Connexion :

Réponse à Climax sur PE... domaine politique - Politique & Droits des homosexuels

Sujet de discussion : Réponse à Climax sur PE... domaine politique
  • etiaw Membre élite
    etiaw
    • 12 juillet 2012 à 00:32
    Tu sais mieux que moi que "Pôle Emploi" est le produit de la démolition, par Srakozy et sa Ьапԁе, de deux institution séparée, qui marchaient dans la mesure de leurs moyens, ceci en vue de "rendre actives les dépenses раssіvеs liées au chômage" (je reproduis le discours officiel), d'une part, l'Agence nationale pour l’Emploi (ANPE), et d'autre part, l'UNEDIC, l'Union Nationale des Assurances pour l'Indemnisation du Chômage. Puisque selon le credo capitaliste, le chômage ne provient de la décrépitude du capitalisme, et de sa faillite, mais du manque de "flexibilité" des "employables" ainsi que de la trop grande réglementation du "marché de l'emploi". D'où il résulte que l'indemnisation du chômage est sоumіsе maintenant à un chantage éhonté vis-à-vis des chômeurs, et que ce n'est plus un droit acquis.

    Tu sais aussi combien les employés de cette fusion "Pôle Emploi" ne sont pas satisfaits du travail qu'on leur fait accomplir, à ce "guichet unique".

    Climax, je viens sur ce thème qui me paraît plus approprié.

    Pôle Emploi (PE) est le produit d'une rationalisation qui aurait pu être salutaire si l'ensemble de la nomenclatura (syndicats patronaux et ouvriers) avait impulsé le changement structurel que la rationalisation et le marché mondial de l'emploi imposaient.

    Si j'accepte que l'on reproche à Sarkozy, arrogance et condescendance, ce qu'il a fait pour rationaliser les choses est bien.

    Et je suis d'accord avec les thèses que tu rejettes, sur le fait que le chômage est une période temporaire de non-emploi qui ne devrait durer que 2 mois au mieux et ne saurait être prolongée que pour améliorer son statut et son salaire, à l'aide de formations intéressantes (les formations proposées par PE ne l'étant souvent pas).

    La flexibilité devrait être la règle et la rigidité, l'exception.

    Le problème que tu évoques sur le capitalisme est le simple fait du libéralisme qui n'est pas du libéralisme dans la mesure où la loi est partiale et non impartiale (je t'invite à reprendre les règles de Smith sur la définition du libéralisme). Je ne vais pas non plus rappeller, ici, le but de la loi LE CHAPELIER qui responsabilisait l'homme (chef d'entreprise) contre la SA (et ses sous formes, issues de l'abrogation de cette loi) qui le déresponsabilisent.

    Le problème de PE est que son but principal: remettre les chercheurs d'emploi dans l'emploi n'est pas assuré.
    PE fait des stats pour satisfaire les politiques de tout bord et calcule encore à la main l'indemnisation des sinistres chômage pour les bénéficiaires (nous sommes en 2012, il est possible d'automatiser tous les modèles en fonction de la loi).

    Pour ceux qui ne sont pas français, je rappelle que PE est un organisme d'aide à l'emploi et une assurance chômage publique.

    Il ne s'agit pas de critiquer la mauvaise volonté des agents de PE (mise à part une minorité syndiquée et condescendante), ils aimeraient bien faire mais ils sont "fordisés" à la tâche par ceux qui organisent PE, les syndicats (ouvriers et patronaux).

    Pour moi, un agent de PE devrait être un commercial qui décroche son tel, appelle les entreprises, interroge sur les besoins, et rapproche les CV , rappelle le chercheur d'emploi, négocie l'heure de l'entretien et suit.

    Le social, c'est le rôle de la CAF ou du CCAS, pas de PE.
    Les stats, celui de l'INSEE.

    En ce qui me concerne et certains collègues dans ma branche, les durées de préavis et de période d'essai sont trop longs.
    Tout simplement car, chez nous, elles peuvent être vécu comme de la prison.

    Si je généralise, combien de temps des personnels en déprime ont du souffrir d'une attente indéfinie de la fin de leur période d'essai, pour mieux entrer en dépression, tout en laissant passer des opportunités.

    Pour moi, le travail aujourd'hui devrait être ce que défini l'Europe, 48h par semaine, 5 semaines de CP (et encore, a priori, c'est pas comme le fonctionnaire international) et 15 jours de préavis et de période d'essais. Inutile de se faire violence si les choses ne passent pas!

    Sincèrement, je préfère avoir 7 petits contrats de 3 ans chacun où je vais m'éclater, plutôt qu'un CDI où je me ferai chier au bout de 3 ans, car l'employeur ne voudra surtout pas que j'évolue... de peur d'une demande d'augmentation ou d'une démission.

    Voilà.

