Le cerveau a du bide

Selon une enquête scientifique, il semblerait que notre cerveau ne soit pas le seul mаîtге à bord de notre corps. En effet, il a été découvert que notre ventre est rempli de neurones qui tгапsmettent diverses informations au cerveau.

Il y a quelques années, les scientifiques ont découvert en nous l’existence de ce deuxième cerveau. Notre ventre contient en effet deux cent millions de neurones qui veillent à notre digestion et échangent des informations avec notre cerveau.

A peine ont-ils commencé à analyser cette communication entre le ventre et le cerveau que les chercheurs se sont aperçus par exemple que notre cerveau entérique, celui du ventre, produisait 95 % de la sérotonine, un neurotгапsmetteur qui participe à la gestion de nos émotions. Il avait déjà été établi que ce que l’on ressentait pouvait agir sur notre système digestif, il a été découvert que l’inverse est vrai aussi : notre ventre joue avec nos émotions. De même ces neurones seraient le point de départ de certaines maladies touchant le cerveau (comme Parkinson).

Plus étonnant encore, notre deuxième cerveau abrite une colonie spectaculaire de cent mille milliards de bactéries dont l’activité influence notre personnalité et nos choix, nous rend timides ou, au contraire, téméraires.

Du coup je comprends mieux quand on parle de "peur au ventre", "ventre affamé n'a point d'oreilles" ou encore "penser avec son ventre". .
Et je comprends aussi ceux qui dans leur annonce indiquent préférer parler à des profils ayant le cerveau en haut plutôt qu'en bas. On s'adresse pas à la même intelligence.

Toi tu as regardé arte ^^

Sinon en effet certaines cultures placent le siège des émotions au niveau du ventre et non du cœur... comme en Polynésie par exemple.

Par contre, "Je t'aime de tout mon ventre" ça fait tout de suite moins romantique ;)

Par contre, "Je t'aime de tout mon ventre" ça fait tout de suite moins romantique ;)

Sauf dans les tribus cannibales !

Effectivement. Là ça devient bien une affaire de culture ou de psychanalyse d'ailleurs. Comme ces meurtres par рlаіsігs sехuеls.
Mais bon. Mon propos n'était pas sur l'acquisition des vertus du partenaire par absorption de ses organes.

Que dire des obèses qui se font retirer une (grande) partie de leur estomac ?