Merci pour cet aria, BWV 1068, et merci pour le explications sur les étrangetés de ce BWV, il s'agit donc du Bach-Werke-Verzeichnis.
Même si pour le premier enregistrement l'on peut regretter - mais c'est volontaire, pour montrer le jeu de l'organiste - que l'on entende les glissements des pieds sur les pédales de registre, il demeure un air d'une grande plénitude.
Étrange combien un simple air de Jean-Sébastien Bach prend et s'insinue en nous en si peu de temps. C'est incontestablement du grand art.
Je mets le lien dans mon dossier "Musique" !