    Et pour les "fonctionnaires", employés de PE, qui ne sont pas contents... personne ne leur a mis un boulet au pied. Certains sont partis. Lorsque PE n'aura plus de "bons petits robots perroquets serviables" pour flinguer le moral des chercheurs d'emploi, peut-être que les organisateurs de PE (en clair, les syndicats ouvriers et patronaux) se sortiront les ԁоіgts du c... et commenceront à réfléchir sérieusement, non aux moyens, mais aux méthodes!
  • angel94 Membre élite
    angel94
    • 12 juillet 2012 à 10:41
    Lolo j'ai pas reussis a suivre jusqu'au bout ta petite histoire mdr... en tout cas mon avis sur Pole emploi il est mauvais!
    surtout quand tu leur dit le seul metier que tu ne peux pas exercer car tu n'as pas les diplomes pour dans la branche hoteliere et qu'ils ne te proposent que celui la... et forcement tu te fais recalé à l'entretien... sympa...
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 12 juillet 2012 à 21:28
    Le point de vue d'etiaw, qui est un point de vue de droite, solidement structuré, use de tous les concepts chers à la droite, dont un, la "rationalisation", mot utilisé pour la suppression de deux organismes qui, bon an, mal an, faisaient leur boulot, l'ANPE et les ASSEDIC ; cette "rationalisation" a conduit à une fusion qui mélange le droit à l'indemnisation au chômage (le chômage qui n'est pas du fait de la mauvaise volonté du chômeur) et la recherche d'emploi, soumettant les chômeurs à des pressions quant à leur droit à indemnisation s'ils n'acceptent pas tel ou tel emploi.

    Caractéristique aussi de la droite est cette vindicte contre les fonctionnaires, et les syndicats. La réalité de Pôle-Emploi, c'est que les employés qui viennent de l'ANPE ne connaissent pas les subtilités des régimes d'indemnisation ; et ceux qui viennent des ASSEDIC ne connaissent pas le "marché de l'emploi" ; d'où un malaise chez eux, pour le moins.

    Et la rage de ne pas pouvoir faire leur travail de fonctionnaires (d'ailleurs les nouveaux n'en ont plus le statut : la précarité doit être la loi, et c'est la loi du capitalisme : merveille de la précarité, dont etiaw vous a chanté tous les avantages, l'esprit d'aventure, de conquête, d'indépendance ; merveilleuse épopée de la précarité !!!)

    Cette rage de ne pas pouvoir faire son travail (outre le manque criant d'effectifs à Pôle-Emploi) a entraîné des cas de suicide. Dont celui du dirigeant du syndicat de la Fédération Syndicale Unitaire du secteur Pôle-Emploi, le SNUTEFI-FSU : c'est dire combien cette "rationalisation" fait violence aux employés, et combien des syndicalistes attachés à leur métier ne sont pas, contrairement à ce que pense etiaw, des indifférents, des planqués, des gens qui ne pensent qu'à leurs RTT ; le suicide de ce dirigeant, dû au "management par le stress" à Pôle-Emploi, a été reconnu comme un accident du travail ; et ce n'est pas le seul.

    Sarkozy et sa Ьапԁе sont les fossoyeurs de deux métiers bien distincts, sous prétexte de "rationalisation".

    --- Ah, la loi Le Chapelier : loi qui interdisait les coalitions d'intérêts, autrement dit les coalitions ouvrières pour, par exemple, faire appliquer un tarif minimum. Les société d'entraide mutuelle et les syndicats naissants au dix-neuvième siècle eurent à se confronter à cette interdiction des coalitions.


    -- Et comme nous ne nous mettrons pas d'accord, moi et etiaw, parce que nos présupposés sont trop éloignés les uns des autres, et qu'il ne s'agit pas par une joute oratoire habilement menée de savoir "qui a raison" - l'idéologie politique, implicite ou explicite, de chacun de nous deux ne nous le permet pas -, je m'en vais, en bon fonctionnaire de l’Éducation Nationale que je suis, retourner à mes travaux de traduction, et de formation permanente, parce que, il ne faut pas croire, les professeurs, ça travaille, et même en été, on ne reste pas en friche, d'autant qu'à égalité de diplôme, on est moins payé que dans le privé, et qu'en plus - après les années du sarkozysme - il est de bon ton de faire cracher sur les fonctionnaires, donc on essuie le crachat, et on va cultiver son jardin.

    Pour ceux qui епvіеrait mes deux mois de congé en été, petit rappel : sachez que les professeurs ne sont pas payés pour ces deux mois ; en réalité le traitement des professeurs, dès le début, ce fut une certaine somme répartie sur douze mois, mais une somme qui ne tenait aucun compte des deux mois d'été.

    Le sale planqué que je suis va donc retourner à ce qui le requiert.

