Le portable (page 4)

En réponse au message de sim.s-heart :

C'pas un crime que je sache ?

Bah non.

En réponse au message de 20-100 :

Prends un livre.

Ça prend trop de place !

En réponse au message de 20-100 :

Bah non.

En réponse au message de gill92 :

Ça prend trop de place !

non pas forcément lol

En réponse au message de gill92 :

Ça prend trop de place !

Et ta connerie ?

En réponse au message de 20-100 :

Et ta connerie ?

Je l'utilise pas mal depuis plusieurs mois mais je peux m'en passer plusieurs jours sans soucis.

C'est devenu plus pratique que d'allumer l'ordinateur pour chercher quelques informations ^^

Le plus difficile sera tout de même la musique, j'en écoute matin et soir sur le trajet boulot/maison.

En réponse au message de 20-100 :

Vas-y

J’ai un rapport particulier à la lecture, je suis un lecteur obsessionnel.

Les livres m’ont peut-être sauvé la vie… Gamin, pour des raisons familiales sur lesquelles je ne m’étendrai pas, les livres sont venus à ma rencontre.

Dans ma chambre se trouvait une immense armoire à glace. A la base de celle-ci, se trouvait un tiroir que je n’avais jamais eu la curiosité de visiter. Un jour, donc, je l’ai exploré : j’avais 10 ans… Il était rempli de vieux bouquins laissés là par mon grand-père maternel qui avait cédé la maison à ma mère. Je me suis tout d’abord enivré de l’odeur de vieux papier, puis de la lecture des tous premiers bouquins que j’ai lu dont beaucoup de classiques : Maupassant, Zevaco, Dumas père et fils, Eugène Sue, Flaubert, Zola, Hugo… etc… et quelques pièces de théâtre parmi lesquelles quelques œuvres de Molière. J’ai 63 ans… A l’époque de ces découvertes, la télévision tenait peu de place chez nous. La lecture des 3 mousquetaires, des aventures des Pardaillan, des Bovary ou Rogon-Macquart, les grandes fresques comme Germinal, les engagements d’Hugo comme son «Dernier Jour d’un Condamné à Mort»… étaient autant d’évasions merveilleuses et salvatrices pour m’aider à affronter une situation personnelle désastreuse. Ce tiroir, c’était un peu mon Netflix ?

Mais pourquoi ai-je toujours deux livres avec moi ? N’est-ce qu’une habitude bizarroïde ? Possible.

Je sais ce qu’est écrire pour m’être livré au difficile exercice de la page blanche. J’ai donc un respect inconditionnel pour les auteurs, je mets un point d’honneur à achever la lecture d’une oeuvre. Parmi mes lectures envisagées, donc mes achats (en librairie !!!!!!!), je peux fixer mon choix sur un livre qui ne va pas me happer, me transporter, me séduire vraiment… du coup, j’alterne avec un second livre avant d’y revenir. Voila… Tu sais tout.

j'en ai deux !

En réponse au message de zenith75 :

J’ai un rapport particulier à la lecture, je suis un lecteur obsessionnel.

Les livres m’ont peut-être sauvé la vie… Gamin, pour des raisons familiales sur lesquelles je ne m’étendrai pas, les livres sont venus à ma rencontre.

Dans ma chambre se trouvait une immense armoire à glace. A la base de celle-ci, se trouvait un tiroir que je n’avais jamais eu la curiosité de visiter. Un jour, donc, je l’ai exploré : j’avais 10 ans… Il était rempli de vieux bouquins laissés là par mon grand-père maternel qui avait cédé la maison à ma mère. Je me suis tout d’abord enivré de l’odeur de vieux papier, puis de la lecture des tous premiers bouquins que j’ai lu dont beaucoup de classiques : Maupassant, Zevaco, Dumas père et fils, Eugène Sue, Flaubert, Zola, Hugo… etc… et quelques pièces de théâtre parmi lesquelles quelques œuvres de Molière. J’ai 63 ans… A l’époque de ces découvertes, la télévision tenait peu de place chez nous. La lecture des 3 mousquetaires, des aventures des Pardaillan, des Bovary ou Rogon-Macquart, les grandes fresques comme Germinal, les engagements d’Hugo comme son «Dernier Jour d’un Condamné à Mort»… étaient autant d’évasions merveilleuses et salvatrices pour m’aider à affronter une situation personnelle désastreuse. Ce tiroir, c’était un peu mon Netflix ?

Mais pourquoi ai-je toujours deux livres avec moi ? N’est-ce qu’une habitude bizarroïde ? Possible.

Je sais ce qu’est écrire pour m’être livré au difficile exercice de la page blanche. J’ai donc un respect inconditionnel pour les auteurs, je mets un point d’honneur à achever la lecture d’une oeuvre. Parmi mes lectures envisagées, donc mes achats (en librairie !!!!!!!), je peux fixer mon choix sur un livre qui ne va pas me happer, me transporter, me séduire vraiment… du coup, j’alterne avec un second livre avant d’y revenir. Voila… Tu sais tout.

Belle histoire de lecteur