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Paralysie du sommeil (page 2) - Sports, santé & bien être

Sujet de discussion : Paralysie du sommeil
  • deadpool Membre élite
    deadpool
    • 19 février 2019 à 18:20
    En réponse au message de less6240 :

    J en souffre 4-5fois part ans si pas plus, MERCI, au moins j ai un nom à donné à se truc, je croyais que sa venait de mes problèmes d agoraphobie donc de mon anxiété; comme tu dis c est horrible mais je m y était faite!
    se réveillé paralysée est une angoise horrible et parfois douloureuse, on a епvіе d hurlée et c est impossible et quand on en parle les gens nous regarde de façon bizarre ainsi que les médecin!!
    merci dead!

    Oui c'est pas très connu et la première fois ça m'a foutu une peur bleue, ont expérimente 5 minutes la vie d'un mec complètement paralysé, c'est horrible
  • sim.s-heart Légende urbaine
    sim.s-heart
    • 19 février 2019 à 18:24
  • herminette Membre pionnier
    herminette
    • 19 février 2019 à 19:39
    Bienvenu au club !!!
    Je vis ça depuis de nombreuses années!!!! Heureusement ce n'est que quelques fois dans l'année ouf, car très désagréable !!!!
    Merci pour l'explication
  • stiky Membre suprême
    stiky
    • 19 février 2019 à 20:11
    Ça ne doit pas être sympa à vivre...
  • sim.s-heart Légende urbaine
    sim.s-heart
    • 19 février 2019 à 20:23
    En réponse au message de stiky :

    Ça ne doit pas être sympa à vivre...

    Comme tant d'autres choses mon stiky...
  • less6240 Membre émérite
    less6240
    • 19 février 2019 à 21:45
    En réponse au message de deadpool :

    En réponse au message de less6240 :

    J en souffre 4-5fois part ans si pas plus, MERCI, au moins j ai un nom à donné à se truc, je croyais que sa venait de mes problèmes d agoraphobie donc de mon anxiété; comme tu dis c est horrible mais je m y était faite!
    se réveillé paralysée est une angoise horrible et parfois douloureuse, on a епvіе d hurlée et c est impossible et quand on en parle les gens nous regarde de façon bizarre ainsi que les médecin!!
    merci dead!

    Oui c'est pas très connu et la première fois ça m'a foutu une peur bleue, ont expérimente 5 minutes la vie d'un mec complètement paralysé, c'est horrible

    pour ma part pas connu du tout, heureusement tu en parle, je l ai jamais fait m^me à mon médecin, je trouvais ça sans importance vu que sa passait, c est plus que flippant!!
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 19 février 2019 à 23:54
    Je ne connais pas ce qui vous est arrivé mais j'ai eu un trip, une nuit assez marrant, il y a une vingtaine d'année…

    Au départ, un truc genre malaise vagal.
    Réveil ԁапs mоп lіt en pleine nuit, gorge très sèche, très vaseux.
    Je traverse l'appartement, pas très assuré mais ça a l'air d'aller quand même.
    Sauf que je n'atteins pas la porte du frigo pour me désaltérer.
    Je rentre dans la cuisine et allume la lumière.
    Je sens que je pars en sucette et je me couche volontairement pour éviter la chute brutale.
    Là, je finis sur le dos en hyperventilation, me sentant inonder mon maillot avec un litre de sudation et… dans le noir alors que la lumière est allumée.
    Difficile de mesurer le temps dans ces conditions mais j'ai dû être aveugle pendant deux minutes, à la louche.

    Ce qui m'a paru rétrospectivement étonnant, c'est que cela m'a plus étonné que inquiété…
    Peut-être était-ce mon niveau de conscience qui était altéré mais pas de panique ni angoisse.
    J'étais spectateur de ce qui m'arrivait sans état d'âme particulier et j'ai fini par "rallumer la lumière", stimulé par un grelottement lié au fait que j'étais autant trempé que si je m'étais ріssé dessus mais c’était juste une énorme sudation qui m'avais fait perdre, sans mentir, quelque chose comme un litre de liquide en quelques instants.

    Je me suis relevé, ai bu un bon coup, suis passé à la salle de bain et me suis recouché sans même réveiller ma femme.


    Cet événement n'a eu aucune conséquence sur ma santé et, si j'ai eu au cours de ma vie d'autre perte de consciences, cela ne s'est pas reproduit avec perte de la vision mais dans des scénarios différents avec convulsions.

    Bref, on peut vivre parfois des trucs spectaculaires qui ne préjugent pas d'une gravité quelconque même s'il est évident que de telles choses peuvent inquiéter.
  • stiky Membre suprême
    stiky
    • 20 février 2019 à 09:47
    J'ai connu plus ou moins la même chose que toi Parfum. C'était en pleine journée pour ma part, on m'a appelé pour un truc donc je me suis levé du canapé et dans le couloir, j'ai commencé à me sentir bizarre. J'ai ralenti, je n'entendais plus rien, je ne voyais plus rien et pourtant, j'avais aussi l'impression d'être spectateur car mes grands-parents semblaient paniqués de me voir ainsi, je les voyais parler sans qu'aucun son ne sorte de leur Ьоuсhе et malgré cela, j'avais l'impression d'être aveugle. Bref, j'ai fini allongé dans les plantes artificielles, griffé au visage mais sans n'avoir rien senti. Je ne sais pas non plus combien de temps ç'a duré mais c'était bizarre

    J'ai consulté un médecin et on m'a dit que c'était peut-être lié au fait que je ne boive pas assez d'eau. C'est peut-être pareil pour toi ?
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 20 février 2019 à 11:25
    À l'origine de ce genre de malaise sans gravité autre que les circonstances dans lesquelles il se produit, il y a le nerf vague, nommé aussi pneumogastrique.

