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L'escalier mystérieux ! - Religions & croyances diverses

Sujet de discussion : L'escalier mystérieux !
  • 50_nuances_de_bi Membre suprême
    50_nuances_de_bi
    • 27 octobre 2014 à 22:57
    escalier-chapelle-loretto2.jpg

    .https://www.google.fr/search?ԛ=escalier+santa+fe&biw=1366&bih=634&tЬm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ei=Vb5OVIbKB4_taJnmgig&sqi=2&ved=0CCAQsAQ


    Ville de Santa Fé, New Mexico, USA. Un mystère qui dure depuis 130 ans et qui y attire plus de 250,000 visiteurs chaque année. La Chapelle Loretto.

    Ce qui différencie cette chapelle de toutes les autres, c’est la légende qui veut qu’un miracle y soit survenu lors de la construction de l’escalier qui mène au jubé.

    Cette chapelle fut construite à une date non précisée du 19e siècle. Quand elle fut terminée, les soeurs ont réalisé qu’on avait omis de construire l’escalier pour se rendre au jubé. Elles ont débuté une neuvaine à St-Joseph, le patron des charpentiers. La dernière journée de leur prière, un étranger vint frapper à leur porte. Il se présenta comme étant un charpentier et leur offrit de construire l’escalier manquant.

    Il construisit l’escalier, tout seul, ce qui déjà, est considéré comme un défi majeur pour un charpentier. Personne ne comprend comment l’escalier peut tenir en place sans avoir un poteau de support central. Le charpentier, n’a utilisé aucun clou ni colle dans la construction et il est mystérieusement disparu sans se faire payer à la fin de son travail.

    Depuis ce temps une rumeur circule à Santa-Fé à l’effet que le mystérieux charpentier, serait St-Joseph lui-même ... envoyé par Jésus-Christ pour solutionner le problème des soeurs. Depuis, cet escalier est appelé “miraculeux” et la chapelle est devenue un site de pélérinage.

    Il y a trois mystères dans cette histoire selon le porte-parole de la chapelle.

    Le premier c’est, qu’à ce jour, l’identité de ce charpentier demeure toujours inconnue.

    Le second : tous les architectes, ingénieurs et scientifiques ne comprennent pas comment cet escalier peut s’équilibrer et tenir sans support central.

    Et le troisième : d’où provient le bois qui a servi à sa construction ? Après de nombreuses vérifications, ils ont découvert que l’essence et le type de bois utilisé dans la construction n’existe tout simplement pas dans la région.

    Et il y a un autre détail qui ajoute à la théorie du miracle : l’escalier a trente-trois marches , l’âge qu’avait le Christ à sa mort
  • metal Membre émérite
    metal
    • 27 octobre 2014 à 23:09
    Bonsoir Superbi, chaque chapelle à besoin de ses miracles.

    Mais chaque miracle peut peut être avoir un début d'explication
    MEV-2011-92-15.jpg

    MEV-2011-92-18.jpg

    Ceci dit celui que tu montres est splendide d'élégance
  • 50_nuances_de_bi Membre suprême
    50_nuances_de_bi
    • 27 octobre 2014 à 23:18
    Bewild : l'escalier que tu montres est solidement attaché au plafond et pas l'autre il me semble, même si je suis pas un spécialiste.
  • metal Membre émérite
    metal
    • 27 octobre 2014 à 23:22
    Explications du mystère, désolé pour les miracles, Alleluia !

    À la fin des années 1990, Mary Jean Straw Cook, auteur de Loretto: The Sisters and Their Santa Fe Chapel (2002, Museum of New Mexico Press) aurait retrouvé l'identité du constructeur de l'escalier. Il s'agirait de François-Jean Rochas, un Français expert dans le travail du bois qui aurait vécu dans la région de Santa Fe. En plus de découvrir des indices qui liaient Rochas à un entrepreneur français œuvrant dans cette région, Cook a découvert une notice nécrologique de 1895 dans le journal The New Mexican qui nommait explicitement Rochas comme le constructeur de l'escalier de la chapelle. Selon Cook, Rochas avait 27 ans en 1878 au moment où l'escalier fut construit. Pourtant, les sœurs ont affirmé avoir rencontré un homme âgé.

    Une étude de 2007 explique que l'escalier1 est probablement non sécurisé par sa forme hélicoïdale qui le fait osciller comme un grand ressort. Cependant, même si plusieurs escaliers en colimaçon n'ont recours à aucun pilier central, cet escalier contiendrait un support central caché constitué d'une pièce en bois tourné possédant un petit rayon de courbure. De plus, l'ouvrage prendrait appui sur l'un des piliers qui retient le triforium. Il serait construit en bois d'épicéa.
  • 50_nuances_de_bi Membre suprême
    50_nuances_de_bi
    • 27 octobre 2014 à 23:25
    Tout ce que tu dit est au conditionnel : pas de certitudes !
  • metal Membre émérite
    metal
    • 27 octobre 2014 à 23:28
    Tu parles comme dans tous systèmes sectaires ou religieux avec un sophisme empêchant toute critique, genre prouve le..tatata
    Регvегs va )
    evol8.jpg
    le noyau est remplacé par la courbe, genre noyau réduit à la hauteur du limon, le fil du bois et les joints restant d'aplomb. Cette technique est surtout pratiquée dans les régions où la rampe est confiée à un ferronnier d'art.

    Dès la fin du XVIIIe siècle, la courbe à fil du bois vertical est remplacée par une courbe rampante avec joint biais, parfois avec repos appelé joint à crochet. Sur ces escaliers, une rampe en fer forgé était fixée sur le limon souvent mouluré.

    evol9.jpg
  • 50_nuances_de_bi Membre suprême
    50_nuances_de_bi
    • 27 octobre 2014 à 23:52
    Qui a fait ces croquis ?
  • blaxnlion Membre pionnier
    blaxnlion
    • 27 octobre 2014 à 23:53
    Il y a des gens vraiment naïfs au point de croire qu'un personnage couché sur le papier serait sorti de la Bible pour construire un escalier... A les entendre, bientôt on va dire que c'est le Diable qui pilotait les avions du World Trade Center.
  • 50_nuances_de_bi Membre suprême
    50_nuances_de_bi
    • 27 octobre 2014 à 23:59
    Donc tout ces spécialistes, architectes, menuisiers et autres se trompent ?
  • fairytail Membre habitué
    fairytail
    • 28 octobre 2014 à 00:55
    Joli escalier

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