Le topic sur la mooooooooort. (page 2) - Le "Blabla" bar

En réponse au message de polpo :

J'ai failli mourir quand j'avais 6 ans et ça m'a plutôt rendu craintif. Puis anxieux. Puis dépressif. Désolé mais les nde c'est pas toujours la joie...

Tu as fait une éxpérience de mort iminente du coup. J'avais entendu dire que les personnes qui faisaient ce genre d'éxpérience çe sentaient sereines et légères. Apparement comme pour toi. Ce n'est pas le cas pour tout le monde.

En réponse au message de vinsang :

Je vais peut-être répondre à côté...

Je n'ai pas frôlé, mais connu la mort de proches. Et c'est à partir de là que je me suis fixé des objectifs très clairs, des raisons d'exister, qui ont grandement chamboulé ma façon de vivre.

Oui. Elle nous fais prendre conscience que parfois la vie ne peut tenir qu'à un fil. Et qu'il faut en profiter.

En réponse au message de pifou :

après un malaise, en fait ce n'est pas le problème de frôler la mort mais se rendre compte que finalement perdre la vie est rapide et soudain alors pensez y et vivez

Ha ça oui. Clairement.

En réponse au message de stiky :

J'ai failli être emporté par la mer une fois. J'ai eu très peur. Mais j'ai réussi à revenir, malgré la difficulté.

Depuis, je ne m'aventure plus vraiment là où je n'ai pas pieds, je panique au bout de quelques secondes si ça arrive. Néanmoins, ma vision de la vie n'a pas changé.

Par contre, même s'il n'y a pas d'ехрéгіепсе de "mort", en grandissant, et en m'introspectant, tout en voyant également autour de moi, je n'ai plus jamais voulu dire du mal de quelqu'un sans connaître la personne. Beaucoup jugent sans connaître, d'autres suivent le jugement. Je ne le fais plus du tout. Pourquoi ? Avant, je suivais le jugement, ou je jugeais aussi, et quand j'y réfléchis aujourd'hui, je ne me rendais pas compte de certaines choses qui maintenant sont nettement plus claires, des suppositions aussi sur leur vie à l'époque et du pourquoi ils sont ainsi. Qui mérite d'être mis à part ? Si on ne connaît pas, on se tait.

Mais je me suis éloigné du sujet ah ah ah

Ca me rappelle aussi une "éxpérience" que j'ai eu quand je devais avoir entre 5 et 6 ans je pense. De toute ma vie je n'ai jamais vraiment frolé la mort. Mais à ce moment si je pense que c'était le moment ou je m 'en suis le plus rapproché. J'étais allé à l'anniversaire d'un camarade de classe. Dans une maison avec un grand jardin et une piscine. Et comme à cet âge là je n'avais pas là lumiére à tout les étages ( remarque ça n'a pas beaucoup changé entre temps et, même maintenant ce n'est pas mieux ) J'ai sauté en maillot de bain dans la piscine sans penser que je n'avais pas pied. Car je ne savais pas encore nager à cet époque. Du coup je me suis noyé comme un con. Je pense que ça à dû durer 10 second maxi avant qu'un adulte ne plonge pour me repécher. Mais ça m'avait vraiment choqué. J'étais vraiment en mode PTSD dans ma tête. Ce qui m'a finalement le plus choqué c'est qu'après m'être noyé. Comme si ça ne m'avait pas suffit. il n'y avait pas un petit FDP qui décide de me pousser dans l'eau par derriére, histoire que je me renoie une second fois ?

Du coup rebelotte un adulte m'a à nouveau repéché comme un poisson.

En fait je ne comprends pas. Quand Il y a une personne qui a faillit ce noyer. Tu ne va pas le pousser dans l'eau pour qu'il çe renoie une second fois. Je ne sais pas c'est une question de bon sens et d'empathie. A cet â là on est souvent trés impulsife et l'on ne réfléchit pas sur le long térme. Et encore moins aux conséquences de ces actes. Et c'est normal on est tout petit est on à une conscience des choses vachement réduite. C'est lié à l'âge et au cerveau qui est encore bien incomplet et pas tout à fait bien développé. Surtout le lobe frontal qui est la partie du cerveau responsable de la partie consciente de ces actes et de la planification. Qui est la derniére partie à ce développer pleinement dans le processud de maturation du cerveau qui fini de ce développer vers la fin de l'adolescence.

