Merci, Jiminy !!!
Je confirme.
Une étrange émotion.
Une voix qui vient m'habiter.
Une voix où me reposer.
La sensation que le temps se distend.
Les sons de l'orchestre deviennent annexes (et pourtant la musique orchestrale de Weber est très belle).
Une voix d'un grand accomplissement.
Une diction parfaite.
Pas de fioritures ou de roucoulades parasites.
Une ligne vocale où s'exprime une extrême pureté.
Oui, Gundula Janowitz me fait découvrir je ne sais quel pays intérieur, où il fait bon,vivre.
Cette sensation-là est d'abord charnelle, c'est une ouverture intérieure et un flottement, comme une autre dimension du temps plus sereine et pleine.