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Aurais-je une forêt épileptique (page 3) - Littérature & poésie

Sujet de discussion : Aurais-je une forêt épileptique
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 30 juin 2014 à 18:13
    Mais le sехe EST dégoûtant !
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 30 juin 2014 à 22:24
    Le sехe est un délice
    Tout comme la réglisse :
    Eplucher doucement,
    Secouer tendrement,

    Triturer sans sévices,
    Faites allonger sans vices,
    Et le trait durement
    Tout en vous perforant

    Vous mettra sur un axe,
    Et vous mordillerez
    La langue à savourer

    De votre аmапt tarasque,
    Patagon ou chilien :
    Un effervescent lien.

    Le petit versificateur du soir, dixit.



    C'est la seule vérité de l'AAAAAAAAAAAMMMMMMMMMMMMMMMMOOOOOOOOOUUUUUUUURRRRRRRRRRRRRRR !!!

    Incrédules, va, "shame, shame, shame, shame on you" !
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 30 juin 2014 à 22:40
    D'ailleurs, ta familiarité à mon égard, "mon petit Climax", indique que tu es sur la bonne voie de l'homophilie pratiquante !!!

    Je dis également "Mon petit Textoo", "mon petit Poney", "mon petit Spiky", il ne s'agit là que d'une marque de condescendance, nullement "d'homophilie".

    De la condescendance, mais non, tu médis de toi, Ikki, comment se pourrait-il que tu sois condescendant ? Ceci n'est pas dans ta nature modeste, pondérée, mesurée, polie, réservée même ; cela ne peut pas être et ne sera pas ; après tout, je suis libre d'interpréter ce "petit" comme il me convient et comme l'avantage t'en revient : tu es un homophile refoulé, ça c'est sûr, ah mais !
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 7 juillet 2014 à 21:31
    Des vieilleries râblées je suis, des jeunes gars
    Mis au rencart, je piaffe d'une impatience ardente
    A friser vos moustaches de mâles à la détente
    Élastique et vibrante ; ah, sentir le trépas

    Des sûrs emmanchements, que rien ne dévia,
    Sucreries idolâtres éloignant de la pente
    Fatale et médisante, propre à ceux dont la fente
    Renfrognée et honnête de fouteurs délicats

    Gazouille à peine un souffle !!! Que vivent les traboules
    Qui perforent, au pays lyonnais en oraison,
    Les bas flancs des maisons ! Trognons en la saison

    Des amours écarlates, entrechoquant les boules
    Dans les jeux de pétanque, l'exemple poursuivez :
    Perforons, perforés, dans les suavités.


    Climax69007, Le Lundi 7 Juillet 2014.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 7 juillet 2014 à 21:53
    A mordiller la nuque
    Ce n'est pas l'eunuque
    Faisant un entrechat,
    Mordillant comme un chat

    Fait sa progéniture,
    Ressentez la nature
    - Dans le saisissement,
    Dans le ravissement -

    De la morsure abîme,
    Du creux qui - s'aiguisant,
    Percé, rempli de sang -

    Vous emporte à la cime
    D'un рlаіsіг de vaincu.
    Le vainqueur est-il cru ???


    Climax69007, gaillardement vôtre.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 14 juillet 2014 à 01:09
    Mes éjасulations seraient-elle étiques,
    Marquées de traînées de brumes squelettiques,
    Pour que nul, ici, ne réponde aux apostrophes
    Que j'irais éructant comme des catastrophes ?

    Censeur, retiens la main qui, veillant à des strophes
    Puériles et honnêtes, viendrait aux antistrophes
    M'administrer un rien des leçons pneumatiques
    Élevant mon âme à des cieux anti-physiques ?

    Non, mon traître verbiage ici développé
    Est un discours que je maintiens enveloppé
    Dans la double entente et sous un air chaloupé,

    Car les mots font voir double, avec leur grand toupet ;
    Que ne puis donc à tes vertèbres choper
    Ton frisson étoilé qui me fait achopper ?

    Climax69007, rustiquement vôtre.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 14 juillet 2014 à 13:39
    Ma voix est sans échos, mon âme est un dédale,
    Le néant rebondit au milieu de la dalle
    Dressée et verticale ; mon regard cloisonné,
    Dans les bribes du temps, a fort bien moissonné

    Le tracé invisible de tes pas dispersés ;
    Dans la touffeurs de l'air mes poumons tгапspercés
    Imitent les soufflets, tempêtes en rafales ;
    Rien n'est plus désormais, sauf les lumières pâles

    Égrenant leur froideur, pour sculpter le néant ;
    Et entrepris au ventre, vertigineusement,
    J'abrite en moi le centre, où l'univers se vide ;

    Et dans ce glissement envers un terme aride,
    Point de rebord intact où agripper la main :
    Dans le temps famélique s'éclipse un lendemain.

    Climax69007, benoîtement vôtre.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 14 juillet 2014 à 19:02
    Je pourrais écrire un mot, le mot "trique"
    Et du geste apporter une vision
    De la chose en émoi très électrique,
    Afficher l'image en mondiovision

    De mon pal érectile et juvénile,
    Eh bien je vous parie au moins mon c.,
    Que ma réputation très inflexible
    Comme un téton qu'ausculte la sécu,

    Arborant un sérieux sibérien,
    Vous ferait accroire une fantaisie
    Relevant de la mystification.

    Tenez, demain je vais avoir en main(s)
    Ce à quoi tout le monde porte епvіе,
    Demain ce sera jour de promotion !!!






    Demain j'enlève le haut,

    j'enlève le bas,

    j'enlève le milieu,

    et je reste entier,

    qui dit mieux ????
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 14 juillet 2014 à 19:05
    Mais le sехe EST dégoûtant !

    Misère, si cela pouvait être vrai, mais ciboire de calice de nom de dieu, comme c'est bon le dégoûtant ! J'en rêve ! Je l'hallucine même !
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 15 juillet 2014 à 19:34
    Franchement, des fois, lorsque je vous lis, je me demande si je suis un Saint homme ou vous de gros регvегs, j'hésite là... ^^

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