    En attendant, en septembre, d'affronter le manque cruel d'enseignants créé par la Ьапԁе de Sarkozy ; et les classes de seconde ou de terminale à quarante élèves, ce qui crée d'excellentes conditions, tant pour les élèves que pour les professeurs.
  • jakou61 Membre élite
    jakou61
    • 12 juillet 2012 à 21:31
    De toute façon des l'instant que l'on est pas de ton avis (clim )c'est simple on est de l'autre bord c'est tres drole tu est pathétique
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 13 juillet 2012 à 00:05
    De toute façon des l'instant que l'on est pas de ton avis (clim )c'est simple on est de l'autre bord c'est tres drole tu est pathétique

    Arnaudusud, je sais quand même encore reconnaître un discours de droite : - une distance marquée, narquoise, voire une hostilité à l'égard des fonctionnaires ; - un rejet à l'égard des syndicats de salariés et une ignorance de ce qui est de leur fait ; - le fait de nommer "rationalisation" ce qui est le produit de la dislocation de l'ANPE et des ASSEDIC ; - le fait d'appeler à ne pas méconnaître les bons aspects de la politique de Sarkozy (dont la politique restera pour la grande destruction des services publics en France, accomplie sous le nom de Révision Générale des Politiques Publiques, RGPP) ; - le fait de voir des avantages à la précarité ; - appeler à travailler 48 heures par semaine, ce qui est un retour direct au début du vingtième siècle quand la Confédération Générale du Travail faisait campagne pour "Huit heures de travail, huit heures de repos, huit heures de loisirs" et quand les travailleurs de l'industrie mouraient, pour la plupart, vers les 65 ans ; - reconnaître aux préconisations de "l'Europe" (pour ne pas dire "Union européenne", ce qui n'est pas équivalent) un caractère exemplaire et pionnier ; - le fait de suggérer que l'on ne travaille jamais assez.

    Je ne vais quand même pas faire une analyse détaillée pour montrer les points de rencontre nombreux de ce qu'énonce etiaw avec les discours de l'UMP, par exemple.

    Ce qui est, peut-être, pathétique, c'est le besoin que les choses restent dans le brouillard, comme l'était ton sujet sur l'emprunt d’État, que tu as mis dans la rubrique "Cinéma et chanson" AU PRÉTEXTE que tu empruntais un bout de film avec Fernandel expliquant ce qu'est un emprunt du Roi auprès de ses sujets. J'appelle ça de la contreЬапԁе, eh oui !!! Moi, ça ne me gêne pas d'être en désaccord ; en aucune manière. Mais que l'on ne compte pas sur moi pour faire semblant d'être d'accord. Et avec quoi pouvais-je être d'accord, ou en désaccord, en ce qui te concerne, puisque tu réservais, prudemment, ton avis, en laissant parler les images pour toi

    Revenons à nos moutons !!!

    J'accepterais volontiers, avec le plus grand рlаіsіг, que l'on qualifie ce que j'exprime de "propos de la gauche politique".
    De plus, etiaw a mis un sous-titre à son sujet : Réponse à Climax sur PE [Pôle-Emploi] : DOMAINE POLITIQUE.

    Arnaudusud, il ne suffit pas d'en vouloir à quelqu'un comme tu peux m'en vouloir pour sortir des amabilités comme "pathétique" .


    TU VEUX QUE JE TE DISE CE QUE JE TROUVE PATHÉTIQUE ACTUELLEMENT ICI ET TRÈS PRÉCISÉMENT : C'EST UN FORUM DANS LEQUEL LES BLAGUES VASEUSES ABONDENT ; UN FORUM DANS LEQUEL L'ON PERD L'HABITUDE DE DÉBATTRE ; UN FORUM DANS LEQUEL AUCUNE PENSÉE N'AURAIT DROIT DE CITE PARCE QUE CE SERAIT TROP SÉRIEUX ; UN FORUM DANS LEQUEL L'ON INTRODUIT, MINE DE RIEN, COMME TOI, EN CONTREВАNDЕ, UN SUJET DE DISCUSSION, MAIS SANS ASSUMER AUCUNE POSITION, SI CE N'EST DE SUGGÉRER ; UN FORUM DANS LEQUEL LE DÉSACCORD SERAIT UNE BIZARRERIE ET UNE CATASTROPHE;

    ALORS, JE SUIS EN DÉSACCORD AVEC ETIAW, QUI M'INTERPELLE DANS LE DOMAINE POLITIQUE. PEUT-ÊTRE QUE, DANS CE CADRE-LA, JE PEUX BIEN QUALIFIER CE QU'IL ÉCRIT DE PENSÉE DE DROITE, LUI-MÊME SE SITUANT DANS LE DOMAINE POLITIQUE. ÊTRE DE DROITE C'EST PÉJORATIF ? C'EST DISQUALIFIER QUELQU'UN DE L'ESTIMER REPRÉSENTATIF D'UNE PENSÉE DE DROITE ? ET ON POURRAIT SE SITUER SUR UN РLАN POLITIQUE SANS USER DE DEUX CATÉGORIES MINIMALES, LA GAUCHE ET LA DROITE ?


