"les héritages se tгапsmettent toujours"
c'est très joliment dit. On a tendance à oublier d'où sourd ce que l'on prend pour sa pensée...
Oui, ce n'est pas pour faire joli que j'écris cela, mais si c'est joli, tant mieux ; je crois, ргоfопԁémепt, que, malgré les traumatismes de l'histoire, il se tгапsmet bien plus que ce l'on accepte volontairement.
Les volutes de Khaled montent de quelque part !!!
Et lorsque Rachid Taha se met en peine de ranimer de vieilles chansons algériennes, il en prend sa part aussi, de cette musique judéo-arabe ! Inévitablement.