La voix de l’aimé viendra toujours habiter la voix
que chacun porte pour soi, et y trouver un sursis
après son extinction ; le Fado ci-dessus évoque
discrètement cette tгапssubstantiation amoureuse.
Par une vieille dame plus que nonagénaire,
Celeste Rodrigues, la soeur d'Amália Rodrigues.