    Alors, Arnaudusud, je préfère une pensée clairement exprimée comme celle d'etiaw, c'est clair, c'est net, c'est précis, ça me fait bouillir (et c'est le propre de la politique de faire bouillir) à ce qui s'insinue vaguement.

    Et pas plus qu'il n'y a d'anges аsехués, il n'y a de "Climax69007" apolitique.


    Et, plus précisément, je vais te dire une chose : j'ai remarqué que les "apolitiques" ne sont pas situés nulle part ; ils se situent très précisément dans le camp de la droite politique, par leur prétendu neutralité, par leur prétendue abstention, avec leur airs de сhаttеmite qui - ni vu ni connu je t'embrouille - prétend se situer au-dessus des bouillonnements partisans. Les "apolitiques" sont des conservateurs (au sens politique) dans l'âme : le monde leur convient ргоfопԁément. Ils n'ont pas le sens de la révolte et encore moins l'idée des révolutions... politiques !!! Même si cela se passe sous leur nez ; ils appelleront cela "printemps arabe", "révolution des jasmins" ("jasmin" atténue beaucoup le mot sacrilège !!!), tant il importe de se voiler la face devant la portée de ces événements, et tant il importe d'en masquer la portée.


    Je me situe ; le minimum de la lucidité est aussi de situer les autres.

    Est-ce que pour autant nous nous entretuons ? Nous entamons une guerre civile ? Mais bien sûr que non !!! Les mots ne tuent pas sur ce forum !
  • etiaw Membre élite
    etiaw
    • 13 juillet 2012 à 01:02
    Je vais éviter de faire de l'égotisme mal placé.
    Climax à l'air d'adorer.

    Le bon professeur qui travaille 47 semaines par an - les jours fériés et qui choie ses petits élèves, tout en étant académiques parfois éloigné des réalités... je connais ce sont les seuls qui m'ont collé - de 7 au Cnam.
    Non que je n'ai pas eu d'intérêt à leurs cours... mais que son académisme en faisait un galimatias mathématico-linguistique. Entre un anglais, non maîtrisé que l'on retrouvais dans des traductions dignes de celles que je rendais en 2nde (avec un puissant "On ne traduit pas une phrase, mais une idée" lancé à la cantonade par le prof d'anglais pour me foutre la honte!).

    Comme le résume Arnaud et d'autres que je ne citerait pas, le débat est un échange d'idées en prenant toutes les idées des uns et des autres sans les occulter.

    Le fonctionnaire de ta génération en particulier est un homme ou une femme à qui l'on assurait, à l'époque - lorsque tu étais tout juste majeur - un boulot à vie.
    On ne lui demandait pas de s'adapter, on ne lui demandait pas de s'ouvrir aux autres ou au monde, on lui demandait de faire son boulot, comme un petit robot et l'époque étant, par l'exploitation du colonialisme (que certains organismes d'état - ancrés à gauche - pratiquent encore), prospère, les salaires étaient royaux.

    Les choses ont changé notamment avec un certain socialo-fascisme rampant qui eut court pendant 16 ans et qui perdure encore. Où l'on voyait les hommes politiques diviser les communautés pour mieux les contrôler et les monter les unes contre les autres tout en dilapidant allègrement le trésor national (la sécu étant déjà en déficit en 1981).

    On développa alors le syndicaliste, l'ouvrier ceinture-bretelle, perroquet de son état...un vrai Président à qui le patron ouvrait la porte.

    Ces gens là ne savent pas s'adapter, ne savent pas évoluer et souvent sont des aboyeurs de la direction (à la botte du patron) pour gagner de l'argent (rappellons que les grèves sont des jours non payés et que grâce à ça l'entreprise fait de substantielles économies). Le syndicaliste lui sera rémunéré par ... son syndicat (donc, nos impôts).

    Aujourd'hui ces syndicalistes ouvrent les yeux et ne supportant plus ... ou plutôt ... ne voulant pas s'adapter au monde qui les entoure deviennent de vieilles peaux aigries qui coupées des réalités, choisissent leur dernière liberté: le suicide!

    Sur la loi Le Chapelier, il faut voir le verre à moitié plein aussi Monsieur CLIMAX.
    Le but d'interdire les rassemblements permettait d'interdire les entreprises Anonymes...où les responsabilités sont diluées. Tu sais les entreprises qui viennent à la rescousse des PME mourantes, rachètent leurs асtіfs, musèlent les salariés, déménagent les machines et laissent les salariés en рlап et sans salaire.
    Si la loi le Chapelier existait, la personne morale n'existant pas ce serait le dirigeant qui irait en tôle.

