Salomé

Bonjour,

Parmi les quelques-unes qui laissèrent leur nom attaché au rôle, telle l'illustre Ljuba Wellitch (idéale), Birgit Nilsson, Inge Borkh,....

Montserrat Caballé

est celle dont Richard Strauss aurait énormément apprécié l'incarnation dans ce rôle de jeune fille pleine de сhагmе, de séduction, soutenue par une technique extraordinaire et un art du chant qui rendent justice à sa partition.

Cette scène finale, dirigée par Erich Leinsdorf, est le sommet de l'opéra.

Enjoy !

Immense talent de Montserrat Caballé
Interprétation époustouflante
J'aimerais Jiminy que tu nous consacres une semaine entière à cette grande artiste.
Je redécouvre cette chanteuse d'opéra grâce à toi Jiminy......

Mille mercis Jiminy
Tu es le grand mаîtге de la musique

Un grand moment!!! Elle est aussi divine dans les "Quatre
derniers Lieder" sous la baguette d'Alain Lombard.....Merci!

Jiminy, merci !!!

Laisse-moi la possibilité de rappeler une autre incarnation fascinante du personnage biblique - un des plus "grands rôles féminins bibliques" !!! -, la pièce éponyme d'Oscar Wilde, "Salomé", écrite directement en français, c'est l'oeuvre la plus lyrique d'Oscar Wilde avec "De profundis" et "Ballade de la geôle de Reading".


-------------------------------------------------------------


La partition est saisissante, dès les première notes. Un frisson, long.J'ai été rarement aussi ému par une œuvre d'art. Une plénitude de la voix.


Point de drame marqué par de grossiers effets musicaux.
Une musique captivante.
Et la voix, oui, de Montserrat Caballé.
C'est la première fois, Jiminy, que tu emploies l'expression "sommet de l'opéra" (au singulier) : je crois ta caractérisation juste.

Salut Climax,

il est exact que l'oeuvre d'Oscar Wild est fascinante;

pour moi, moins cependant que celle musicale de R. Strauss
où on nage, dans son monde, sur un océan d'harmoniques très sensorielles, riches et sublimes,
ce qui plaîsait beaucoup à Montserrat Caballé quand Elle chantait R. Strauss,
tout comme à beaucoup d'amoureux de cette musique straussienne dont je fais partie.

Très heureux que tu aies été autant captivé par cette scène finale, pas si facile.
Comme dans toutes ses fins d'opéras,
RS avait l'art d'assassiner ses chanteurs en fin de parcours par la difficulté et la vaillance vocale nécessaire après avoir tenu le coup durant toute l'intégrale, déjà souvent ''gratinée'' !