- 25 septembre 2013 à 19:58
Son mariage symbolique n'avait rien de répréhensible, puisque la loi ne reconnaissait pas ce mariage, il s'agit d'un acte militant et présenté comme tel.
Par contre, le refus de célébrer un mariage reconnu par la législation, en argumentant sur une pseudo clause de conscience, est non seulement discriminatoire, injuste, mais condamnable.