    L'intelligence politique si tant est que tu puisses penser par toi même et non à travers des livres déjà écrits. En clair, en confrontant tes idées avec des jeunes ... y compris cette génération Y que beaucoup critiquent (j'ai testé, ils sont farceurs, taquineurs, mais pas méchants), tu ouvrirai ton esprit et tu aurai posé des idées intermédiaires.

    Je crois que la loi orgaпіԛuе parle d'amendements (j'ai un niveau bac en droit, mais j'ai eu un très bon professeur en association pour apprendre droit et communication).

    Pour le reste, tu es hors course mon pauvre Climax,... has been comme disent ceux de ton âge, ... être un phoenix de nos jours est une obligation.

    Il y avait une quinzaine d'année en arrière une publicité d'Air France disait :"S'adapter ou mourir, nous avons choisi de vivre". J'adorais ce slogan très diplomate et très pro асtіf à la fois.

    Enfin, me concernant - je vais un peu parler de ma modeste personne - je n'ai jamais eu de problème de taf ou de carrière.
    Je n'ai pas attendu en priant, à genoux que mon boss m'augmente.
    Je fais comme font les jeunes aujourd'hui avec leur boss... tu t'adaptes, ou je m'adaptes... et donc, je dégage.


    Et pour les petits jeunes aujourd'hui, souscrivez une assurance protection juridique les enfants. Ca coute moins cher qu'un syndicat (même après déduction d'impôts) et ça ne met pas trois ans à bouger en vous laissant crever dans votre dépression.
    Un patron, c'est comme un syndicaliste ça se dresse à coup de lois.
    N'oubliez jamais de passer une raclette de tapis vert lorsque vous partez d'une boîte, un patron qui arrange la loi à sa façon, doit être généreux envers vous.

    Monsieur Climax, a bow for you.

    Bises aux autres.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 13 juillet 2012 à 14:05
    Je vais éviter de faire de l'égotisme mal placé.
    Climax à l'air d'adorer.

    Le bon professeur qui travaille 47 semaines par an - les jours fériés et qui choie ses petits élèves, tout en étant académiques parfois éloigné des réalités... je connais ce sont les seuls qui m'ont collé - de 7 au Cnam.
    Non que je n'ai pas eu d'intérêt à leurs cours... mais que son académisme en faisait un galimatias mathématico-linguistique. Entre un anglais, non maîtrisé que l'on retrouvais dans des traductions dignes de celles que je rendais en 2nde (avec un puissant "On ne traduit pas une phrase, mais une idée" lancé à la cantonade par le prof d'anglais pour me foutre la honte!).

    Comme le résume Arnaud et d'autres que je ne citerait pas, le débat est un échange d'idées en prenant toutes les idées des uns et des autres sans les occulter.

    Le fonctionnaire de ta génération en particulier est un homme ou une femme à qui l'on assurait, à l'époque - lorsque tu étais tout juste majeur - un boulot à vie.
    On ne lui demandait pas de s'adapter, on ne lui demandait pas de s'ouvrir aux autres ou au monde, on lui demandait de faire son boulot, comme un petit robot et l'époque étant, par l'exploitation du colonialisme (que certains organismes d'état - ancrés à gauche - pratiquent encore), prospère, les salaires étaient royaux.

    Les choses ont changé notamment avec un certain socialo-fascisme rampant qui eut court pendant 16 ans et qui perdure encore. Où l'on voyait les hommes politiques diviser les communautés pour mieux les contrôler et les monter les unes contre les autres tout en dilapidant allègrement le trésor national (la sécu étant déjà en déficit en 1981).

    On développa alors le syndicaliste, l'ouvrier ceinture-bretelle, perroquet de son état...un vrai Président à qui le patron ouvrait la porte.

    Ces gens là ne savent pas s'adapter, ne savent pas évoluer et souvent sont des aboyeurs de la direction (à la botte du patron) pour gagner de l'argent (rappellons que les grèves sont des jours non payés et que grâce à ça l'entreprise fait de substantielles économies). Le syndicaliste lui sera rémunéré par ... son syndicat (donc, nos impôts).

    Aujourd'hui ces syndicalistes ouvrent les yeux et ne supportant plus ... ou plutôt ... ne voulant pas s'adapter au monde qui les entoure deviennent de vieilles peaux aigries qui coupées des réalités, choisissent leur dernière liberté: le suicide!

    Sur la loi Le Chapelier, il faut voir le verre à moitié plein aussi Monsieur CLIMAX.
    Le but d'interdire les rassemblements permettait d'interdire les entreprises Anonymes...où les responsabilités sont diluées. Tu sais les entreprises qui viennent à la rescousse des PME mourantes, rachètent leurs асtіfs, musèlent les salariés, déménagent les machines et laissent les salariés en рlап et sans salaire.
    Si la loi le Chapelier existait, la personne morale n'existant pas ce serait le dirigeant qui irait en tôle.

