En réponse au message de parisоft :
En réponse au message de fred600 :
En cas de décès du conjoint, par exemple, le mariage te permet de disposer du corps... en cas d'union libre, il revient à la famille. Et là, s'il y a un problème, tu ne peux pas lui apporter les fuпérailles que tu souhaites, ni l'enterrer où tu veux.
N'importe quoi ! je rêve de lire des choses comme ça
En droit français, en tout cas, pour les autres pays, je ne sais pas.
Il faut un peu te renseigner sur les jugements et arrêts de la cour de cass
je parle évidemment de cadavres de personnes âgées de plus de 18 ans, donc majeures civilement
Faites un testament devant notaire, prenez une assurance obsèques, vous pourrez y préciser tout votre "avenir".........
Ce lien montre combien ce n'est pas si simple de disposer du corps de son conjoint sans testament.
http://www.liberation.fr/societe/1999/11/01/corps-eparsde-plus-en-plus-de-familles-s-entredechirent-pour-la-depouille-du-defuпt_289346Extrait : " Un arrêt de Steinbeck, la cour de Douai dit que la concubine avait qualité pour organiser les obsèques de son ami «car elle connaissait ses dernières volontés». Mais ils lui ordonnent de restituer au père l'urne fuпéraire, ainsi que «les vêtements, une série de verres, une caisse à outil"»
Bon il y a d'autres exemples de citer... Je ne peux pas tous les copier-coller.
Je réédite ma réponse pour apporter une autre info pour poster un autre extrait :
"La famille doit être considérée au sens des personnes les plus proches. Le conjoint survivant vient généralement en premier ou, à défaut, les enfants, le père et la mère, les frères et soeurs. Sinon, ce peut être aussi des amis et, en l'absence de tout lien connu ou reconnu, le maire de la commune.
En somme, la personne la plus qualifiée en terme de proximité avec le défuпt, ou en dernier ressort l'autorité légale, règlent les fuпérailles, leur lieu et leur mode. Mais, en présence d'un conjoint survivant, considéré comme le plus fondé à dire, n'y a-t-il pas conjoint et conjoint ?
Marié ou pacsé, le couple constitue une entité à laquelle la loi reconnaît des droits. En concubinage, ou union libre, dont le statut est juridiquement pauvre, l'autorité du survivant peut être plus difficile à imposer. Tel est, semble-t-il, le cadre de ce dossier conflictuel.
Vivre en concubinage n'en confère pas moins une autorité de fait. Ainsi, la Cour d'appel de Douai a rendu un arrêt en ce sens - 7 juillet 1998 -, reconnaissant qu'un concubinage stable donne à une concubine qualité suffisante pour, en connaissance de la volonté du de cujus - le défuпt - organiser les obsèques."
le lien :
https://www.lanouvellerepublique.fr/actu/un-conflit-d-ordre-familial-quant-au-lieu-de-sepultureCe qui montre que si on ne saisit pas la justice en tant que conjoint... c'est bien la famille qui gère.