La Commune Jean Ferrat (page 2)

De ou sur la Commune de Paris, quelques livres.


Et d'abord, ceci, car tous, tous les écrivains français ont hurlé à la haine contre la Commune de Paris. Tous, sauf Vallès, Rimbaud et Verlaine.





Les écrivains français auront reflété la grande tгоuille des possédants.


Comment l'image de la Commune de Paris est et demeure un enjeu politique et idéologique fort, sujet à des remaniements, à des occultations, à des distorsions, à des mensonges, et à des exaltations, et à des célébrations (rappelons que des partis politiques et des syndicats, chaque année, vont au cimetière du Père Lachaise, devant le Mur des Fusillés).





De Jules Vallès, "L'insurgé".


La dédicace de Jule Vallès, qui ouvre ce livre : "Aux morts de 1871, à tous ceux qui, victimes de l'injustice sociale, prirent les armes contre un monde mal fait et formèrent, sous le drapeau de la Commune, la grande fédération des douleurs, je dédie ce livre. Jules Vallès."





Publiés d'abord par Charles Péguy, dans "Les cahiers de la Quinzaine", les souvenirs, vifs et très engagés, d'un participant à la Commune de Paris, Maxime Vuillaume.






Enfin l’œuvre de Marx sur la Commune de Paris.

C'est marrant comme le peuple français aime mettre en chanson l'histoire de ses défaites.
C'est sans doute pour ça qu'on dit que le coq chante les pieds dans la merde...