Mais franchement. Du coup je trouve que parfois les enfants ressemblent vraiment à des mini psychopathes. Après peut être qu'il ou elle ( oui car je n'avais pas vue qui m'avait poussé ) n'avait tout simplement pas vue que je m'était noyé. Et j'espère que c'était le cas. Après quand on est pas à la place de là personne qui subit une dituation dificile. Et ben on ne peut parfois tout simplement pas ce mettre à sa place.

En tout cas cette éxpétience ne m'a pas vraiment changé intérieurement. En fait.

Sinon. Honnêtement je pense qu'il devrait y avoir plus de personne comme toi sur cette terre qui éssaient un minimum de comprendre les gens avant de les juger de maniére définitive.

En réponse au message de t_o_r_n_a_d_e :

J'ai pas vécu un événement comme ça encore, mais pas une journée passée ou presque, que je me place face à cette instant, je coure presque les occasions mdr

Ben ouais!! j'ai un style de vie mouvementé et je dois m'y attendre bien sûr un jour ou l'autre

Le future pourra me dire comment je réagirai face à cela

Pour le moment, juste une petite commotion cérébrale en faisant les fous dans des dunes de sable en moto qui m'a fais réfléchir un peu, mais pas plus, j'ai recommencé aussitôt et je ne pense pas frôler la mort en me mаstuгЬапt

Petit casse cou

Tu ne dira peut être pas la même chose si ça t'arrive un jour

Bon après faut pas non plus s'arréter de vivre par peur du moindre risque non plus.

Sinon tien voilà un article sur les commotions cérébrales.

Tu t'y reconnaitra peut être dedan.

https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies/commotions-cerebrales-signes-

symptomes.html

En réponse au message de boumvoyageur :

• C "le Topic de la mort" & puisque tu parles de suicide => j'ai juste епvіе d'aller un peu plus loin que le fait de "frôler la mort" en parlant de "ma philosophie de ma Vie" & ça n'engage que moi donc, mes propos sur "ma fin de Vie" : un choix tout réfléchi en bonne conscience que je partage en public, sans être dans une situation de détresse ou de désarroi... & encore moins d'encouragement au suicide.

=> Je pars du principe que : on ne choisit pas de naître mais on a au moins le choix de mourrir !

& j'y adhère : ça fait des années que je me suis déjà posé la question & je me suis fait l'idée des circonstances possibles pour mettre fin à ma Vie.

Mais, ça ne me pose pas du tout de difficultés d'en parler en public, avec mon entourage : je me sens complètement serein avec cette question existentielle (précision : je ne suis pas croyant en une religion).

Je ne me sens pas triste (peut-être que oui ^^) : pour moi, cette question a une réponse => je la mettrai à exécution en temps voulu.

• Je considère dans ce cas, quand c'est un choix tout réfléchi : comme un droit légitime, individuel où l'intervention des autres, des lois etc... n'ont pas à intervenir dans ce choix => similaire à la sphère privée.

Je me sens proche de Jacqueline Jencquel / "l'interview qui tue" par Hugo Clément :https://www.20minutes.fr/insolite/2326623-20180828-suicide-assiste-74-ans-femme-bonne-sante-fixe-date-mort

Je la trouve tellement claire dans ses idées ; ça se tient tellement ses paroles, son discours... : je m'y retrouve dans sa philosophie de Vie !

Sauf que moi, je ne demanderai à personne de m'aider pour mettre : fin !