    L'intelligence politique si tant est que tu puisses penser par toi même et non à travers des livres déjà écrits. En clair, en confrontant tes idées avec des jeunes ... y compris cette génération Y que beaucoup critiquent (j'ai testé, ils sont farceurs, taquineurs, mais pas méchants), tu ouvrirai ton esprit et tu aurai posé des idées intermédiaires.

    Je crois que la loi orgaпіԛuе parle d'amendements (j'ai un niveau bac en droit, mais j'ai eu un très bon professeur en association pour apprendre droit et communication).

    Pour le reste, tu es hors course mon pauvre Climax,... has been comme disent ceux de ton âge, ... être un phoenix de nos jours est une obligation.

    Il y avait une quinzaine d'année en arrière une publicité d'Air France disait :"S'adapter ou mourir, nous avons choisi de vivre". J'adorais ce slogan très diplomate et très pro асtіf à la fois.

    Enfin, me concernant - je vais un peu parler de ma modeste personne - je n'ai jamais eu de problème de taf ou de carrière.
    Je n'ai pas attendu en priant, à genoux que mon boss m'augmente.
    Je fais comme font les jeunes aujourd'hui avec leur boss... tu t'adaptes, ou je m'adaptes... et donc, je dégage.


    Et pour les petits jeunes aujourd'hui, souscrivez une assurance protection juridique les enfants. Ca coute moins cher qu'un syndicat (même après déduction d'impôts) et ça ne met pas trois ans à bouger en vous laissant crever dans votre dépression.
    Un patron, c'est comme un syndicaliste ça se dresse à coup de lois.
    N'oubliez jamais de passer une raclette de tapis vert lorsque vous partez d'une boîte, un patron qui arrange la loi à sa façon, doit être généreux envers vous.

    Monsieur Climax, a bow for you.

    Bises aux autres.

    Bien. Le langage employé est structuré. Pour le moins.

    Nous apprenons que les syndicats, qui ont eu bien du mal à se constituer, seraient des outils du patronat. Pour ma part, je connais des appareils syndicaux qui, effectivement, sont des aides précieuses apportées au patronat ; des appareils qui, jamais, ne s'appuieront sur les millions de personnes en grève pour défaire un gouvernement (je pense à la grève relative aux retraites, où l'appareil de la CFDT et celui de la CGT firent сароtеr la mobilisation, par des grèves à répétition, et surtout par un refus d'appeler à la grève générale) ; pour autant, il y a dans les syndicats de salariés les syndiqués, qui tentent, encore et toujours, de s'emparer de ce qui est la première forme d'organisation de classe.

    Pour le reste, je ne vois qu'attaques ad hominem, dépréciation de l'adversaire ("socialo-fascisme", "si tant est que tu puisses penser par toi-même et non à travers des livres déjà écrits", "has-been", le ton général de l'ensemble, "un bow for you", "je vais éviter de faire de l’égotisme mal placé, Climax a l'air d'adorer", "tu es hors course, mon pauvre Climax"). Et non, il n'est pas possible qu'il y ait des "idées intermédiaires" à poser avec des positions comme celles-là : le ton de l'insulte, d'ailleurs, n'y invite pas ; le ton du mépris haineux qui ici s'affirme très ouvertement, mais qui était présent dès la première communication.

    Il y a un paradoxe : engager au dialogue, alors que l'on tient son interlocuteur pour indigne, et que l'on s'emploie à l'outrager, à le dénigrer, à le rabaisser.

    --- Quant au capacité de dialogue d'etiaw, quand même : j'indique que la loi Le Chapelier interdisait les coalitions ouvrières ; pour lui "c'est un verre à moitié plein", parce que peu lui chaut de cette longue histoire du syndicalisme, qu'il tient pour néfaste, inutile, superflue, accessoire ; il se trouve que pour moi l'essentiel de cette loi visait à prohiber la constitution des ouvriers éparpillés, disjoints, isolés en une classe sociale active, comptant, faisant poids, au travers de leur réunion volontaire dans le syndicat, parce qu'une classe sociale n'existe pour soi que par sa résistance à l'atomisation sociale (diversité des conditions de travail, des lieux, des rémunérations) et par la mise au point de programmes d'action. Et les syndicats, malgré les appareils syndicaux, restent encore, pour les travailleurs salariés, le moyen de se constituer en une force sociale.

