En réponse au message de bjorkio :
On peut se questionner sur ce qu'il pense vraiment de l'immigration, et plus précisément de qui il voudrait voir le droit d'entrée ou non. Mais il revient régulièrement sur le fait de demander l'avis des citoyens en fait, du coup, le fait qu'il élude la question à titre personnelle n'est pas déconnante !...
Sa logique pour les sujets clivant est limpide:
L'heure n'est pas à se prendre le choux sur ces sujet car, quand la maison brûle, ce n'est pas le moment de trier les mâles et le femelles mais de sortir tout le monde de la merde…
En réponse au message de bjorkio :
Il pointe, non sans insistance, le fait que l'appartenance à l'Europe nous prive d'un véritable pouvoir décisionnel. On n'est même pas à l'état du "que voulez-vous faire par rapport à l'immigration", mais dans un premier temps, de récupérer le pouvoir de décision sur la question ! xD
La sortie de l'Europe, c'est pour retrouver notre souveraineté, ce qui permet de prendre nos décisions et pas obéir bêtement en se tirant des balles dans le pied à des ordres qui ne servent pas l'intérêt des Français.
Sans cela, tu ne fais pas la loi chez toi…
Un exemple récent: Le glyphosate.
Le Vietnam, état indépendant et souverain est capable, comme il l'a fait, de l'interdire.
Nous, on en a repris pour quelques années…
La sortie de l'Euro, c'est pour notre indépendance monétaire car, sans elle, il n'est pas possible d'avoir une politique économique digne de ce nom.
La compétitivité économique de l'Allemagne est notamment le résultat d'un euro qui est sous-évalué pour elle d'environ 6%.
Notre non-compétitivité est le résultat de l'inverse: notre euro est trop fort de 6%.
Il n'est tout simplement pas possible d'améliorer concrètement l'économie française si on n'a pas accès à ce levier.
Quand à la sortie de d'otan, il faut voir les causes des choses.
On s'est lancé dans des entreprises guerrières insensées au seul motif de notre appartenance à l'otan.
On avait rien à foutre en Libye, on a joué un jeu à la con en Syrie et on a failli participer bien plus activement au bordel international en Irak.
Faut quand même, à un moment ou un autre, faire le lien entre ces actions et la question des migrations de populations qui n'ont pas епvіе de se prendre des bombes sur la gueule…