En réponse au message de newaix :
Ceux qui sont sous terre n'ont pas la possibilité de "sortir" , pour eux c'est la perpétuité jusqu'à la fin des temps !!
Ils ou elles n'ont pas de seconde chance.
"Bordel dans les prisons"?! Euh un meurtrier qui tomberait sous le coup de la peine capitale n'aurait pas l'occasion de "foutre le bordel" très longtemps.
On est dans une société où on se préoccupe plus des assassins que de leurs victimes. On ne peut avoir de scrupules envers un être qui a ôté le vie à un autre être humain. Parler d'humanité, quand ces gens n'ont justement eu pas la "moindre humanité" envers leurs victimes, qu'ils ont tué... c'est très tristement risible...
N'étant pas croyant (Je refuse d'imposer mon incroyance) , je considère que les morts ne ressentent plus rien.
Je pense que la mort est la fin de la conscience et qu'elle ne survit pas.
Pour moi , la mort est un néant sans néant.
Pour que le néant existe , il faut quelque chose mais la mort est à mes yeux l'absence de tout.
Il est absurde de parler d'absence vu que c'est un état où la notion d'existence ou de non existence n'a pas lieu d'être.
Pour moi , une personne décédée*1 a le même état de conscience qu'un objet inanimé telle une pierre.
Donc , il me semble préférable de parler des personnes ayant connus le défuпt qui sont encore en vie.
Ce n'est pas pour rien que le cadavre a un statut légal et social qui est spécial.
Ce sont moralement des victimes du meurtre à mes yeux.
Parler de perpétuité réelle pour un corps me semble donc absurde vu qu'il ne subit plus rien.
Quand tu parles de fin des temps. Tu fais référence en la croyance en la résurrection ?
*1 Expression contradictoire vu que pour être une personne au niveau légal , il faut être légalement vivant.
On peut par exemple être mort biologiquement mais vivant légalement.
Par exemple , si on meurt seul chez sois et que le décès ne fut pas encore légalement constaté.