Sujet de discussion : Notre-Dame de la Sainte-Copulation
sergeclimax69007
Membre suprême
9 juin 2013 à 20:00
Notre-Dame de la Sainte-Copulation, Toi qui fus retroussée par un gaillard archange, Par la visitation mutine et l'échange Des Cieux jusqu'à la terre d'une subtile onction,
Prête oreille à l'athée souffrant dans l'inaction Du sехе qui l'accable, en ce temps de vепԁange Printanière et soucieuse où mon pieu en instance Demande la grâce infinie d'une jonction ;
Créature de rien, où coulissa le bien Divinement lascif de ce dard extatique, Écoute mon appel, et laisse-toi fléchir,
Image de néant, vers un don chrétien, Et me propulse en haut par un jet olympique : Que je roule des pelles et jouisse sans faiblir.
Dans l'extrême défaut il faut même au néant Dessiner des contours pour atteindre au présent.
textoo
Légende urbaine
9 juin 2013 à 20:11
Tout simplement :
E X C E L L E N T
sergeclimax69007
Membre suprême
9 juin 2013 à 20:54
Sans génuflexions, parce que j'ai les crocs Devant la fine extase où, vіегgе, tu fus mise, Néant divinisé, par laquelle entremise Je cherche une faveur : qu'il y ait un écho
A mon empressement, et que dans le mâle assaut, Mêlant mon poil au poil, mon membre en sa remise Enfin défouraillé pour la fière entreprise De tгоuег de part en part, de partir au ressaut
D'un cheminement long, pèse, fouille et s'arrête Aux yeux, poils, tétопs, lance, épaules et arête D'un nez alexandrin ; enfin, que soit sujet
Dans le raidissement, mon attendrissement A ces gestes qui comptent, infiniment semant Sans compter la tendresse, tout comme un feu-follet.
Oui, prier le néant est l’ultime recours Pour porter aux échos ma voix qui fait un four.
jmtiti13
Membre élite
9 juin 2013 à 21:23
C est parfait BRAVO !!!!!
sergeclimax69007
Membre suprême
9 juin 2013 à 21:42
Dans mon évanescence, il me faut soutenir Un dialogue éсhапgіstе avec une vіегgе A qui, jamais, je ne dresserai de cierge, Pour сагеssег l'espoir, et puis le souvenir
D'endiablées embardées, dans un lit pour finir, Avec toi, homme exquis, pour que coton et serge Jetés par dessus bord, lorsque la chair assiège D'un long gémissement aux extases à mourir,
L'esprit en sa partance, s'amoncellent et s’étreignent ; Je poursuis ton ardeur, il n'y a rien que je feigne ; Comme un oisillon pris dessous un fauve aimant,
Saisi dans le feuillage où ріре ton sourire, Je ne suis qu'oraison, dents plantées je soupire Et j'aspire ton âme en feu languissamment.
Tous les moyens sont bons, et même à Compostelle S'il me faut cheminer, j'en promets une belle !!!
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