En réponse au message de menxy :
Il ne sâagit pas dâetre optimiste ou pessimiste. Mais d'ĂȘtre rĂ©aliste. Avoir conscience de l'Ă©tat actuel et lâetat futur du monde ne doit pas nous empĂȘcher dâagir et nous inciter a la prostration.
Il y a de plus en plus dâeveil des consciences, de gens sui veulent changer de modĂšles de vie. Mais jâentends personne vouloir renoncer a une partie de son confort. Le noeud du problĂšme est la. On veut faire passer la nature avant le collectif. Mais le collectif est une multitude dâindividus. Et Lâindividu passe avant tout. On veut voyager loin (moi aussi, mĂȘme si je le fais peu), on veut des piscines, beaucoup dâespace alors on ca loin mais faut aussi la voiture, on veut ausi la tĂ©lĂ©, le smartphone, et les ordinateurs avec internet qui demandent des appareils, des infrastructures lourdes et polluantes, des loisirs... la liste est trop longue.
Menxy a Ă©crit : « Mais jâentends personne vouloir renoncer a une partie de son confort. Le noeud du problĂšme est la. On veut faire passer la nature avant le collectif. Mais le collectif est une multitude dâindividus. Et Lâindividu passe avant tout. On veut voyager loin (moi aussi, mĂȘme si je le fais peu), on veut des piscines, beaucoup dâespace alors on ca loin mais faut aussi la voiture, on veut ausi la tĂ©lĂ©, le smartphone, et les ordinateurs avec internet qui demandent des appareils, des infrastructures lourdes et polluantes, des loisirs... la liste est trop longue »
Câest tout le cĆur du sujet.
Individuellement il nâest pas question de cĂ©der un millimĂštre du confort quâon a eu du mal Ă obtenir. Va dire Ă un retraitĂ© qui a bossĂ© toute sa vie, de renoncer Ă voyager sâil en a les moyens. Or les consciences se sont Ă©veillĂ©es sur le fait quâun voyage, câest polluant surtout quand on est de plus en plus nombreux sur la terre.
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