En réponse au message de briareos :
C'est vrai, il y en a marre de ces mecs qui te demandent de la discrétion pour pouvoir vivre une expérience dans la clandestinité la plus honteuse (la plupart du temps).
Tout ça par "curiosité" bien souvent....alors dans ce cas notre corps en est réduit à devenir un "cabinet des curiosités" où il n'y a qu'à se servir pour assouvir les fапtаsmеs de mecs frustrés...dans ce cas "cabinets" prend tout son sens ...
Si ces gens veulent pimenter leur sехuаlіté je leur propose d'offrir un gоԁ-ceinture à leur femme et/ou de lui proposer la sоԁоmіе...les sentiments viendront peut-être par la suite.
Parce que les sentiments pour madame et et se vider les соuіllеs avec monsieur (excusez l'expression), que nenni !
Boire ou conduire, il faut choisir....moi j'ai choisi - même si ça n'a été facile pour personne - mais maintenant c'est moi qui tiens le volant avec UN copilote à mes côtés (enfin, quand je l'aurai trouvé...
)
Briareos, bonsoir.
Oui, l'amour ! La sехuаlіté est indissociable, quand on aime, des sentiments.
J'attends d'un partenaire une présence, une constance, qu'il me considère comme un tout, et qu'il ne me réduise pas à un sехе. S'il me confond avec un sехе, un рéпіs, s'il prend la partie pour le tout, je me sens mutilé, sans possibilité de partager quoi que ce soit qui détermine en moi et chez l'autre le bouleversement amoureux.
L'amour est bouleversement, l'amour est captation de l'autre, l'amour tend toujours vers l'exclusivité de la possession amoureuse.
L'homme marié bisexuel se ment à lui-même : il n'expérimente pas avec son partenaire homo les risques, c'est-à-dire les possibilités de l'amour, d'en être surpris, de devenir passionné, de devenir captif d'un sentiment, d'être pris par le besoin de posséder l'autre ; il veut se faire "іпіtіег" en surface, comme s'il y avait des secrets transcendantaux dans un acte homosexuel.
L'homme marié bisexuel met son cœur en réserve pour son épouse, il est en couple hétéro, ce sera toujours son point de retour, sa commodité (oui, il est aimé par son épouse, la plupart du temps), son repos du guerrier, sa préférence, sa retraite ; l'homosexualité est son hobby, son échappatoire mais il ne veut pas trancher, il ne veut pas se priver.
Je répète avec un très grand sérieux ma phrase qui a pu paraître bizarre : si moi, pédé, je deviens amoureux d'une femme (avec qui je ne serai pas impuissant, du tout

), je ne la tromperai pas, je lui serai fidèle ; cela signifie aussi que, sous prétexte de "bisexualité", je n'irai pas tromper un homme que j'aime.
Briareos, je suis d'accord, beaucoup de sadisme chez ces Messieurs mariés, accessoirement bisexuels ; mais, hélas, je m'en aperçois en m'observant, beaucoup de complaisance mаsосhіstе quant à moi, cela suffit donc comme cela !







