On vit une époque où on ne fait qu'attention à notre petite personne. On demande des droits mais avant de demander des droits, on a aussi des devoirs. Et ça beaucoup de personne ont tendance à l'oublier.
L'individuel prime sur le collectif. Et ça se voit notamment dans ton sujet. De plus, je pense pas que la vie d'un animal ou d'une personne peut se mesurer en quantité de fric.
Bjr, il est vrai que nous sommes devenus individualistes , on s'autorise toutes les fantaisies en oubliant nos devoirs .
Heureusement, dans cette histoire ,il s'avère que de nombreuses personnes désireuses d'adopter un animal se dirigent plus vers les refuges que vers les élevages de toute sorte .