Ikki, la question n'est pas de ce qu'on lui fait dire, mais du fait qu'il le dise.
C'est tout. Et c'est son droit, et la moindre des choses est qu'on l'écoute et non qu'on le censure;
c'est un sujet grave et ce n'est pas en censurant qu'on arrange la situation.
Et deuxio, censurer c'est lui faire dire une chose.
"taies toi". voilà. L'argument de l'instrumentalisation ne tient pas. Là on l'instrumentalise aussi, d'une certaine façon.