Pour revenir au respect, les commentaires bien agressifs de valmont (modo en plus, un comble) et de jiminy qui me disent en gros "tg" me confirment ce que je pensais depuis longtemps.
Et pour revenir aux messages où je "raconte ma vie", ça fait déjà un moment que je n'ouvre même plus de topics et que je lis à peine ce qui s'écrit, c'est dire à quel point ça m'intéresse
bref sur ce, bonne journée ........
Gregou, il est des manières de procéder, qui sont les tiennes, qui flirtent avec les limites de la charte de ce site.
Quand tu nous montres, et la langue, et tes fеssеs, tu es insultant, mais comme la grossièreté n'est pas dite, tu flirtes habilement avec les limites de la charte, et tu passes au travers.
Ta deuxième phrase est une merveille qui nous montre ce processus qui s'appelle, en psychologie, "la projection" : je suis, je ressens cela, je le porte en moi, mais je m'en sépare, je fais un clivage, et je l'attribue à un autre ou à des autres, reconnaissant en eux ce qui m'appartient à moi, mais qu'avec désagrément je reconnaîtrais en moi, alors je persiste dans la projection, et ces autres deviennent tels que je les ai modelés en moi. Voilà comment se passe la "projection", en gros.
Je n'ai pas lu tes topiques où, sans embages, tu décrivais, apparemment cruellement, ce que tu as subi et qui t'a marqué, une сігсопсіsion (qui, soit dit en passant, est une opération bénigne, que subissent des millions de garçons).
Je présume que tu voulais communiquer combien tu te sentais atteint dans ton sentiment de virilité, mais que tu n'y es pas arrivé. Tu en es resté au niveau de la cruauté, distillant le caractère chirurgical en détail pour frigorifier tes lecteurs et leur infliger ce que toi tu ressens, si bien que tu n'auras pas été aidé - en quoi que ce soit - concernant ton sentiment de virilité blessée.
Par le topique où je raconte l'anorexie de mon compagnon Simon, et où je donne - oui - des détails sur notre vie commune, mon but est de poursuivre pourquoi et comment il est mort d'anorexie : ce topique-là a pour but principal d'exprimer que l'on meurt de cette anorexie, qui passe trop souvent inaperçue, que l'on nie, que l'on dénie, devant laquelle on s'aveugle (et je me suis aveuglé).
Mon but n'est pas d'étaler ma vie, mais de faire du chagrin que cette mort m'inspire, un sujet qui serait utile à d'autres. Utiles à d'autres, AUSSI. Éventuellement.
Ta réaction est une triste "merveille" :
tu avoues ton indifférence à ce qui se passe
d'humain ici ; quand quelqu'un met son intimité
à contribution, ce n'est certes pas pour l'exposer
en vain, mais pour obtenir des réponses qu'il
ou elle est incapable de trouver seul(e).