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Josephine Baker (page 8)

Sujet de discussion : Josephine Baker
  • blue-art Membre élite
    blue-art
    • 3 décembre 2025 à 22:31

    Elle a finie ruinée dans la misère après avoir vепԁu sa propriété des Milandes

  • craig_lyner Dieu tout puissant
    craig_lyner
    • 3 décembre 2025 à 22:38
    En réponse au message de blue-art :

    Elle a finie ruinée dans la misère après avoir vепԁu sa propriété des Milandes


    Au sortir de la guerre, Joséphine Baker décide de faire du château des Milandes un véritable foyer d’humanité. Elle y élève ses douze enfants adoptifs venus des quatre coins du monde (elle en parle dans l'interview ), avec l’idée de prouver que des enfants d’origines différentes peuvent grandir ensemble en harmonie. Ce projet, humaniste et visionnaire, lui vaut l’admiration… mais ruine peu à peu ses finances.



    Dans les années 1960, malgré ses efforts pour relancer sa carrière et sauver le domaine, elle s’endette lourdement. En 1969, incapable de rembourser les créanciers, elle est expulsée de son château. Le mobilier est saisi, les enfants dispersés. L’humiliation est immense.


    Heureusement, la princesse Grace de Monaco, amie fidèle, vole à son secours. Elle l’invite à Monaco, lui offre un logement et l’aide à retrouver une certaine stabilité. Grâce à cette solidarité, Joséphine peut continuer à se produire sur scène et préparer son retour artistique.





  • craig_lyner Dieu tout puissant
    craig_lyner
    • 3 décembre 2025 à 22:40

    Donc non ! elle ne finit pas dans la misère comme elle a été très jeune .

  • blue-art Membre élite
    blue-art
    • 3 décembre 2025 à 22:47
    En réponse au message de craig_lyner :

    Au sortir de la guerre, Joséphine Baker décide de faire du château des Milandes un véritable foyer d’humanité. Elle y élève ses douze enfants adoptifs venus des quatre coins du monde (elle en parle dans l'interview ), avec l’idée de prouver que des enfants d’origines différentes peuvent grandir ensemble en harmonie. Ce projet, humaniste et visionnaire, lui vaut l’admiration… mais ruine peu à peu ses finances.



    Dans les années 1960, malgré ses efforts pour relancer sa carrière et sauver le domaine, elle s’endette lourdement. En 1969, incapable de rembourser les créanciers, elle est expulsée de son château. Le mobilier est saisi, les enfants dispersés. L’humiliation est immense.


    Heureusement, la princesse Grace de Monaco, amie fidèle, vole à son secours. Elle l’invite à Monaco, lui offre un logement et l’aide à retrouver une certaine stabilité. Grâce à cette solidarité, Joséphine peut continuer à se produire sur scène et préparer son retour artistique.






    Oui un destin hors du commun une battante face aux Aléas de la vie et une reine sur la scene comme dans sa vie courante

    " chapeau bas Madame J . BAKER "+1.png

  • gill92 Membre suprême
    gill92
    • 3 décembre 2025 à 23:29
    En réponse au message de craig_lyner :

    En tout cas c'est une interview intéressante ! tu devrais la regarder et l'écouter ^^


    57 minutes quand même !open_mouth.png

  • craig_lyner Dieu tout puissant
    craig_lyner
    • 4 décembre 2025 à 04:53
    En réponse au message de gill92 :

    57 minutes quand même !open_mouth.png


    bien 57 minutes, c'est rien ! quand on s'intéresse, on peut regarder , écouter !

  • craig_lyner Dieu tout puissant
    craig_lyner
    • 4 décembre 2025 à 05:35

    Danseuse, chanteuse, actrice, résistante, mère adoptive et militante, Joséphine Baker a donc révolutionné le XXe siècle ! Artiste venue des États-Unis, elle devient l’une des plus grandes stars de la scène parisienne avant de s’engager corps et âme pour la liberté, la fraternité et la justice. Et son destin exceptionnel continue d’inspirer bien au-delà de sa disparition...

  • craig_lyner Dieu tout puissant
    craig_lyner
    • 4 décembre 2025 à 05:52

    Née Freda Josephine McDonald le 3 juin 1906 à Saint-Louis (Missouri), aux États-Unis, Joséphine Baker grandit dans un environnement précaire et marqué par la ségrégation raciale. Très tôt, elle montre un goût prononcé pour le spectacle et la scène. En 1925, à tout juste 19 ans, elle débarque à Paris pour rejoindre la troupe de la Revue nègre, et c’est un triomphe immédiat. Elle devient rapidement l’une des vedettes les plus adulées du music-hall, notamment au Théâtre des Champs-Élysées, puis aux Folies Bergère, où elle impose un style alliant audace, humour et sепsuаlіté.

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