Sache que pour ma part. Je raisonne vraiment comme toi aussi. Après c'est vraiment pour des cas éxtrémes et irréversible. Tout Comme Jacsueline je pense que j'éssaierai de mettre fin à mes jours le jour ou je serai abandonné dans un EPHAD. Avec un corps qui est plus une prison et un fardeau à attendre la mort sans rien faire. Je préfère mourrire avant d'être un légume aussi. J'écrirait au moins une lettre pour éxpliquer mon geste. Et je dissimulerai des indices ou des sous entendus à mes proches.

En réponse au message de thepassenger :

Ca me rappelle aussi une "éxpérience" que j'ai eu quand je devais avoir entre 5 et 6 ans je pense. De toute ma vie je n'ai jamais vraiment frolé la mort. Mais à ce moment si je pense que c'était le moment ou je m 'en suis le plus rapproché. J'étais allé à l'anniversaire d'un camarade de classe. Dans une maison avec un grand jardin et une piscine. Et comme à cet âge là je n'avais pas là lumiére à tout les étages ( remarque ça n'a pas beaucoup changé entre temps et, même maintenant ce n'est pas mieux ) J'ai sauté en maillot de bain dans la piscine sans penser que je n'avais pas pied. Car je ne savais pas encore nager à cet époque. Du coup je me suis noyé comme un con. Je pense que ça à dû durer 10 second maxi avant qu'un adulte ne plonge pour me repécher. Mais ça m'avait vraiment choqué. J'étais vraiment en mode PTSD dans ma tête. Ce qui m'a finalement le plus choqué c'est qu'après m'être noyé. Comme si ça ne m'avait pas suffit. il n'y avait pas un petit FDP qui décide de me pousser dans l'eau par derriére, histoire que je me renoie une second fois ?

Du coup rebelotte un adulte m'a à nouveau repéché comme un poisson.

En fait je ne comprends pas. Quand Il y a une personne qui a faillit ce noyer. Tu ne va pas le pousser dans l'eau pour qu'il çe renoie une second fois. Je ne sais pas c'est une question de bon sens et d'empathie. A cet â là on est souvent trés impulsife et l'on ne réfléchit pas sur le long térme. Et encore moins aux conséquences de ces actes. Et c'est normal on est tout petit est on à une conscience des choses vachement réduite. C'est lié à l'âge et au cerveau qui est encore bien incomplet et pas tout à fait bien développé. Surtout le lobe frontal qui est la partie du cerveau responsable de la partie consciente de ces actes et de la planification. Qui est la derniére partie à ce développer pleinement dans le processud de maturation du cerveau qui fini de ce développer vers la fin de l'adolescence.

Mais franchement. Du coup je trouve que parfois les enfants ressemblent vraiment à des mini psychopathes. Après peut être qu'il ou elle ( oui car je n'avais pas vue qui m'avait poussé ) n'avait tout simplement pas vue que je m'était noyé. Et j'espère que c'était le cas. Après quand on est pas à la place de là personne qui subit une dituation dificile. Et ben on ne peut parfois tout simplement pas ce mettre à sa place.

En tout cas cette éxpétience ne m'a pas vraiment changé intérieurement. En fait.

Sinon. Honnêtement je pense qu'il devrait y avoir plus de personne comme toi sur cette terre qui éssaient un minimum de comprendre les gens avant de les juger de maniére définitive.

As-tu aujourd'hui peur de l'eau ? Ou de nager où tu n'as pas pieds ? Ou rien du tout ?

Quand on est enfant, voire même ado, on fait plein de choses idiotes qu'on peut regretter plus tard. On les fait sous le coup de l'impulsion, pour suivre son groupe ou juste par епvіе. Après, si c'est par епvіе, c'est tout de même différent et là, t'es pas forcément quelqu'un de cool. En tout cas, tout cela mérite à réflexion...

En réponse au message de stiky :

J'ai failli être emporté par la mer une fois. J'ai eu très peur. Mais j'ai réussi à revenir, malgré la difficulté.

Depuis, je ne m'aventure plus vraiment là où je n'ai pas pieds, je panique au bout de quelques secondes si ça arrive. Néanmoins, ma vision de la vie n'a pas changé.

