Ah, mon Québécois mignon (рutаіп, les mecs, vous avez des гопԁеllеs de saucisson à la place des yeux, regardez attentivement la plastique de ce mâle sеху, ensuite, assommez, enlevez, chloroformez, faites-lui subir les derniers outrages, il le mérite







),
Joan Baez a toujours trouvé à chanter dans de multiples langues, à l'unisson des peuples des textes à la fois de circonstance et poétiques ; c'est très rare, Denis, matou joli, d'allier ainsi une voix inégalable et des causes telles que l'anti-impérialisme, l'internationalisme, l'intérêt réel pour les peuples, un pacifisme pas niais.
Et même une chanson comme "Forever young" est une merveille, et dépasse de loin la morale prêcheuse et normative.
Ah, que tu es américain, tiens, beau poulet ; c'est Joan Baez qui est formidable, moi je ne fais que répéter ici mes motifs d'émotion quand j'écoute Joan Baez.
C'est la seule chanteuse qui suscite en moi une émotion aussi intense, avant la mythique Amália Rodrigues, avant la subtile Barbara, avant l'espagnol Buika, avant la fadiste magnifique Mafalda Arnauth, c'est dire !