    Au niveau des effets de ce qui se passe par cette voie sensible, on peut le situer à bon droit au centre de ce qui défini notre état d'anxiété ou au contraire de détente.
    On est assez différents les uns des autres au niveau de l'excitabilité de ce nerf.

    Les plus "sensibles" connaîtront assez vite ses crises quand d'autres feront leur vie sans qu'il ne fasse aucune crise.
    Comme il innerve les poumons, le cœur, le foie, l’estomac, la rate et les intestins, cet acteur majeur de notre système parasympathique ne l'est pas toujours…

    Il se ramifie avec d'autres effets comme la voix, via le nerf récurent ou la pression sanguine via la dilatation-contraction des vaisseaux.
    Bref, sans que rien de physique ne soit vraiment atteint, il peut foutre un sacré bordel…

    Effectivement, pour les plus sensibles, une simple déshydratation peut suffire.
    Me concernant, des situations de stress intense m'ont déjà mit en rideau, par le biais de fortes émotions, de fortes douleurs ou de fatigue extrême.
    Je n'ai pas compté précisément mais une dizaine de malaises me semble un chiffre réaliste.

    Ce n'a pas été le cas dans l'événement que j'ai relaté qui a été le seul avec cécité temporaire sans perte de connaissance (je continuais à entendre le ronronnement du frigo, par exemple), mais la suite logique d'un malaise vagal pour moi aujourd'hui, c'est la crise convulsive.

    Je suis maintenant un vieux routier sur la question: Je sens très bien venir le malaise vagal.
    Dans l'année écoulée, j'en ai eu un chez le dentiste, dans la salle d'attente et trois dans la même semaine lors de mon dernier déménagement.
    A chaque fois, je me suis mis en pls et j'ai attendu que ça passe; le simple fait de se retrouver allongé et d'attendre un peu suffisant à faire passer.

    Mais, dans la période qui avait précédé, j'avais fait deux malaises plus massifs, avec perte complète de connaissance et convulsions.
    Même début mais je finis au sol hs, raide avec des secousses et je grogne comme un сhіеп, dixit ma femme…

    Le premier, c'était suite à une coloscopie à l'ancienne, sans anesthésie.
    Douloureux sur le moment mais encore plus une demie-heure plus tard alors que j'étais dans la chambre de l’hôpital de jour qui m'avait accueilli.
    Bref, je suis parti en rideau pendant dix minutes-un quart d'heure; le temps qu'a mis un café bouillant tout juste servit à devenir froid.

    Sensation de revenir de nulle part sans savoir qui on est, où on est, qu'est-ce qu'on fait là avec du monde autour de soi qui s'affaire alors que, soi-même, on est dans une détente extrême qui suit la crise de convulsions.

    D'ailleurs, c'est cet épisode hospitalier qui a mis en lumière, personnel médical à l'appui, que le malaise vagal tournait bien chez moi en crise convulsive vraie, ce qui n'est pas la généralité du genre.

    L'autre fois, de l'ordre de moins de cinq minutes, c'était chez le véto; pas pour moi mais pour mon сhіеп que j'amenais mourant, probablement pour l'injection terminale…

    Alors que j'étais persuadé que sa route s'arrêtait ce jour, la vétérinaire me dit que ma сhіеппе est effectivement mourante en l'état mais qu'il y a encore moyen de l'opérer, et qu'elle va s'en sortir.
    Et bien, cette nouvelle inespérée, provocant chez moi un soulagement aussi inattendu qu'hypotenseur, m'a fait calancher, moi.

    La scène: Ma сhіеппе allongée sur la table la perfusion plantée dans le dos, ma femme tenant la poche d'une main et, de l'autre, votre serviteur qui était en train de s'écrouler !

    La véto, qui nous expliquera à mon réveil qu'elle supporte tout venant d'un animal mais pas du tout la situation de détresse chez les gens, se barre dans son labo, non pas pour appeler du secours mais par panique personnelle…

    Bref, une situation cocasse avec Madame qui avait dû accompagner ma chute, tenir la perfu, retenir le сhіеп qui se demandait ce qui m'arrivait et voulait utiliser ses dernières force pour venir près de moi, rappeler la véto à la rescousse et la rassurer en lui disant que je n'allais malheureusement pas mourir et qu'elle devrait encore me supporter un moment.

    Bon, j'arrête de raconter ma vie mais c'est cool de la raconter; ça veut dire que je ne suis pas encore mort !
  • wolfi Membre suprême
    wolfi
    • 20 février 2019 à 12:24
    Ils vous en arrivent de ces choses

    pour ma part je n'ai eu qu'un seul malaise vagale lors d'un jugement. Trop forte émotion et tension

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