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Qui fait violence à qui, et qui veut bâillonner ? (page 7) - Politique & Droits des homosexuels

Sujet de discussion : Qui fait violence à qui, et qui veut bâillonner ?
  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 15 janvier 2019 à 23:05
    En réponse au message de metal-o :

    Hum hum, je vais sentir le vent de la soufflante même par écran interposé

    Selon plusieurs sondages publiés ces derniers jours, l'ensemble de la séquence a pourtant été beaucoup plus mal perçu par les Français. L'Ifop relève notamment que "59% des Français déclarent aujourd’hui que Jean-Luc Mélenchon les 'inquiète', soit 21 points de plus qu’en avril 2017, au cœur de la campagne de l’élection présidentielle."

    L'institut poursuit : "Tous les autres traits d’image testés, positifs, enregistrent quant à eux des chutes spectaculaires : Jean-Luc Mélenchon est considéré
    - comme 'proche des préoccupations des Français' par 42% (-34 points)
    - capable de réformer le pays' par 28% (-21)
    - ayant 'la stature d’un président de la République' par 20% (-26).
    Surtout, son image de probité apparaît très abîmée par les derniers événements :
    seuls 32% des Français considèrent comme 'honnête' le chef de file de La France Insоumіsе, soit une chute de 45 points depuis le printemps 2017."

    LJDD 25 10 2018

  • climax007 Membre élite
    climax007
    • 21 janvier 2019 à 20:02
    Selon le modèle bonapartiste de la Cinquième république, tu penses que l'Homme, avec un grand H, celui censé incarner le pays, voire la nation, est seul en jeu.

    Tu apprendras, donc, que J.-L. Mélenchon a cet avantage de ne pas être un aspirant Bonaparte ; que je ne le révère pas et que je n'ai pas besoin d'un miroir idéal ; que la République qui va venir sera non pas bla-bla-tante mais démocratique (sans possibilité qu'un homme usurpe les pouvoirs législatifs), à direction éminemment collective (je préfère un président du conseil ou un premier ministre responsable devant une assemblée législative).

    Moi, communiste, je n'ai pas besoin d'une idole, par contre je discute les programmes politiques ; celui de J.-L. Mélenchon reste à discuter.

    L'acteur de l'histoire s'appelle, dans sa pluralité, le peuple

    Et il demeure qu'E. Macron (Monsieur Vingt Pour Cent Des Suffrages Exprimés, d'où sa faiblesse congéпіtаlе qui se barde d'instruments de répression) représente des institutions en crise, qu'il tente de sauver par un prétendu consensus introuvable entre son programme et les revendications exprimées dans la rue.

    Monsieur Macron ne négocie pas : il cause !

    Là est toute sa manœuvre !

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