Par contre, même s'il n'y a pas d'ехрéгіепсе de "mort", en grandissant, et en m'introspectant, tout en voyant également autour de moi, je n'ai plus jamais voulu dire du mal de quelqu'un sans connaître la personne. Beaucoup jugent sans connaître, d'autres suivent le jugement. Je ne le fais plus du tout. Pourquoi ? Avant, je suivais le jugement, ou je jugeais aussi, et quand j'y réfléchis aujourd'hui, je ne me rendais pas compte de certaines choses qui maintenant sont nettement plus claires, des suppositions aussi sur leur vie à l'époque et du pourquoi ils sont ainsi. Qui mérite d'être mis à part ? Si on ne connaît pas, on se tait.

Mais je me suis éloigné du sujet ah ah ah

• top ! je trouve que c une perte de temps de juger les gens sans les connaître , il serait plus judicieux et/ou légitime de (les) comprendre , sans pour autant partager leur avis...

En réponse au message de stiky :

As-tu aujourd'hui peur de l'eau ? Ou de nager où tu n'as pas pieds ? Ou rien du tout ?

Quand on est enfant, voire même ado, on fait plein de choses idiotes qu'on peut regretter plus tard. On les fait sous le coup de l'impulsion, pour suivre son groupe ou juste par епvіе. Après, si c'est par епvіе, c'est tout de même différent et là, t'es pas forcément quelqu'un de cool. En tout cas, tout cela mérite à réflexion...

Honnêtement non. Je peut nager sans problème. Même dans des endroits ou je n'ai pas pied. Par contre j'ai horreur de tomber dans l'eau la tête en arrière. C'est con. Par contre. même si je peut nager là ou je n'ai pas pied. Ce n'était pas le cas pendant mon enfance.

"Quand on est enfant, voire même ado, on fait plein de choses idiotes qu'on peut regretter plus tard. On les fait sous le coup de l'impulsion, pour suivre son groupe ou juste par епvіе. Après, si c'est par епvіе, c'est tout de même différent et là, t'es pas forcément quelqu'un de cool. En tout cas, tout cela mérite à réflexion..."

Oui. Surtout si ce genre de comportement ce poursuit à l'âge adulte. Là ça devient vraiment inquiétant.

Mais non je ne fais pas intentionnellement du mal aux gens. Excépté si ils m'en ont fait.

En réponse au message de boumvoyageur :

• C "le Topic de la mort" & puisque tu parles de suicide => j'ai juste епvіе d'aller un peu plus loin que le fait de "frôler la mort" en parlant de "ma philosophie de ma Vie" & ça n'engage que moi donc, mes propos sur "ma fin de Vie" : un choix tout réfléchi en bonne conscience que je partage en public, sans être dans une situation de détresse ou de désarroi... & encore moins d'encouragement au suicide.

=> Je pars du principe que : on ne choisit pas de naître mais on a au moins le choix de mourrir !

& j'y adhère : ça fait des années que je me suis déjà posé la question & je me suis fait l'idée des circonstances possibles pour mettre fin à ma Vie.

Mais, ça ne me pose pas du tout de difficultés d'en parler en public, avec mon entourage : je me sens complètement serein avec cette question existentielle (précision : je ne suis pas croyant en une religion).

Je ne me sens pas triste (peut-être que oui ^^) : pour moi, cette question a une réponse => je la mettrai à exécution en temps voulu.

• Je considère dans ce cas, quand c'est un choix tout réfléchi : comme un droit légitime, individuel où l'intervention des autres, des lois etc... n'ont pas à intervenir dans ce choix => similaire à la sphère privée.

Je me sens proche de Jacqueline Jencquel / "l'interview qui tue" par Hugo Clément :https://www.20minutes.fr/insolite/2326623-20180828-suicide-assiste-74-ans-femme-bonne-sante-fixe-date-mort

Je la trouve tellement claire dans ses idées ; ça se tient tellement ses paroles, son discours... : je m'y retrouve dans sa philosophie de Vie !

Sauf que moi, je ne demanderai à personne de m'aider pour mettre : fin !