Benalla, la responsabilité du mouvement ouvrier, 3 (page 2) - Politique & Droits des homosexuels

Non, mais le Parti des Travailleurs, oui!

En réponse au message de tony_truand :

Non, mais le Parti des Travailleurs, oui!

Devenu Parti Ouvrier Indépendant ! Effectivement !




J'espère que le POI prendra position ! Et rapidement !

Ces unes sont tristement alléchantes x

En réponse au message de tony_truand :

Ces unes sont tristement alléchantes x

Je dois concéder, car c'est aussi mon sentiment іпtіmе, que les premières pages d'"Informations Ouvrières", pour faire une synthèse de l'actualité sociale, ne donnent pas dans la facile diatribe, dans le mot d'ordre gratuit, dans l'ironie permettant le détachement mais qu'elles visent juste, donc sont tristement justes.

Quoi de plus parlant que "Faire plus pour ceux qui ont moins" panonceau juste devant E. Macron au pupitre, cela mis en regard des quarante milliards donnés au patronat capitaliste ?

Quoi de plus parlant que ces premières pages de divers journaux discutant s'il y aurait crise de l’État et dans l’État, ou affaire d’État, alors que nous lisons, rien que pour "Libération" "L’État tétanisé", et pour un autre quotidien "Macron sans protection" ?
Il y a donc crise et déliquescence de la Cinquième république, et c'est pour cela que le Parquet aux ordres met en examen un couple, de manière abusive.


La vraie voie de la libération est de dire aux travailleurs salariés la réalité de leur situation, sans fard : telle est, depuis K. Marx, un des responsables de la Première Internationale, la certitude première !

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Bien, le sujet est le jeune couple mis en examen

parce que ne plaisant pas à Sa Majesté Macron Premier.

VIVE L'EMPEREUR VIVE NAPOLÉON ET SES SUJETS

En réponse au message de alexandre95 :

VIVE L'EMPEREUR VIVE NAPOLÉON ET SES SUJETS

Soit, c'est une position politique mais aussi existentielle : en effet, un individu peut se trouver bien, harmonieux, protégé par l'arbitraire du pouvoir bonapartiste (je rappelle que le "bonapartisme" est une catégorie servant à analyser les types de régimes politiques) ; bien au сhаuԁ dans la SERVITUDE VOLONTAIRE.

La définition du bonapartisme est la remise du pouvoir par la classe possédante, capitaliste (et par les amis de l'Ordre), à un aventurier, se détachant de ses mаîtгеs, en préservant les intérêts essentiels, par les moyens les plus brutaux (décrets-lois, réduction du parlementarisme, pouvoir personnel arbitraire), les plus méprisants (là, M. Macron est un champion hors-catégorie) et par une intense activité de remodelage du "roman national".

Le bonapartisme, c'est aussi, comme on peut le voir avec la mise en examen, éhonté, sans vergogne, sans justification légale admissible des cognés, frappés, brutalisés par la police régulière et parallèle, l’appareil judiciaire mis au service du pouvoir dit "exécutif" qui a la prétention d'absorber et de mécaniser l’État tout entier à son profit exclusif !

Je ne puis que conseiller cette lecture salubre à cet acclamateur volontairement servile :





Voici le texte téléchargeable, en son intégralité :


https://fr.wikisource.org/wiki/Discours_de_la_servitude_volontaire/%C3%89dition_1922/Texte_entier


Le titre alternatif de cet ouvrage par Étienne de La Boëtie, par l'ami de Montaigne qui nous l'a transmis dans ses œuvres, est :

De la servitude volontaire

ou

LE CONTRE UN


Ce que ce texte, tardivement édité par Montaigne car contraire à son esprit d'ordre, a inspiré de réflexions et de rééditions multiples (cette note présente l'avantage de suivre l'histoire tortueuse des éditions et de nommer la lignée contradictoire des commentateurs politiques !) :

http://www.leconflit.com/article-30620622.html

Bref : "Ni dieu ni mаîtге, ni César ni tribun",

et, d’apparence exclusivement libertaire, cette formule me paraît

la condition première de tout sain rassemblement politique

асtіf, vivant, agissant contre les Macron & Cie & Limited !

