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Manifіstation a Ma ville - Le "Blabla" bar

Sujet de discussion : Manifіstation a Ma ville
  • rami-gay Membre pionnier
    rami-gay
    • 10 avril 2008 à 02:41
    Hier j'ai trouvé une participation d'un ami qui faire des reportage sur une manifіstation des animeaux qui defendent l'hоmоsехualité, et j'ai voulu y participer

    Albert avec vous en direct de Marrakech
    Tout est calme ici, les gens marchent dans tous les sens comme habitude, les voitures circulent et jettent le gaz- poison en se moquant des passagers, deux femmes sortantes d’un boutique discutent tout en regardant la vепԁеusе avec un œil qui lâche des flammes, mais c’est quoi cette voix forte est assourdissante qui se pousse toutefois ?pourquoi les femmes furent debout et les gens cessèrent de marcher ? Et les têtes ?pourquoi sont ils levées en haut comme faisant une supplice devine ? D’ou vient il ce nuage géant qui a interrompu la сhаlеuг de la grande balle enflammée ?
    Un nuage noire qui vient du loin, et étrange envahi Marrakech en ce moment Mesdames et messieurs, On arrive a distinguer des couleurs qui massacrent son obscurité : un rouge sanguin charmé d’amour et de sacrifice, un orange doux et chaleureux, un jaune optimiste qui donne епvіе de vivre, un vert, la nature en personne qui s’émane, couleur belle à regarder, calme et agitée .un bleu, une mer riche qui serrent toutes les belle choses, féconde et maternelle et un violet préféré par tout le monde, couleur de la jоuіssапсе, une banalité qui dégage des vertus des le premier regard.
    Le noir extravagant s’approche, les gens furent paniqués et les femmes continuaient à hurler, des cris d’un nouveau né mêlés avec les souffles de soulagement d’un accouchement féroce, le noir approche encore et encore qu’on arriva a le voir distinctement.
    La terre commença à vibrer, un séisme ? Nul n’a le droit de deviné ! Les vitres de Guelis tombent et se cassent, les uns disaient que c’est la fin du monde, les autres s’évanouissent.
    Le nuage affreux et la voix périlleuse s’approchent encore, Oh non mon Dieu, je ne crois pas mes yeux, des corbeaux et des taureaux ? Je ne comprend plus rien mesdames et messieurs et personne n’a l’air d’avoir compris, un nuage des corbeaux sauvages passe sur Marrakech, non il ne passe pas, il y vient. Et ces taureaux qui courent assez vite et assez violemment y viennent aussi. Mais que ce qu’ils font les drapeaux d’hоmоsехualité sur leurs dos et entre leurs becs ?
    Les gens se furent séparés, il y’en a deux groupes maintenant mesdames et messieurs. Je ne comprend rien, peut être s’agit il d’un jeu…, le groupe a gauche a l’air calme, satisfait, avec un sourire de vengeance, un regard de menace, deux personnes au bout se parle a voix basse et le troisième leur demande de se taire on faisant un signal vers le ciel. L’autre groupe dont les gens étaient nombreux avait les yeux qui se crèvent de tгоuille, ils regardent curieusement le groupe du gauche avec un regard de supplice et de la pitié.
    Les corbeaux retirent et se devisent en deux, des uns ont entouré le groupe angoissé, les taureaux y arrivent et s’y arrêtent tout en mettant les cornes au sol comme s’ils attendent un signal d’attaquer, le reste des corbeaux est allé prendre place sur les dos solide de ces bêtes sauvage, les drapeaux se jettent à l’air et couvrent le ciel, les uns pleurnichent et les autres rigolaient en sautant afin de toucher les couleurs volante, ils en ont fier en effet.
    Les angoissés commencèrent à crier et à supplier l’autre groupe, des femmes qui se mettent a genou et qui pleurent, des hommes qui se battent les cuisses, ils regrettent.
    Un enfant avec des lunettes et un sac a dos avance monta la scène et avance .tout le monde le regarde, il avais l’air simple mais attentionné, ces yeux lance les flammes de mépris et de malaise .Il avait l’air énervé, sévère. Courageux il s’approché des taureaux et des corbeaux, le voila entrain de les caresser soigneusement, il lève toutefois la main en haut comme s’il veut donner un signal. Les gens l’observent pitoyablement et ils le supplient.
    Il baisse la main maintenant mesdames et messieurs, je vois qu’il se prépare pour parler, mais c’est quoi cette baguette encastrée avec une étoile lumineuse ?
    Il tourne et ils s’adressent à tout le monde tout en se plaçant au milieu de la scène les murmures se lèvent et se baissent sur le champs
  • zongo Membre élite
    zongo
    • 10 avril 2008 à 17:44
    N'est-ce pas le jugement dernier qui approche à grands pas.
    Les Faunes sont devenus d'atroces bêtes bavantes et lubriques, Bacchus, ivrogne, traîne et vomi à la devanture d'un bar, Silène passe ses journées à roder dans les bas-fonds d'une ville putride envahie par les rats qui ont fui leur ancien havre des égouts qui ne sont même plus un lieu sûr pour eux.
    Les hommes et les femmes affolés sont devenus fous, de colère et de désespoir du lendemain. Tout le monde pense à fuir mais personne ne sait où aller, les lieux saints sont remplis de ceux qui avaient Foi en la rédemption, mais même la foi semble avoir déserté les lieux. Les pleurs semblent des vagues grondantes fuyant la tristesse des Eglises, Temples, Synagogues et Mosquées, convaincant ceux qui songeaient dans une dernière lueur d'espoir à y entrer.
    Voyant qu'il n'y a plus de fin, chacune espère que la violence soit une fin rapide, mais assez douloureuse de peur que la mort ne se fasse pas silencieuse à tous les désespérés, qui ont peur de manquer de manquer ce moment qu'on dit inoubliable.
    Les rats ont réussi à amener avec eux la peste, et le sang qui peuple l'air infecte les habitants de sa forme pernicieuse et mortelle.
    Les morts entassés dans les impasses sont la preuve que les dieux pensent à notre libération, les chaînes de la vie sont rompues. On espère seulement qu'ils ne se relèveront pas, car on entend au loin sonner des trompettes...
  • jumbo Membre expérimenté
    jumbo
    • 11 avril 2008 à 00:00
    Faite taire les trompettes de l’inquiétude, car, et cela est bien rassurant, tous est calme ici.

    Ne me mené pas en enfer, Je veux resté sur cette rive ou tous est calme ici.

    Les yeux brûlés, les oreilles bouchées, la Ьоuсhе cousu, mais tous est calme ici.

    Mon monde est parfait, et tous est calme ici.


  • zongo Membre élite
    zongo
    • 11 avril 2008 à 01:35
    Christine Boutin, sors de ce corps !
  • rami-gay Membre pionnier
    rami-gay
    • 12 avril 2008 à 00:44
    Mrdddddddddddddddddd

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