Tino Rossi : l'incroyable histoire !

Né en 1893, d'un papa turc ottoman (délicieusement membré, poilu et sеху) et d'une maman corse juive (avec un fichu sur la tête et un regard de gazelle éreintée), bébé excessivement braillard, dès son avènement il tapa sur les nerfs de ses géniteurs, pourtant ravis d'avoir un petit mâle énergique.

A la suite de trop de nuits blanches parentales, le petit Tino fut abandonné, subrepticement, sur un des pics les plus schisteux et forestiers de la Corse.

Là, recueilli par les loups, il apprit à yodler son célèbre hurlement à la lune et à réchauffer son sirop sucre d'orge à la banane flambée.

Rallié à la cause indépendantiste, Tino Rossi, le Rossignol, fut employé comme arme fatale contre les colonialistes français : il enchaîna et les tympans, et les tours de chant.

Agent de la subversion, ennemi sournois des valeurs chrétiennes, pédéraste démolissant la cellule familiale, Tino Rossi s'évertua à miner, par son sucre fondant, une figure mаîtгеssе du folklore national, le Père Noël, avec sa chanson "Petit Papa Noël, quand tu descendras du ciel, avec tes jouets par milliers, n'oublie pas mon petit soulier..."

Cette chanson fit date dans le travail de sape visant à abrutir la Nation, éternelle et française. Passons, passons !

Ayant passé l'arme à gauche, Tino Rossi fut éventré et empaillé : à chaque Noël, l'ennemi intérieur remonte le ressort de sa baveuse, et ça repart !

Tino Rossi, le brachycéphale, persiste, donc, malgré sa mort, à gélifier les cervelles fraîches et tremblotantes des petits gnanfants de souche, blancs, chrétiens, blonds, aux yeux bleus, aryens.

Ces cervelles sont dégustées en sorbet, à la fin du repas de Réveillon, dans les meilleures familles traditionalistes : honorable coutume française, s'il en est !


Source : MédiaClimax007-Jedistout, copyright pour cette dépêche d'agence 2017-DZH-0-7619.


Pour illustrer la sape de la France, un exemplaire de l'arme fatale :

D'ailleurs, est ce tu connais la taille de son, enfin tu vois ce que je veux dire, toi qui est si bien informé sur cecharmant monsieur ?

En réponse au message de fraicheur88 :

D'ailleurs, est ce tu connais la taille de son, enfin tu vois ce que je veux dire, toi qui est si bien informé sur cecharmant monsieur ?

Tout ce que nous savons se rapporte au père de Tino, qui faisait chaque nuit hurler de рlаіsіг son épouse (au témoignage des alentours), en revenant à la charge incessamment : le couple avait eu quatre enfants filles. Tino est le petit cinquième et ultime, un garçon.

On compatit à la douleur des parents d'avoir dû se séparer de leur unique rejeton intéressant - au gré de l'athlète turc ottoman.

Le papa de Tino Rossi, un homme à la douce toison dont son épouse faisait des manchons très seyants, étendait vingt-sept centimètres de sехе stratosphérique les nuits de fatigue et roidissait trente centimètres hyperboliques les nuits de pleine gloire virile.

La maman de T.R. (Tino Rossi), qui vénérait cette partie de son époux, avait modelé dessus - choisissant, pour sûr, la période de la pleine gloire virile - un gabarit servant de mesure-étalon, pour un système de compte familial : nous le savons par l'objet, conservé au musée Tino Rossi de Polenta Vecchia (Corse du Mezzogiorno).

Rien n'atteste les mensurations sехuеllеs de Tino Rossi, le Rossignol indépendantiste.

En tout cas, merci pour tes précisions :)

Que ne ferait-on pas pour rétablir la vérité à propos de l'ennemi intérieur Tino Rossi !

En réponse au message de climax007 :

Que ne ferait-on pas pour rétablir la vérité à propos de l'ennemi intérieur Tino Rossi !

tu as bien fait. en tout cas, personnellement je te remercie

Tino à l'Opéra, enjoy

Les Pêcheurs de Perles (Bizet)




Je crois entendre encore
Caché sous les palmiers
Sa voix tendre et sonore
Comme un chant de ramiers.
Oh nuits enchanteresses
Divin ravissement
Oh souvenir charmant,
Folle ivresse, doux rêve!

Aux clartés des étoiles
Je crois encor la voir
Entr'ouvrir ses longs voiles
Aux vents tièdes du soir.
Oh nuits enchanteresses
Divin ravissement
Oh souvenir charmant
Folle ivresse, doux rêve!
Charmant souvenir!
Divin souvenir!

En réponse au message de seligkeit :

Tino à l'Opéra, enjoy

Les Pêcheurs de Perles (Bizet)




Je crois entendre encore
Caché sous les palmiers
Sa voix tendre et sonore
Comme un chant de ramiers.
Oh nuits enchanteresses
Divin ravissement
Oh souvenir charmant,
Folle ivresse, doux rêve!

Aux clartés des étoiles
Je crois encor la voir
Entr'ouvrir ses longs voiles
Aux vents tièdes du soir.
Oh nuits enchanteresses
Divin ravissement
Oh souvenir charmant
Folle ivresse, doux rêve!
Charmant souvenir!
Divin souvenir!

Bien sûr, l'ennemi intérieur a perpétré des manœuvres de fine diversion, et sut employer comme couverture de son activisme rendant idiots les enfants et gâteux les vieillards français, les meilleures perles du répertoire français.

Ainsi de Bizet, et de son délicieux air "Je crois entendre encore" !

Mais Tino Rossi, chaque année, est remonté, ressort au dos, pour abrutir, avec perfidie, les familles sanglotantes d'émotions paresseuses et doucereuses : "Petit Papa Noël" retentit, alors, toujours.


Pour un passage de Bizet sur France Сul,

mille massacres de cervelles dans les centres

commerciaux par le moyen de "Petit Papa Noël".

La subversion vient de loin, teigneuse, et agite encore le cadavre chantant de T.R.

En réponse au message de seligkeit :

Tino à l'Opéra, enjoy

Les Pêcheurs de Perles (Bizet)

Divin souvenir!

Salut Seligkeit,

Il est agréable de rafraichir ses souvenirs.
Son legato -qui fait bien défaut de nos jours- et sa voix de fausset sont très bien utilisés; beau 'rubato', sans passage.

'Divin souvenir' est remarquablement filé...

Seul le léger 'degueulando' a pris de l'âge.
Mais très beau chant.

Merci pour ce rappel.

En réponse au message de jiminy :

En réponse au message de seligkeit :

Tino à l'Opéra, enjoy

Les Pêcheurs de Perles (Bizet)

Divin souvenir!

Salut Seligkeit,

Il est agréable de rafraichir ses souvenirs.
Son legato -qui fait bien défaut de nos jours- et sa voix de fausset sont très bien utilisés; beau 'rubato', sans passage.

'Divin souvenir' est remarquablement filé...

Seul le léger 'degueulando' a pris de l'âge.
Mais très beau chant.

Merci pour ce rappel.

Hélas, Jiminy, couverture mince et étroite que cette activité vocale du Rossignol : l'abrutissement par la bêtise de "Petit Papa Noël" jette les masques au loin, indique le ramollissement visé chez la population de la France éternelle (éternelle dès avant Vercingétorix), et dénonce l'agent trouble mais indéniable de l'indépendantisme corse.


Déplorons le fourvoiement constant d'un homme ;

constatons les dégâts causés aux gnanfants innocents !