Un matou à la subtile toison ! - Littérature & poésie

En réponse au message de clicli-un-max-007 :

Les toisons des myriades, les filets des étoiles
Ont déposé leur nasse et capturé mon âme ;
Les chemins de la soie ont étendu leur сhагmе
Sur la terre et les mâles se prennent dans leurs toiles ;

Le tissu très charnel, la frissonnante houle
A ses reflets très bruns et s'imprègne de parme,
La rougeur des aveux, le teint qui me désarme ;
Et s'écoulent en mon cœur la désordonnée foule

Des ors à fleur de peau, la pénombre sensible,
Les minuits au zénith, les poils tenant ta cible :
Tu multiplies mon être ; tu épingles un sourire

Aux soupirs de mes lèvres ; tu es mon doux vampire
Et frétilles en mon sang ; tu es mes libellules
Trempées de lune et agrèges mes corpusсules.



Clicli-un-max-007,
le samedi 18 février 2017,
à Lyon, en France.



Dédié à L. qui, un jour,
se reconnaîtra ; dédié
avec la joie qu'il soit
lui, un matou joueur.

merci , pour cet écrit ...
il est beau , il est subtil, il est grand , des dommages de la perte d'un être , tant aimé Tu as ravivé ,et honoré , l'Esprit , tu es un chevalier Servant , pour cet Amour , trépassé mais bien encore vivant ,...quelle joie , j'aurais eu à le connaître , tant les mots , avec lesquels tu l'évoque sans sont sant équivoques , pour clamer son ame , merci

Tu parles trop de poils.

Cli Cli à le bigoudi qui chauffe !

En réponse au message de clicli-un-max-007 :

Ce texte est dédié - sans qu'il le sache -

à un adorable quarantenaire,

qui a de la toison et de l'esprit,

du muscle et de la sensibilité :

il est LUI, c'est tout dire ; il y en a tellement

qui ne sont que leurs masques ou leurs avatars.


Je porte Simon, mon défuпt Portugais,

dans mon cœur, mais - pour parodier

une parole d’Évangile -, il y a plusieurs demeures

dans la maison de mon Cœur.


Bref, oui, mon bigoudis concret commence à chauffer,

y en a marre de la Veuve Poignet !

D'aucuns se servent de leurs mains pleines , de peines ,
de ԁоіgts ,acérées , crochus , , pour déverser , tant de haines,
sous le couvert de la raillerie puérile ,
que l'on norme, jalousie , débile ,

ils ne méritent pas plus d'importance ,
que ;le dernier des poils, que j'ai innocemment perdu , aux sanitaires ...
en faisant partir avec mes fèces , leurs si précieux , déblatères ,

je leur adresse mon indolence
ma plus insolence dans l'ignorance et l'indifférence
de mon plus simple silence ,
et je lour tes écrits digne d'éloquence et du prix d'excellence ..
...
bien à toi , merci pour tes vers ....

En réponse au message de cactus_sss :

Merci pour tes verres !

verres de lunettes ou vers à soie , il faut revenir , dans le vert , de terre à terre et tant pis , pour ceux qui n'aient pas les vers , ils n'ont qu à boire des verres jusqu à la fin de l'univers...