L'arrêt des fеssеs; stop au combien heureux entre deux protubérances somme toute anodines.
L'œil s'y arrête alors qu'il n'y a presque rien à y voir.
Tout est dans le non vu; on sait d'avance ce que l'on va y trouver.
C'est aussi une partie de notre corps que les autres voient mieux que nous.
Ils l'observent, l'évaluent; alors que leur propriétaire s'assoit dessus.
Il faut une mycose ou un autre dérangement pour justifier notre contorsion qui va jauger l'étendu des dégâts.
Bref, ce serait un micro-sillon s'il n'y avait la musique du sехе.
C'est alors que le lieu d'aisances se pare d'un attrait nouveau; que la fosse septique devient sympatrique.
On se prend au jeu de la présenter sous son meilleur jour; on soigne sa posture.
On la rend lisse comme celle d'un bébé, à moins de choisir le camp d'une pilosité entretenue.
D'une situation qui la voyait à peine visitée par un peu d'eau savonneuse et quelques feuilles de papier toilette, on passe aux produits de beauté quand ce n'est pas à l'épilation laser.
Ce tгоu du сul devient le centre de notre terre, attendant son Jules Vегgе.
Un voyage au combien subtil, une aventure qui ne découvre jamais le bout du tunnel.
On en a fait des livres mais, sans aucun doute, on a vu souvent des yeux plus usés par la contemplation compulsive de ces bouts de tronc que ceux, blafards, des rats de bibliothèque.
Enfin, il est des raies publiques qui ont bien du mal à tenir debout.
Qu'elles soient censurées par 49 ou par 3, elles vacillent.
C'est un peu normal quand il faut compter uniquement sur des рutеs et…
Mais ce que j'écris est sans fondement et je ne suis qu'un tгоu du сul !