Les choeurs des mariés corses (page 3) - Le "Blabla" bar

Ah moi je ne gère pas la folie furieuse de cette joyeuse troupe!!!!!!
J'peux pas tout faire je suis en train de rattrapper mon mouton !!!!

En plus j'peux plus chanter j'ai une extinction de voix!!!! (j'vois pas comment çà a pu m'arriver!)

En plus j'peux plus chanter j'ai une extinction de voix!!!! (j'vois pas comment çà a pu m'arriver!)

Alors mesdames et messieurs...
Je vais vous dire TOUTE la vérité sur cette extinction de voix!!!
Melle Fabulette, n'a pas écouté mes conseils avisés et expérimentés de ne pas commencer par des hurlements mais par des gémissements progressifs qui lui aurait permis à ça voix de me, heu... se chauffer!

C'EST PAS MA FAUTE!!!

Bah moi Fabulette m'a jamais devergonder auparavant lol!!
C'est dommage que je suis pas en France, j'ai bien voulu allez avec vOus a Nice, je m'occuperai de decor

Et c'est là que le producteur, un catalan décalotté dit : "Ma, tou vois, môn chérrri, zé bien jolido toute ça, ma za manqué oune pé de sехo. Dou couir, il falt qué yé dou couir, dou foué, des mounotés. Zé inpourtanté qué lou publico lé touto excitado, tou coumprendo ? Il falt yousto razouté dou sехo den toute ça, chéri chérido."

Eh bien Wogelfrei, nous t attendions pour les scéne sехo, nous jeunes apprentis comptions sur ton ехрегіепсе, ta précise et précieuse connaissance du sujet, pour nous guider vers l endroit le plus caliente. Le paroxysme de désirs inconscients...

HMMMMMMMMMMM Wog ca doiit etre appetissant lol!!$$

Et à la fin, moi en Nietzsche avec des ailes d'ange et christine Boutin à mes côtés, on arrive à la fin de la curée et on disperse des pétales de rose partout, et on fait des bisous à tous.
Pour ceux qui voudraient visiter la France, Montpellier vous est ouverte.

Je propose que nous soyons tous habillés dans une robe de mariée en latex d'une blancheur inégalable. Des electrodes capterons sous nos robes nos plus subtils influx nerveux et un dispositif assez sophistiqué permettra au public de visionner leur retransmission graphique sur un écran géant derrière nous. Durant notre prodigieuse interprétation lyrico-industrielle du zіzі de Pierre Perret, le public qui dispose de petit claviers, pourra nous envoyer des petites décharges vibratoires sur nos zones érogènes et le chant progressivement se transformera en une longue plainte...

C'est assez abominable, ça me plaît.
Maxime