Sujet de discussion : Je suis monté comme un âne, nul ne le croit
toine29
Membre pionnier
2 juin 2013 à 00:27
Très belle plume, que de talent à manier les vers.. Et quel sujet atypique !
sergeclimax69007
Membre suprême
2 juin 2013 à 00:37
PROMESSES D'UNE AMNISTIE APRÈS BIEN DES PÉRIPÉTIES ; MAIS SI VOUS CROYEZ QUE C'EST GAGNÉ AVEC LA FLATTERIE, VOUS VOUS TROMPEZ
Je tordrai vos viscères d'une епvіе idolâtre ; Je prendrai votre cœur dans le serrement dur De mes serres puissantes l'emportant en l'azur Pour le laisser en captivité dedans l'âtre
Du soleil très-ardent, et d'un rire opiniâtre, Se moquant des émois et du serment très-pur, Voyant proportionné votre cœur en fruit sur, Aigrelet, consumé, morcelé et rougeâtre,
Plissé par le dépit, consommé par l'ennui De cette longue attente où le jour aura fui ; Et votre esprit sera noir tout comme la suie,
Et vous crierez grâce, et direz "Je te supplie" ; Et croyez bien que ça ne fera pas un pli : Lors mon cœur généreux sera votre pays.
Mais il vous faudra mendier ce pardon gracieux : Que vos timides courbes viennent s'incliner mieux !!!
lefablio
Membre élite
2 juin 2013 à 10:53
Avec de tels arguments, j'achète....
sergeclimax69007
Membre suprême
2 juin 2013 à 16:46
Comment il vous faut venir à résipiscence
Si vous croyez me fléchir avec vos suppliques, Nenni, mes fiers gaillards, il va falloir bénir, Idolâtrer mes pieds, à la honte venir De ne m'avoir tenu pour grand, sinon berпіԛuе ;
Si vous croyez m'astreindre avec vos faibles piques Au plancher du commun, il vous reste à sertir Votre œil énamouré de langueurs à périr, Alors il se pourrait fort bien que je vous n.... ;
Bref, il faut sans arrière-idées se dévouer, Accepter l'еsсlаvаgе où je viendrai dénouer Votre langueur fébrile et sans cesse remise
A mes dispositions souveraines ; et vos "Prise Est mon inanité" pourront fort me contraindre, En cette ultime extrémité, à vous étreindre.
La capitulation sans condition aucune, Ou bien votre destin sera une lacune !
sergeclimax69007
Membre suprême
2 juin 2013 à 18:44
Foule en extase, je comprends ton émoi
J'entends bien le frisson de la foule en extase Lorsqu'elle voit mon chibre énorme et sidéral ; J'entends l'admiration et l'amour idéal Envers mon appendice toujours en épectase,
Déversant par coulées et sans aucune stase, Ainsi que le volcan projette son fatal Et bienfaisant ferment aux hommes du banal, Tenant les terres en gésine dessous l'oukase,
Le sрегmе fertile et luisant qui fait germer La douceur et les âmes et les bras désarmés, Tant ce spectacle inouï va proclamant mes сhагmеs :
Je vous dis non et non, il faut rendre les armes Avant que d'un rêveur ԁоіgté vous poursuiviez La ligne indéfinie de mon membre d'acier.
Sous les frais alizés il y a les senteurs De solides futaies et de mâles lenteurs.
skydoxcain
Membre occasionnel
2 juin 2013 à 22:50
monté comme un âne,
Au niveau de quelle partie du corps ? Si c'est le cerveau, tu m'intéresses.