Acсumulé aux livres étonnés du pressoir du temps.. - Littérature & poésie

Acсumulé aux livres étonnés du pressoir du temps qui vire,
Il reste une poussière ensablée, or et noir, enseveli
Amalgame de courbes et de droites éblouies, qui ont lui
Aux traits des écrivains qui visaient l'étoile au feu de leur mire :

Le son qui raisonne et le sens résonnant bien fut leur empire :
Entrelaçant les mots, ils disaient leur faiblesses, leur parti ;
Les mots dilacérés, ils cherchait ce néant, au cœur inscrit,
Et par-delà l'absence, allée se densifiant, trouvaient le rire

Ombrageux des vertus, des vérités utiles à tout hasard ;
Occupé de trop-pleins et de mots sans tгоuées, dans l'impossible
Et quotidienne sphère où retentit mon vide, être impassible,

Aurai-je une tenue, à me constituer sоumіs au dard
D'encre et de papier, de ces mots d'autrefois, honnêtes et droits,
De ces mots invaincus, constants, se redressant envers le froid ?


Climax69007, le Samedi 2 Mars, à 18h49

Tiens s'pas bête, moi aussi dorénavant je vais mettre la date et l'heure de mon post

Merde on est quel jour .. ah !!

Samedi 02 Mars 19h02 ah bah non, 19h03

La seule utilité de mettre une date exacte, à la minute près, est de mesurer le temps passé à un texte, en l'occurrence un peu plus de deux heures.

Ce qui, serait-ce raté, donnera cependant la mesure de l'effort consacré.
Non pour en imposer, mais pour me souvenir qu'écrire exige d'écarter bien des obstacles, et que cela prend du temps.

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Mis à part les remarques annexes et périphériques du susnommé, dont l'intervention est égale à zéro du point de vue de la critique de texte, comme il est de coutume ce texte est sоumіs à votre appréciation argumentée ou à votre désapprobation circonstanciée.

Merci pour vos remarques.

Mon dieu comment vous faites trop genre quoi moi ça me fait rire

Mais peut-être espéré-je de votre part, dès lors que vous vous manifestez, un EFFORT DE PENSÉE ?

Est-ce trop demander ? Il semblerait pour vous qui déposez vos non-commentaires.

---- Enfin, je vous laisse satisfait d'être le non-commentateur, le non-lecteur, le non-appréciateur, le non-contributeur, que vous êtes, satisfait de son lest de néant, dissimulé sous l'ironie et l'amusement.

Je n'aurais qu'une non-chose à ajouter : « vanité des vanités, tout n'est que vanité et poursuite du vent » L'ecclésiaste

Je n'aurais qu'une non-chose à ajouter : « vanité des vanités, tout n'est que vanité et poursuite du vent » L'ecclésiaste

Je connais bien cette citation, et ce texte.
Je n'adhère pas à sa morale dénigrant l'humain.

Avant que nous soyons de la poussière, il nous appartient de vivre nos vies, et de ne pas être rien, avant que la mort ne nous y réduise ; ainsi serait-il utile, fécond, jouissif, dans la mesure des capacités de chacun, et selon des рlаіsігs à poursuivre, qu'il y ait une vie avant la mort qui nous cerne de toutes parts, et ne nous concerne que trop.

- Pas plus que je n’adhère à la vision de Sirius qui réduit les humains à des points minusсules habitant une planète minusсule orbitant autour d'une étoile minable dans une galaxie infinitésimale, pas plus que je n'adhère à la vision d'une humanité qui - au nom de notre mort future - devrait se mortifier, et ramener l'appréciation de ses actes à une modestie plus que coupable, parce que paralysante et démobilisatrice, je ne prônerai aucune de ces morales inhumaines destinée à l’abaissement de l'humanité, et de tout être humain en particulier.

Comme tout un chacun, j'ai besoin de reconnaissance : en l'occurrence, que l'on dise quelque chose de mon texte ; c'est le minimum que l'on puisse attendre sur un forum ; sinon, que faisons-nous là, ensemble ?

Carpe diem : le reste C de la b r a n l e t t e intello

Comme d'hab je n'ai rien compris. Pas grave. Je retourne à "L'unique trait de pinceau"

Merci Climax pour cet hommage intemporel à tous nos poètes disparus amoureux du verbe, des mots....
se musant d'eux-mêmes comme de leurs premières muses.

Ne pouvant juger de la forme, j'en apprécie néanmoins le style qui t'est propre et la substance...