaptées aux actes de leurs gosses.

    C'est peut-être aussi par-là qu'on pourrait creuser pour éviter une escalade dans la violence par la suite...

    Fredou , beaucoup d humanité là d altruisme et de bon sens ...! dans ton message
    D ailleurs ont n a tous un étranger dans nos racines ce n est pas une poignée de Fanatiques qui empecheras L AMOUR ET LA SYMPATHIE de tous les peuples et races sur cette belle planete OH COMBIEN SI BELLE ...
    Tres belle synthese ...
  • spikeman Membre suprême
    spikeman
    • 25 mars 2018 à 12:14
    En réponse au message de paroles56 :

    Discours très orienté .
    Comme à chaque fois , on assiste à un glissement .
    Du fiché S , on passe à la stigmatisation de toute une population . Bref .
    no more comment .

    Peut être que si on étend à la population, c'est que ce sont toujours des islamistes les fanatiques religieux (je parle actuellement, venez pas me parler de l'irlande) et que personne de confession musulmane n'est venu nous expliquer que l'islam ce n'est pas ça.
    Pourquoi ne viennent ils pas?
    Jamais je n'ai entendu à la radio qu'un imam aurait appelé ses ouailles à la compassion et à ne pas transgression leur religion.
    Est ce que parce que l'islam c'est vraiment ça?
  • blue-arts Légende urbaine
    blue-arts
    • 25 mars 2018 à 12:28
    En réponse au message de spikeman :

    En réponse au message de paroles56 :

    Discours très orienté .
    Comme à chaque fois , on assiste à un glissement .
    Du fiché S , on passe à la stigmatisation de toute une population . Bref .
    no more comment .

    Peut être que si on étend à la population, c'est que ce sont toujours des islamistes les fanatiques religieux (je parle actuellement, venez pas me parler de l'irlande) et que personne de confession musulmane n'est venu nous expliquer que l'islam ce n'est pas ça.
    Pourquoi ne viennent ils pas?
    Jamais je n'ai entendu à la radio qu'un imam aurait appelé ses ouailles à la compassion et à ne pas transgression leur religion.
    Est ce que parce que l'islam c'est vraiment ça?

    Spikeman , Le fanatisme c est une fiertée chez beaucoup de musulmans ( qui va haut dela de la conpasion de l amour du raisonnable ce tune forme de ԁоmіпаtіоп du monde absolu ( la bourka pour toutes les Nations EN GROS °
    Tu vois l affaire là ..!
    .....

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