Sonnet du tгоu du сulArthur RimbaudObscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des Fеssеs blanches jusqu’au cœur de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s’aller perdre où la pente les appelait.
Mon Rêve s’aboucha souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C’est l’olive pâmée, et la flûte саlіпe,
C’est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !
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Alors, pour les раssіfs occasionnels ou pas, ça c'est bien passé ?
N'oubliez pas d'attacher des sentiments à l'action sехuеllе, c'est franchement meilleurs