    --- Ayant peu de goût par ailleurs à recevoir des morsures ;

    n'ayant pas de goût pour répondre à des choses grotesques et caricaturales comme "On développa alors le syndicaliste, l'ouvrier ceinture-bretelle, perroquet de son état...un vrai Président à qui le patron ouvrait la porte". ;

    n'ayant pas le mauvais goût de répondre à ceci : "Aujourd'hui ces syndicalistes ouvrent les yeux et ne supportant plus ... ou plutôt ... ne voulant pas s'adapter au monde qui les entoure deviennent de vieilles peaux aigries qui coupées des réalités, choisissent leur dernière liberté: le suicide!" (quelle pensée sur ce qu'est la souffrance sociale, quelle pensée sur la fusion ANPE-ASSEDIC, quelle pensée sur le fait de ne plus pouvoir faire son métier, c'est admirable de finesse et de compassion !!!),

    je laisse le terrain à etiaw, flamboyant représentant des dogmes de la droite politique.


    Et je souhaite bien du рlаіsіг à ceux qui voudront discuter avec lui, si ouvert, si peu "has been" (être partisan des 48 heures par semaine vous place évidemment à l'avant-garde de la pensée de demain et ne relève pas d'une vieille tradition d'exploitation de la force de travail, jusqu'à épuisement) ; avec quelqu’un qui confond la vie sociale avec une perpétuelle compétition (en quoi il est un tenant de ce que l'on a appelé "le darwinisme social", la transposition des lois de l'évolution des espèces découvertes par Darwin - la sélection par l'adaptation au milieu - à la vie des société humaines).

    Et l'on ne salue pas quelqu'un qui exprime du mépris envers vous, il ne manquerait plus que cela. Et qui vous l'exprime en anglais, parce que l'anglais, ça fait plus chic. "A bow for you" : un arc pour toi.

    "Être un Phoenix de nos jours est une obligation" : si tu savais mon nombre de résurrections, et les difficultés surmontées dans ma vie, tu ne lâcherais pas cette phrase grotesque.

    Assez perdu de temps avec un caricaturiste.
  • etiaw Membre élite
    etiaw
    • 13 juillet 2012 à 19:48


    Bien. Le langage employé est structuré. Pour le moins.

    Nous apprenons que les syndicats, qui ont eu bien du mal à se constituer, seraient des outils du patronat. Pour ma part, je connais des appareils syndicaux qui, effectivement, sont des aides précieuses apportées au patronat ; des appareils qui, jamais, ne s'appuieront sur les millions de personnes en grève pour défaire un gouvernement (je pense à la grève relative aux retraites, où l'appareil de la CFDT et celui de la CGT firent сароtеr la mobilisation, par des grèves à répétition, et surtout par un refus d'appeler à la grève générale) ; pour autant, il y a dans les syndicats de salariés les syndiqués, qui tentent, encore et toujours, de s'emparer de ce qui est la première forme d'organisation de classe.

    Pour le reste, je ne vois qu'attaques ad hominem, dépréciation de l'adversaire ("socialo-fascisme", "si tant est que tu puisses penser par toi-même et non à travers des livres déjà écrits", "has-been", le ton général de l'ensemble, "un bow for you", "je vais éviter de faire de l’égotisme mal placé, Climax a l'air d'adorer", "tu es hors course, mon pauvre Climax"). Et non, il n'est pas possible qu'il y ait des "idées intermédiaires" à poser avec des positions comme celles-là : le ton de l'insulte, d'ailleurs, n'y invite pas ; le ton du mépris haineux qui ici s'affirme très ouvertement, mais qui était présent dès la première communication.

    Il y a un paradoxe : engager au dialogue, alors que l'on tient son interlocuteur pour indigne, et que l'on s'emploie à l'outrager, à le dénigrer, à le rabaisser.

    --- Quant au capacité de dialogue d'etiaw, quand même : j'indique que la loi Le Chapelier interdisait les coalitions ouvrières ; pour lui "c'est un verre à moitié plein", parce que peu lui chaut de cette longue histoire du syndicalisme, qu'il tient pour néfaste, inutile, superflue, accessoire ; il se trouve que pour moi l'essentiel de cette loi visait à prohiber la constitution des ouvriers éparpillés, disjoints, isolés en une classe sociale active, comptant, faisant poids, au travers de leur réunion volontaire dans le syndicat, parce qu'une classe sociale n'existe pour soi que par sa résistance à l'atomisation sociale (diversité des conditions de travail, des lieux, des rémunérations) et par la mise au point de programmes d'action. Et les syndicats, malgré les appareils syndicaux, restent encore, pour les travailleurs salariés, le moyen de se constituer en une force sociale.