Mais, aussi, cette formule me paraît le fondement nécessaire

à toute société authentiquement démocratique !

En somme, des policiers chargent la terrasse d'un bistrot.

Vous jetez ce que vous avez devant vous sur une table de bistrot.

Face aux policiers et CRS rien moins que protecteurs, car prenant le parti de Macron & Cie & Limited vous jetez quelques cailloux : en somme, vous n'êtes pas tout à fait un mouton consentant à l'égorgement, tel l'agneau sacrifié par Abraham ou le Christ, qui paraît-il est "Agnus Mundi" (celui qui, par la violence subie, rachète le "péché originel" et les péchés individuels).

Non, vous avez des réactions proportionnées à la violence qui se pare des oripeaux vertueux de la légalité (légalité qui, ici, est l'intimidation à l'égard des manifestants).

Un nervi de Macron vous interpelle en usurpant une fonction policière.

Et ce que se dit, finalement, ce jeune couple (j'estime cette conclusion grave), c'est qu'il aurait dû rentrer chez lui au vu des gens brutalisés par des flics avérés ou parallèles !



Ainsi, le Bonaparte Macron et sa police personnelle

ou celle d’État insinuent la crainte d'être dans les rues ;

rappelons à ce propos la non-intervention

des "forces de l'ordre" contre les casseurs

pour que les manifestations soient discréditées,

là aussi il fallait inspirer la crainte aux opposants

de Macron & Cie, et les dissuader d'être dans les rues !.


Voilà où l'on en est !



Le site d'"Ouest-France", journal d'un conformisme époustouflant & couvrant la Bretagne et bien au-delà, vers l'intérieur et les littoraux de l'Hexagone, nous informe, en ligne.



https://www.ouest-france.fr/politique/affaire-benalla/affaire-benalla-le-couple-de-la-contrescarpe-en-garde-vue-pour-violences-contre-des-policiers-5997587
(Quand je mets ceci en ligne, sur Ton Gay, la dernière modification de l'article d'"Oust France" remonte au 3 octobre 2018).

En réponse au message de lessismore :

A partir de quatre minutes et cinquante secondes, merci Lessismore pour cette vidéo, il est question avec détails (avec des arguments fondés, vérifiés) de la petite frappe Alexandre Benalla, mais aussi d'un Macron fourguant son image à une journaliste à laquelle il accorde l'exclusivité de l'usage de son image publique et le contrôle de celle-ci (il voit cette journaliste chaque jeudi !)



Quand on vous dit que c'est du bonapartisme, il s'agit bien de cela !



Monsieur Macron adore les petites frappes, qui sont ses plus sûrs soutiens (les atomes décomposés de sa société sans statuts collectifs définissant les situations professionnelles, cette société qu'il s'emploie avec frénésie à imposer sur les ruines du droit social collectif).
Comme Louis-Napoléon Bonaparte, Napoléon III, il a sa société du Deux Décembre (date du coup d’État contre la république le deux décembre 1852), sa société d'hommes de main, d'affidés ayant des prébendes, sa compagnie de députés décervelés aux ordres (le plus sûr moyen de maintenir son pouvoir de chef étant que LRM ne soit pas un parti structuré et démocratique où il y aurait une réflexion collective) !



Monsieur Macron est banquier : un président apparaît en public ; eh bien, Monsieur Macron fait de son image une image privée, et commerce avec cela, il n'y a pas de petits profits : oh, sans doute ne reçoit-il aucun argent mais ce dispositif permet de contrôler les médias et de les domestiquer !



Monsieur Macron est un gestionnaire en tout ! Dans les coups portés par ses petites frappes et partout. "Jupitérien" disent les flatteurs !