Guillaume Tell et ses émules ont ou avaient un avantage : leur vision n'était pas perturbée par une ingestion de matières ré-ingurgitées jusqu'à l'infection généralisée du corps et de l'esprit !
Ils visaient clair et droit, ces Helvètes !
Le jet de matières fécales, lui, vu la consistance, est plus approximatif !!!
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Mais, pour donner un relief culturel (si, si !) à ce "post", sachez que des livres peuvent avoir des couvertures et des feuilles faites avec du crottin de cheval ou d'éléphant ; d'ailleurs on peut faire des feuilles avec toute plante, tout arbre, toute matière.
On écrit bien sur l'eau ; c'est mon cas ici, ça entre par une ouïe et ça sort aussitôt par l'autre oreille, emporté par un vaste courant d'air.

Couverture fait main en crottin de cheval ; je l'ai eu dans ma paume pas plus tard qu'aujourd'hui ; rien à voir avec une matière visqueuse !
La matière élaborée est fabriquée à :
http://www.moulinapapier.com/articles/editions-livres/10L'essentiel, depuis un merdier, c'est d'en sortir ; oh hisse, un petit effort, allez, se noyer dans ses propres déjections comme vous le faites depuis trois ou quatre pages internet, c'est facile, suffit de se laisser couler, toutes narines bouchées, comme ça vous êtes assuré(e)s d'étouffer, mais sortir, se glisser dehors, ... ; transformer la matière verbale en jeux de mots, par exemple ; ou, comme les gens du moulin de Brousses, vers Carcassonne, élaborer la matière et produire une feuille imprimable, c'est plus durable !