    --- Ayant peu de goût par ailleurs à recevoir des morsures ;

    n'ayant pas de goût pour répondre à des choses grotesques et caricaturales comme "On développa alors le syndicaliste, l'ouvrier ceinture-bretelle, perroquet de son état...un vrai Président à qui le patron ouvrait la porte". ;

    n'ayant pas le mauvais goût de répondre à ceci : "Aujourd'hui ces syndicalistes ouvrent les yeux et ne supportant plus ... ou plutôt ... ne voulant pas s'adapter au monde qui les entoure deviennent de vieilles peaux aigries qui coupées des réalités, choisissent leur dernière liberté: le suicide!" (quelle pensée sur ce qu'est la souffrance sociale, quelle pensée sur la fusion ANPE-ASSEDIC, quelle pensée sur le fait de ne plus pouvoir faire son métier, c'est admirable de finesse et de compassion !!!),

    je laisse le terrain à etiaw, flamboyant représentant des dogmes de la droite politique.


    Et je souhaite bien du рlаіsіг à ceux qui voudront discuter avec lui, si ouvert, si peu "has been" (être partisan des 48 heures par semaine vous place évidemment à l'avant-garde de la pensée de demain et ne relève pas d'une vieille tradition d'exploitation de la force de travail, jusqu'à épuisement) ; avec quelqu’un qui confond la vie sociale avec une perpétuelle compétition (en quoi il est un tenant de ce que l'on a appelé "le darwinisme social", la transposition des lois de l'évolution des espèces découvertes par Darwin - la sélection par l'adaptation au milieu - à la vie des société humaines).

    Et l'on ne salue pas quelqu'un qui exprime du mépris envers vous, il ne manquerait plus que cela. Et qui vous l'exprime en anglais, parce que l'anglais, ça fait plus chic. "A bow for you" : un arc pour toi.

    "Être un Phoenix de nos jours est une obligation" : si tu savais mon nombre de résurrections, et les difficultés surmontées dans ma vie, tu ne lâcherais pas cette phrase grotesque.

    Assez perdu de temps avec un caricaturiste.

    Déjà merci pour le caricaturiste... c'est fou comme tu te dépeins à merveille.

    On voit l'excellent niveau d'anglais Goooogle... c'est ton meilleur ami, mais pas en tout cas et à tout coup!
    http://dictionary.reference.com/browse/bow <- Ici tu trouveras une définition de "bow" . Dictionary est un excellent méta-dictionnaire.
    Tu sais un truc que, soit disant, les jeunes ne consultent plus... enfin, je dis ça, je dis rien!

    Bow se traduit par révérence. Tu sais pourqoi...

    D'un magistrat ignorant
    C'est la robe qu'on salue.

    Livre V - Fable 14 - L'âne portant les reliques

    Je l'adore celle là.

    Et puis suis-je con!... avant de créer ce sujet, j'aurais du me référer à celle-ci:

    Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde
    On a souvent besoin d'un plus petit que soi.

    Livre 2 - Fable 11 - Le lion et le rat.

    C'est pas faute d'avoir été averti.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 13 juillet 2012 à 21:03
    Vu la somme de propos fort insultants à mon égard qu'etiaw aura débitée (voir plus haut) en guise d'argumentation, je m'autoriserai moi-même à prendre son "bow", non pas pour une courbure me faisant la révérence, mais pour un arc m'adressant une flèche.

    L'insulte a ses pointes aiguës, expédiées pour faire mal !

    ET LES BORNES, LES SIMPLES BORNES DE LA CIVILITÉ SONT DÉPASSÉES DEPUIS LONGTEMPS PAR ETIAW.

    Par ailleurs, s'il est vrai que mon niveau d'anglais n'est pas excellent, il est suffisant pour lire en anglais un journal, et cela ne m'empêche pas d'apprécier, non pas la pauvre musique pop internationale, anglophone pour cause de marché mondial (pauvre parce que l'adoption généralisée de cette langue relègue des langues au néant et nivèle les différences culturelles, qui sont nos richesses) mais une personne sensible comme Joan Baez, qui m'a toujours ému, parce qu'elle chante un anglais vivant, sa langue, mais aussi en espagnol, ou alors une personne comme le grand poète Leonard Cohen. Et W. H. Auden ne m'est pas étranger : bref, l'anglais, la langue du cœur, non pas "la langue des affaires", est attachante, stimulante, émouvante. De plus, mon niveau en portugais, la sixième langue la plus parlée au monde, est excellent ; et de là j'ai une vaste perspective sur le Brésil, le Mozambique, l'Angola, la Guinée Bissau, le Portugal, le Cap-Vert, Timor-Leste, ... Voilà mes amours !!! Et en espagnol, ça ne va pas trop mal : ce qui me permet de lire Federico Garcia Lorca (vous savez, cet hоmоsехuеl que les franquistes/fascistes assassinèrent, parce qu'hоmоsехuеl, le plus grand écrivain de son époque, d'un coup de fusil dirigé - d'après des témoignages - dans l'апus ; détail sordide, mais hélas avéré par des témoignages).

Pas encore inscrit(e) ? Créez votre profil en quelques clics seulement et profitez !